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Version complète : Serie A : je suis rital et je le reste
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On peut rajouter Cana...Shutup
Rava avait fait l'identique que Lucarelli à Perugia pour sa fin de carrière. Au bout d'un an il aurait pu rejouer en serie A à la Reggina mais il a tenu à rester jusqu'à la fin de son activité.
Lorenzin a écrit :Rava avait fait l'identique que Lucarelli à Perugia pour sa fin de carrière. Au bout d'un an il aurait pu rejouer en serie A à la Reggina mais il a tenu à rester jusqu'à la fin de son activité.
oui, mais ... Rava ... :incline:
Et Lucarelli, il a tout de bon, lui Yahoo
LadyKillers a écrit :oui, mais ... Rava ... :incline:
Et Lucarelli, il a tout de bon, lui Yahoo

A la difference que notre bien aimé Rava était en fin de carriere et que Lucarelli commence à flamber, ce qui me parait donc encore plus noble.

Pour la petite histoire Lucarelli est né à Livourne, bastion coco rital s'il en est.
Lui meme a des convictions politiques très marquées à gauche et est très impliqué dans le mouvement depuis sa jeunesse.
Quand ce garcon condamne "le football moderne", il sait de quoi il parle.
Il a refusé des offres mirobolantes pour l'amour de sa ville, et pour etre en adéquation avec ses idées politiques.
Je ne me prononce pas sur ses couleurs, ce n'est pas le sujet, je dis juste qu'il reste encore des joueurs de ballon intègres.Bowdown

Halte aux MERCENAIRES:nono1:
Pour mémoire :
moi-même et le fanzine des SW a écrit :









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[size=+2]HASTA LA VICTORIA SIEMPRE






Dans son édition du samedi 4 décembre 2004¸l’Equipe Magazine consacrait un reportage à Lucarelli, joueur de Livourne revenu évoluer dans le club de son c½ur au nom de certaines valeurs. Un exemple dont feraient bien de s’inspirer certains joueurs…
Voici l’article dans son intégralité :

LUCARELLI, LE « CHE » DU CALCIO
L’attaquant italien Cristiano Lucarelli n’a jamais caché ses convictions communistes, tant comme supporteur de Livourne, en Serie A.

