Usual a écrit :Ha, mais en fait, la dictature de Tandja et l'Armée au pouvoir, c'est certainement mieux pour la population
T'enfonce des portes ouvertes, le constat que tu fais, je le fais aussi, et si Areva s'en va, ce sera Uranium@Chine/Inde qui en profitera. Il n'y a pas de solutions à ce problème, tu vis dans un monde de requins, et faire le poisson rouge, c'est risqué.
C'est le pragmatisme qui nous tuera à petit feu :
- Pas la peine de se préoccuper du dealer de crack en bas de chez moi, puisque si on l'enlève, un autre prendra sa place.
- Mon voisin, il doit bien mourir un jour, pourquoi n'irais-je pas le tuer tout de suite, puisqu'un jour ou l'autre il y passera ?
- Si Areva s'en va, les autres prendrons sa place
Nous français, continuons sans relâche à piller et violer l'Afrique avant qu'un autre ne le fasse.
Tandja : dès qu'un président
elu malgrè tout démocratiquement, décide de normaliser les relations commerciales de son pays, histoire de négocier avec les plus offrants, et non plus les meilleurs corrupteurs, il devient tout de suite un méchant dictateur pas ses anciens clients.
Par contre en 90, quand le même Tandja torturer les touaregs nigériens, on a entendu qui chez les européens ? Les touaregs réclamaient seulement le partage des richesses minières, le respect de leur territoire et l'embauche prioritaires des autochtones dans les mines ...
Quand il torture des militants, pas de souci, mais quand il négocie avec Pékin, là on le traite de dictateur ?
La Chine s'est accaparé le plus gros du marché de l'immobilier algérien. Ça fait des années maintenant. A-t-elle eut besoin, comme la France pendant 150 ans, de considérer les algériens comme des indigènes et de leur caguer dessus, au sein même de leur pays pour mener à bien son activité ?
