@Deep
L'instant Fact-Checking:
Non ce n'est pas bizarre.
Tu cites un papier sur Buzyn venu du BLOG de Médiapart, soit un texte non sourcé qui ne provient pas de la rédaction de Médiapart mais d'un contributeur extérieur, c'est à dire un papier écrit par le premier ou dans ce cas le dernier venu.
Sans doutes un des portes-flingues fanatique du Druide.
Ces blogs sont largement questionnés en ce moment car ils ne relèvent pas de l'information mais de l'opinion, et l'auteur profite de la notoriété du Journal hébergeur, ici Médiapart pour crédibiliser ses dires. Des dires encore une fois...
Non vérifiés.
Non regroupés.
Non confirmés.
Zéro travail d'investigation. Du pur fantasme érigé en info par un quidam...
A causes de ces dérives Le Monde et l'Obs ont arrêté leur blog participatif, et Médiapart commence à mieux contrôler le sien, devenu ces derniers temps d'avantage un dépôt à Fake News qu'une contribution au débat sociétal.
Donc Non et trois fois NON rien de bizarre.
Normal, Logique et même souhaitable.
Ils ont dû vérifier et voir qu'il hébergeait un texte calomnieux et avec des faits alternatifs. La technique favorite des pro Raoult, Trump, Bolso et autres Twito-abrutis en quête ou en réaffirmation de pouvoir.
Sinon, «La Fabrique du mensonge»: Karim Rissouli démêle le vrai du faux sur France 5 le 25 octobre à 20.50, une soirée spéciale consacrée aux fausses informations
dim 25/10/2020 - 06:0
Lui je l'aime bien et ce soir je jetterai un oeil à ce nouveau numéro, C'est un Thème qui me fascine. Le gout du vrai...
Deux temps forts sont au programme de cette soirée autour des fake news: le premier sur le mouvement complotiste pro-
Trump QAnon, et le second sur les milices digitales autour de Jair Bolsonaro, le chef de l’État brésilien.
On a parfois l’impression que dénoncer les fake news proférées par Donald Trump ne sert à rien…
On n’a pas l’ambition d’être regardés par l’électorat de Trump. Ce n’est d’ailleurs pas notre objectif. Pendant 90 minutes, on va démonter la mécanique des fake news, montrer comment elles sont créées sciemment et diffusées principalement par les réseaux sociaux. Elles ne servent pas seulement à faire élire un président, elles ont surtout des conséquences humaines dramatiques pour les citoyens brésiliens et américains.
Par exemple?
Je viens de rentrer de Barcelone où je suis allé interviewer Jean Wyllys pour cette soirée spéciale. Pendant près de dix ans, il a été député au Brésil et militant pour les droits des homosexuels. Dès l’élection de Bolsonaro, il a été une cible privilégiée du “cabinet de la haine”, la milice digitale composée des fils du président brésilien, qui répand des fake news homophobes sur le réseau social WhatsApp. Il a dû fuir le pays et sa meilleure amie a été assassinée. L’homophobie, exacerbée par Bolsonaro, fait désormais une victime toutes les dix-sept heures dans le pays.
L’armée numérique derrière Trump va-t-elle l’aider à se faire réélire?
Ce qui est sûr, c’est qu’elle sera prête à relayer de fausses informations pour discréditer les résultats du vote, si besoin. Dans la première partie de la soirée, on dévoile les dessous du mouvement complotiste QAnon qui est la mouvance conspirationniste la plus puissante jamais observée jusqu’ici. Nous avons interviewé Kim qui témoigne de l’influence progressive de cette secte sur son mari.
Comment peut-on démêler le vrai du faux au quotidien?
Il faut évidemment regarder
La Fabrique du mensonge sur France 5. (
Rires.) Le mieux, c’est, bien sûr, de privilégier les sites internet des journaux connus, comme Le Monde, Libération, Le Figaro et, surtout, de toujours garder en tête que les fake news viennent à vous sans que vous les cherchiez, par les réseaux sociaux principalement. Nous, les journalistes, nous devons aussi redonner confiance aux gens, prendre le temps de décrypter, vérifier, analyser et, surtout, reconnaître quand on s’est trompés. C’est ce que je fais dans mon travail.