Le grec à Sainté c'est l'hypothèse Civelli+argent/Sablé qui s'éloigne mais avec Cana, M'bami, Granic et sans doute Cheyrou, ça fait un bon 'tit nombre de MD. On va etre en surnombre dans certains secteurs (MD,DC) et en sous effectif dans d'autres (arriere d'ailes, ailiers offensif....).
boule-et-bill a écrit :Le grec à Sainté c'est l'hypothèse Civelli+argent/Sablé qui s'éloigne mais avec Cana, M'bami, Granic et sans doute Cheyrou, ça fait un bon 'tit nombre de MD. On va etre en surnombre dans certains secteurs (MD,DC) et en sous effectif dans d'autres (arriere d'ailes, ailiers offensif....).
Gragnic joue beaucoup plus offensif, c'est vraiment un ailier, droit de préférence, bonne qualité de centre, plus limité en vitesse/débordement ; mais en aucun cas un milieu défensif, ni même relayeur.
C'est pour ça que je vois bien l'arrivée de Cheyrou ET Sablé.
En même temps l'échange Civelle-Sablé, c'était du faisandé.
ça me rappelle la proposition d'échange Coupet-Edmilson contre Runje et Chapuis.
De façon je suis à fond pour Cheyrou!!
Footmercato.net annonce le pret de podolski a Bochum.
Voila un qui serait un parfait complément a cissé en attaque , on s'entend bien avec eux , allez un coup à faire la !
Podolski à Bochum?

J'ai raté un épisode
Solari a encore quelques éclairs de génie,mais physiquement il tient pas la saison.Mais il a fait quelques trucs interessants en Coppa,le match contre la Lazio:

chichiman a écrit :Comme la Récoba.
Ils savent vraiment plus quoi inventer chez Seat :nono1:
Bon ribery sous 48 h au bayern.
Ultimatum de Seydou à Pierre Mondy sur keita et bodmer , au moins un des deux et je serais satisfait

et pq pas le vieillissant mais tj efficace junhino le creux constaté de ses coup franc cette année n'est que passager et pour 1 gardien de voir juni et taye cote a cote pour tirer sa doit faire peur. il nous manque vraiment 1 tireur de coup franc malgré tout le bien que je pense de nasri et sa volonté farouche de s'ammélioré sur cette exercice il reste un peu leger sur les directs 1 bon tireur peu ramener une moyenne de 6 pts par saison et les exeptionnel une bonne dizaine sa fairait assez pour titiller la premiers place championat et un bon 8eme voir quart en champion league a voir qu'en pensé vous
juni

taye
Tu te chronomètres quand tu tapes un post ? Ce serait sympa pour les yeux de tout le monde de faire un effort sur l'écriture