UN, deux, trois… Livourne. Avec Cristiano Lucarelli, on peut facilement paraphraser Ernesto Guevara qui exhortait les « anti-impérialistes » des années 60 à « créer un, deux, trois Vietnam ». Aujourd’hui, le « Che » et sa barbe fleurie ont été imprimés sur des millions de tee-shirts à travers le monde. Lucarelli en portait un, sous son maillot de l’équipe d’Italie Espoirs, quand, en 1997, il inscrivit un des six buts des Transalpins face à la Moldavie. Ce match éliminatoire du Championnat d’Europ se déroulait à l’Ardenza, le stade de Livourne. Le poing levé, Cristiano Lucarelli se dirigea alors vers le virage nord et releva son maillot pour présenter l’effigie du leader cubain à ses supporters en délire.
Cette image, dépassant elle aussi la réalité, a fait le tour de son (plus petit) monde. Cristiano Lucarelli, attaquant, buteur né en 1975 à Livourne, est ainsi devenu « le footballeur communiste ». Ce cliché le poursuit encore, et il faut dire qu’il y met du sien pour l’entretenir. Pas plus tard que fin novembre, la commission d’appel de la Fédération italienne a confirmé l’amende de 30000 euros qui lui avait été infligée pour avoir déclaré : « Ils veulent nous faire redescendre pour des raison politiques, parce que nous sommes de gauche. L’an dernier, les quatre équipes (Pérouse, Modène, Empoli et Ancône) dont les supporters exposaient l’image du Che Guevara en tribunes ont été rétrogradées en Serie B. Maintenant, c’est notre tour ! » L’accusation lancée à Gênes le 3 octobre, au soir de la 5e journée de la Serie A, après une nouvelle défaite (0-2) face à la Sampdoria, a fait grand bruit. Parmi le tollé soulevé, notons la réaction d’Adriano Galliani, vice-président du Milan AC, président de la Ligue italienne et, par ailleurs, bras droit de Silvio Berlusconi, chef du gouvernement (de droite) et président du Milan AC : « C’est la chose la plus grave que j’ai entendue depuis que je suis dans le football… » Peu de voix se sont élevées en soutien du capitaine de Livourne. On n’en a que mieux entendu celle de Marcello Lippi, le sélectionneur national, affirmant que « Cristiano s’est laissé emporter, mais ses idées sont respectables… ». Ses idées, Cristiano Lucarelli ne fait pas que les émettre, parfois trop bruyamment ou maladroitement, il les transforme en actes. Elles ont été condensées dans un livre écrit en collaboration avec Carlo Pallavicino, son agent et confident, intitulé Le milliard (de lires), vous pouvez vous le garder. On y découvre le cheminement qui l’a conduit à renoncer au salaire doré réservé à tout attaquant de son calibre pour rejoindre le club de son c½ur, celui de sa ville natale, l’aider à retrouver la Serie A quittée depuis 1949, et y parvenir. Quand il menace, au printemps 2002, de rompre son contrat (courant jusqu’en 2006) avec le Torino, le monde du football italien est interloqué. Lucarelli apparaît pour certains comme un illuminé prêchant cette croyance désuète de « l’amour du amillot ». Pour d’autres, c’est un lâche incapable d’affronter le stress engendré par « le plus beau championnat du monde » (le Calcio). Mais rien n’y fait : après cinq saisons en Serie A (Atalanta, Lecce, Torino) et une Liga espagnole (Valence), il franchit son rubicon en signant pour l’Association Sportive Livournaise, alors en Serie B, et en assurant vouloir y terminer sa carrière.
Quarante et un matches et vingt-neuf buts plus tard, le pari de l’attaquant fou est gagné. Livourne retrouve l’élite après cinquante-cinq ans de purgatoire (Serie B) ou d’enfer (Serie C). La liesse qui embrasse le port toscan est à la mesure de l’exploit. Cristiano Lucarelli n’est pas le seul artisan de ce retour au firmament, mais il en est plus que le héros, le symbole d’un phénomène qui interpelle l’Italie. Le pays est gouverné par une coalition de droite, mais si un « village » résiste, c’est bien Livourne. Ce n’est sans doute pas un hasard si, en 1921, le Parti communiste italien y a été fondé. Depuis, le port toscan s’est forgé l’image du bastion qui partage, scrutin après scrutin, la majorité de ses suffrages entre les communistes modérés (devenus démocrates de gauche) et ceux qui sont resté fidèles au dogme. Nulle part comme à Livourne, on ne trouve autant d’opposants à Forza Italia, le parti ultralibéral fondé par Berlusconi. Et nulle part, on n’en trouve autant que dans les tribunes de L’Ardenza.
Pendant longtemps, trop longtemps, Cristiano Lucarelli a participé aux rencontres de l’AS Livourne dans le virage nord, là où se rassemblent les « Brigades autonomes livournaises » (BAL), dont il fut membre fondateur. Dès que son emploi du temps de footballeur professionnel le lui permettait, il filait chez lui, ou ailleurs, pour soutenir les « Amarantes » au milieu de ses amis. Il porte aujourd’hui le numéro 99, comme l’année de fondations des « BAL », dont plus de trois cents membres sont aujourd’hui interdits de stade en application de la loi contre les violences et les slogans racistes ou politiques dans les enceintes sportives. Mais, quoi qu’il advienne et même si cela coûte cher au club, il ne se passe pas un match de l’AS Livourne sans que fuse le slogan « Berlusconi, pezzo du merda » (« Berlusconi, tas de bouse »).
Ils ont pu le hurler, à plus de dix mille gorges déployées, le 11 septembre dernier. Ce jour là, Livourne a retrouvé la Serie A au stade San Siro, face au Milan AC de Berlusconi. Et autant que la performance sportive (2-2, doublé de Cristiano Lucarelli) sur la pelouse des champions en titre, celle des supporters « amarante » a alimenté les gazettes. Après ce départ en fanfare, Livourne a peiné, dégringolant aux dernières places avant de se ressaisir, le 24 octobre, lors de la 7e journée. Ce jour là, Livourne a renoué avec son histoire, en remportant sa première victoire (1-0, but de Lucarelli) en Serie A depuis 1949.
Les Amarantes ont ensuite enchaîné les succès pour remonter dans la première moitié du classement. Avec, la plupart du temps, la même image de son buteur le poing brandi vers les « BAL ». « Hasta la victoria siempre », semble crier Cristiano Lucarelli, héros de la révolution livournaise…

Par Christian Jaurena, à Livourne.