je sais vous aller me dire qu'il vient de ressigner a lyon mais c pour l'idée
lutor a écrit :et pq pas le vieillissant mais tj efficace junhino le creux constaté de ses coup franc cette année n'est que passager et pour 1 gardien de voir juni et taye cote a cote pour tirer sa doit faire peur. il nous manque vraiment 1 tireur de coup franc malgré tout le bien que je pense de nasri et sa volonté farouche de s'ammélioré sur cette exercice il reste un peu leger sur les directs 1 bon tireur peu ramener une moyenne de 6 pts par saison et les exeptionnel une bonne dizaine sa fairait assez pour titiller la premiers place championat et un bon 8eme voir quart en champion league a voir qu'en pensé vous 
juni
taye
Je rajoute ceci :
Les Anciens racontaient des mythes Parfois ils les couchaient par écrit Ils les sacralisaient plus ou moins et avec le temps le degré de foi qu’ils leur accordaient variait Ils en arrivaient de temps en temps à les canoniser et leur donner une valeur absolue à en faire une Ecriture sainte Il se pouvait aussi qu’ils ne les considérassent plus que comme des contes de bonnes femmes Plus généralement ces peuples se situaient entre les deux extrêmes Leur conviction variait en fonctions des situations sociales et intellectuelles mais les mythes formaient un fond culturel vivace et vivant Ils aidaient à comprendre les Dieux le monde et la vie sans représenter une révélation absolue et définitive sans se muer en dogmes mortifères Ils avaient une fonction sociale de représentation et d’interprétation une valeur étiologique et explicative Ils donnaient du sens et dessinaient un ordre au sein duquel on pouvait vivre harmonieusement En ce sens ils avaient une portée éthiqueLes Anciens ne faisaient néanmoins pas de théologie N’ayant pas de dogmes mais des rites ces peuples ne se souciaient pas de dogmatiser ni du raffinement systématique de nos joutes intellectuelles à propos de(s) Dieu(x) et de la foi Naturellement on soutiendra que nous faisons tous de la théologie quand nous touchons à ces matières sans le savoir comme M Jourdain faisait de la prose Mais employer le terme de « théologie » dans un sens aussi large implique qu’il est alors bien difficile d’exclure les sciences des religions ou la sociologie de la religion du champ théologique Or très peu de chercheurs en sciences religieuses ou de sociologues si ce n’est aucun n’admettraient être un théologien ! Supposera-t-on alors que la théologie nécessite un rapport croyant une relation existentielle à son objet ? De même que selon Luther la foi justifiante est différente de la fides historica il existe un habitus théologique qui ne prouve pas la justification et la sanctification du théologien ni sa vocation Personne ne peut établir en toute objectivité l’existence de ce rapport croyant à moins de confondre l’aveu de la foi et la réalité de celle-ciNous voici très embarrassés pour définir ce qui relève de la théologie et ce qui n’en relève pas Un concept néanmoins ne doit pas être trop élastique pour demeurer intelligible et pertinent – utile tout bonnement Quoique nous soutenions que les anciens ne pratiquaient pas la théologie il faut maintenant relever l’origine grecque et païenne du concept ce qui va nous permettre de préciser les limites de sa juste utilisation Le premier à avoir employé le terme est semble-t-il Platon Et par théologie il entend le contexte le montre nettement une épuration philosophique de la présentation mythologique des Dieux C’est à ce seul compte que les poètes trouveront place dans la cité idéale qu’il propose Avec Platon surgit cette grande déchirure de l’histoire occidentale de la pensée la séparation entre Mythos et Logos qui ira s’accentuant en passant par Kant et Hegel jusqu’au retournement propre à Heidegger : le résultat consiste à détacher le concept de son ancrage dans des discours fictifs ou poétiques Avec Aristote la théologie se fit métaphysique Et après lui chaque secte philosophique grecque jusqu’à la fin du paganisme développa sa propre théologie comme une branche de son enseignement et un couronnement de son développement Epicuriens Stoïciens Néo-Platoniciens (surtout) chacun à leur manière et dans le cas du Jardin de manière particulièrement négative furent à la fois philosophes moralistes et théologiensLes croyances traditionnelles et les mythes continuaient à vivre et à être transmis à côté de ces enseignements d’écoles sans conflits apparents La piété du peuple en était peu atteinte et les cultes officiels ou privés prospéraient tranquillement Rien qui e ressemblait au conflit des Lumières entre foi et Raison foi et science Certes à quelques époques la fin de la République à Rome par exemple avant qu’Auguste ne restaurât les rites et les valeurs traditionnelles les élites semblent fort détachées de tout sentiment religieux et de toutes croyances Mais à ces époques de scepticisme apparent succèdent des ères d’inquiétude spirituelle propices au développement des cultes à mystères et des religions orientales Et les termes si familiers à nos oreilles de foi croyances religion spiritualité personnelle entrent peu en compte pour parler d’un monde où le rapport avec les Dieux se décrit d’abord en termes de piété et de respect des rites ancestraux par la Cité Les athées déclarés sont rares les indifférents et les sceptiques laissés tranquilles pour autant que leur impiété n’éclate pas au grand jour Un mysticisme personnel ou collectif débridé et de mauvais aloi est tout autant sinon davantage réprimé par RomeCertes les mythes se dégradent en mythologie Certes les mythographes les rassemblent en recueils où le grivois l’emporte sur le sérieux Mais ils survivent et leur force d’illocution n’est pas complètement perdue Nos philosophes-théologiens font place au mythe Soit que comme Varron ils fassent du mythe une forme inférieure de théologie soit qu’ils l’interprètent au gré de leur système Pour reprendre la formule de Raynal Sorel « accordant un soupçon de raison à une parole supposée dérivante pour mieux l’arraisonner » ils désirent se rendre maître du mythe La méthode qui connut le plus vif et le plus durable succès fut l’allégorie dont les Stoïciens se firent les champions incontestés Mais ils ne furent pas les seuls à ne jurer que par l’allégorèse Et du jour où Philon appliqua la méthode à la lecture de la Septante la théologie chrétienne paradoxalement était née…Car on ne comprendrait pas la typologie que déploient les auteurs du Nouveau Testament recherchant sous le voile de la lettre vétérotestamentaire l’annonce prophétique du ministère de la passion et de la résurrection du Christ sans se rapporter à la lecture allégorique des textes mises au point par les philosophes grecs Mieux même les paraboles de Jésus sont déjà dans les évangiles interprétées allégoriquementL'emploi du terme dans la philosophie classique a dans les premiers siècles suscité une méfiance de la part des auteurs chrétiens Les termes « théologie » et « théologiens » restent associés à la mythologie païenne Cependant Clément d'Alexandrie opère une distinction entre la « théologie du Verbe éternel » et la « mythologie de Dionysos » Peu à peu le terme ne s'emploie plus que pour la nouvelle religion Toutefois son sens précis n'est pas toujours le même : le mot « théologie » peut ainsi désigner les Écritures ou la confession de la foi chrétienne Pour d'autres théologiens la théologie était le discours sur la divinité en général voire sur la seule divinité du Christ Les auteurs occidentaux emploient assez peu le terme avant l'époque scolastique préférant des expressions avec le mot sacer telles que doctrina sacra sacra pagina ou sacra eruditio Cependant les théologiens latins ont fini par l'utiliser couramment dans leurs écrits et le mot « théologie » a alors reçu le sens qu'il a gardé d'étude systématique de la doctrine chrétienneÀ partir du XVIe siècle le mot théologie redevient plus général Il est en effet utilisé dans l'expression théologie naturelle qui désigne la connaissance de Dieu d'une manière considérée comme "naturelle" Dès lors il est également utilisé pour d'autres religions que le christianisme notamment dans des perspectives d'étude comparée des religions La théologie désigne alors l'image de Dieu et du divin dans les différentes religions ainsi que leurs doctrinesLa philosophie classique depuis les présocratiques jusqu’aux disciples de Leibniz s’est souvent définie comme la science de Dieu ou la science de l’absolu donc comme théologie On l’appelait aussi métaphysique ou philosophie première Elle était nommée ainsi parce qu’elle était considérée comme la racine la source ou le socle de toutes les sciences
Et l'homme inventa la ponctuation...
Une petite reflexion, dans l'équipe j'ai lu que Guy Roux faisait d'Akalé sa priorité, il n'y aurait pas moyen de se renseigner sur Monterrubio, il n' a pas fait une grosse saison mais c'est pile poil ce qu'il nous faut au niveau qualité de passes.
ouf!!! ok , j'ai compris.

Sa vision de "fonctionnaire" du métier de footballeur ne m'inspire pas vraiment

KodiaK a écrit :Une petite reflexion, dans l'équipe j'ai lu que Guy Roux faisait d'Akalé sa priorité, il n'y aurait pas moyen de se renseigner sur Monterrubio, il n' a pas fait une grosse saison mais c'est pile poil ce qu'il nous faut au niveau qualité de passes.
Me suis fait le meme reflexion sur monterrubio mais c'est faire peu cas d'arrache.

Fanfarlo a écrit :Je rajoute ceci :
Les Anciens racontaient des mythes Parfois ils les couchaient par écrit Ils les sacralisaient plus ou moins et avec le temps le degré de foi quils leur accordaient variait Ils en arrivaient de temps en temps à les canoniser et leur donner une valeur absolue à en faire une Ecriture sainte Il se pouvait aussi quils ne les considérassent plus que comme des contes de bonnes femmes Plus généralement ces peuples se situaient entre les deux extrêmes Leur conviction variait en fonctions des situations sociales et intellectuelles mais les mythes formaient un fond culturel vivace et vivant Ils aidaient à comprendre les Dieux le monde et la vie sans représenter une révélation absolue et définitive sans se muer en dogmes mortifères Ils avaient une fonction sociale de représentation et dinterprétation une valeur étiologique et explicative Ils donnaient du sens et dessinaient un ordre au sein duquel on pouvait vivre harmonieusement En ce sens ils avaient une portée éthiqueLes Anciens ne faisaient néanmoins pas de théologie Nayant pas de dogmes mais des rites ces peuples ne se souciaient pas de dogmatiser ni du raffinement systématique de nos joutes intellectuelles à propos de(s) Dieu(x) et de la foi Naturellement on soutiendra que nous faisons tous de la théologie quand nous touchons à ces matières sans le savoir comme M Jourdain faisait de la prose Mais employer le terme de « théologie » dans un sens aussi large implique quil est alors bien difficile dexclure les sciences des religions ou la sociologie de la religion du champ théologique Or très peu de chercheurs en sciences religieuses ou de sociologues si ce nest aucun nadmettraient être un théologien ! Supposera-t-on alors que la théologie nécessite un rapport croyant une relation existentielle à son objet ? De même que selon Luther la foi justifiante est différente de la fides historica il existe un habitus théologique qui ne prouve pas la justification et la sanctification du théologien ni sa vocation Personne ne peut établir en toute objectivité lexistence de ce rapport croyant à moins de confondre laveu de la foi et la réalité de celle-ciNous voici très embarrassés pour définir ce qui relève de la théologie et ce qui nen relève pas Un concept néanmoins ne doit pas être trop élastique pour demeurer intelligible et pertinent utile tout bonnement Quoique nous soutenions que les anciens ne pratiquaient pas la théologie il faut maintenant relever lorigine grecque et païenne du concept ce qui va nous permettre de préciser les limites de sa juste utilisation Le premier à avoir employé le terme est semble-t-il Platon Et par théologie il entend le contexte le montre nettement une épuration philosophique de la présentation mythologique des Dieux Cest à ce seul compte que les poètes trouveront place dans la cité idéale quil propose Avec Platon surgit cette grande déchirure de lhistoire occidentale de la pensée la séparation entre Mythos et Logos qui ira saccentuant en passant par Kant et Hegel jusquau retournement propre à Heidegger : le résultat consiste à détacher le concept de son ancrage dans des discours fictifs ou poétiques Avec Aristote la théologie se fit métaphysique Et après lui chaque secte philosophique grecque jusquà la fin du paganisme développa sa propre théologie comme une branche de son enseignement et un couronnement de son développement Epicuriens Stoïciens Néo-Platoniciens (surtout) chacun à leur manière et dans le cas du Jardin de manière particulièrement négative furent à la fois philosophes moralistes et théologiensLes croyances traditionnelles et les mythes continuaient à vivre et à être transmis à côté de ces enseignements décoles sans conflits apparents La piété du peuple en était peu atteinte et les cultes officiels ou privés prospéraient tranquillement Rien qui e ressemblait au conflit des Lumières entre foi et Raison foi et science Certes à quelques époques la fin de la République à Rome par exemple avant quAuguste ne restaurât les rites et les valeurs traditionnelles les élites semblent fort détachées de tout sentiment religieux et de toutes croyances Mais à ces époques de scepticisme apparent succèdent des ères dinquiétude spirituelle propices au développement des cultes à mystères et des religions orientales Et les termes si familiers à nos oreilles de foi croyances religion spiritualité personnelle entrent peu en compte pour parler dun monde où le rapport avec les Dieux se décrit dabord en termes de piété et de respect des rites ancestraux par la Cité Les athées déclarés sont rares les indifférents et les sceptiques laissés tranquilles pour autant que leur impiété néclate pas au grand jour Un mysticisme personnel ou collectif débridé et de mauvais aloi est tout autant sinon davantage réprimé par RomeCertes les mythes se dégradent en mythologie Certes les mythographes les rassemblent en recueils où le grivois lemporte sur le sérieux Mais ils survivent et leur force dillocution nest pas complètement perdue Nos philosophes-théologiens font place au mythe Soit que comme Varron ils fassent du mythe une forme inférieure de théologie soit quils linterprètent au gré de leur système Pour reprendre la formule de Raynal Sorel « accordant un soupçon de raison à une parole supposée dérivante pour mieux larraisonner » ils désirent se rendre maître du mythe La méthode qui connut le plus vif et le plus durable succès fut lallégorie dont les Stoïciens se firent les champions incontestés Mais ils ne furent pas les seuls à ne jurer que par lallégorèse Et du jour où Philon appliqua la méthode à la lecture de la Septante la théologie chrétienne paradoxalement était née
Car on ne comprendrait pas la typologie que déploient les auteurs du Nouveau Testament recherchant sous le voile de la lettre vétérotestamentaire lannonce prophétique du ministère de la passion et de la résurrection du Christ sans se rapporter à la lecture allégorique des textes mises au point par les philosophes grecs Mieux même les paraboles de Jésus sont déjà dans les évangiles interprétées allégoriquementL'emploi du terme dans la philosophie classique a dans les premiers siècles suscité une méfiance de la part des auteurs chrétiens Les termes « théologie » et « théologiens » restent associés à la mythologie païenne Cependant Clément d'Alexandrie opère une distinction entre la « théologie du Verbe éternel » et la « mythologie de Dionysos » Peu à peu le terme ne s'emploie plus que pour la nouvelle religion Toutefois son sens précis n'est pas toujours le même : le mot « théologie » peut ainsi désigner les Écritures ou la confession de la foi chrétienne Pour d'autres théologiens la théologie était le discours sur la divinité en général voire sur la seule divinité du Christ Les auteurs occidentaux emploient assez peu le terme avant l'époque scolastique préférant des expressions avec le mot sacer telles que doctrina sacra sacra pagina ou sacra eruditio Cependant les théologiens latins ont fini par l'utiliser couramment dans leurs écrits et le mot « théologie » a alors reçu le sens qu'il a gardé d'étude systématique de la doctrine chrétienneÀ partir du XVIe siècle le mot théologie redevient plus général Il est en effet utilisé dans l'expression théologie naturelle qui désigne la connaissance de Dieu d'une manière considérée comme "naturelle" Dès lors il est également utilisé pour d'autres religions que le christianisme notamment dans des perspectives d'étude comparée des religions La théologie désigne alors l'image de Dieu et du divin dans les différentes religions ainsi que leurs doctrinesLa philosophie classique depuis les présocratiques jusquaux disciples de Leibniz sest souvent définie comme la science de Dieu ou la science de labsolu donc comme théologie On lappelait aussi métaphysique ou philosophie première Elle était nommée ainsi parce quelle était considérée comme la racine la source ou le socle de toutes les sciences
Et l'homme inventa la ponctuation...
Je connais aucun de ces joueurs, c'est quoi ta source ?

CURRO TORRES arriere droit , beye en defense central avec rodriguez.