[Image: lucarelli.jpg]






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Vite alors faut organiser un débat politique Di Canio versus Lucarelli :mf_laug2
Lucarelli Clap
Lucarelli Clap
Lucarelli Clap

:punk1: :punk1:
Pour rappel La BAL est jumelé avec le CU.

Pour ma part j'espere faire le déplacement à livourne le 25/09 pour la reception d'Ascoli, plutot orienté extreme-droite. Ca risque d'etre chaud entre la BAL et le Settembre Bianco Nero.

A voir pour les amoureux de joutes verbales ( et peut etre physique pour l'occaz):echarpe-o
capocannoniere a écrit :Pour rappel La BAL est jumelé avec le CU.

Toutafé.

D'ailleurs, si l'on écoute les chants dans les travées d'Armando Picchi, d'étranges similitudes se font jour avec des airs habituels du Virage Sud... Sly
Le Napoli se bat toujours. Après le refus du conseil d'etat, il a redéposé une requete au tribunal administratif de Rome pour jouer en serie B.

La grande part des matchs de serie B risquent d'être annulés pour la prochaine journée. C'est un protestation des maires des équipes engagées qui n'ont pas été consultés par la lega pour discuter du choix de l'horaire des matchs qui leur a été imposé chaque samedi à 15 heures.


Vous voulez encore un beau geste ? Damiano Tommasi a prolongé d'une saison à la Roma alors qu'il était en fin de mission, il avait reçu quelques autres offres. Alors c'est vrai, il a été souvent lésioné mais vous savez combien il va toucher par mois avec ce contrat ? Seulement 1500 ¤/mois, j'en connais qui aurait du faire pareil à une période... Il ne l'a jamais caché il aime les giallorossi.
damiano tommasi joue encore au foot?No
Disons qu'il va réessayer de récupérer ses facultés au foot. Avec ses pépins il ne pourra être qu'à 70% au maxi. Spaletti le fera entrer uniquement en coppa Italia, plus de rares bouts de matchs en championnat. Avant lui, le mister lui préfère Mancini, De Rossi, Taddei, Perrotta, Dacourt et même Aquilani.
dommage il etait tres tres fort a la grande époque de la roma
apres on l'a plus vu il a eu quoi?
Vu sur Goal.com

Salgado à la Juve ?


Le défenseur espagnol du Real Madrid pourrait s’engager en prêt avec la Juventus de Turin à partir de janvier 2006 !
Le [b]Real Madrid
comptant sur le renfort en janvier prochain du défenseur international Cicinho, Michel Salgado pourrait bien quitter la « Maison Blanche » à l’arrivée du Brésilien. La présence du jeune défenseur uruguayen Carlos Diogo avait déjà fragilisé la position de Salgado au sein de l’effectif Merengue.

Arrivé au Real en 1999 en provenance du Celta Vigo, Michel Salgado a surpris son monde en annonçant qu’il partirait certainement rejoindre la Serie A et la Juventus de Turin : « Le Real m’a offert à la Juve pour un prêt de six mois à partir de janvier prochain. Les dirigeants du club m’ont dit ça directement et j’avoue que c’est une solution qui me réjouie ! ».

Il semblerait que ce prêt soit agrémenté d’une option d’achat qui pourrait permettre aux italiens de s’offrir définitivement les services de ce joueur bientôt trentenaire ! Les Piémontais avaient déjà approché le défenseur au début de l’été mais les dirigeants merengues avaient refusé de se séparer de Salgado, ne sachant pas encore si Cicinho accepterait de les rejoindre ou non. Aujourd'hui, leur position est donc beaucoup plus flexible...
[/b]
Même source, autre joueur...
Cassano : l’Inter s’y met aussi !
05/09/2005 11:46:00
Alors qu’il négocie toujours avec la Roma la prolongation de son contrat, Cassano est aujourd’hui la nouvelle proie de l’Inter de Milan !
Après la Juve et le Milan AC, c’est l’Inter de Milan qui lorgne désormais sur le prodige italien de l’AS Roma. Réputé pour son caractère bien trempé, Antonio Cassano accumule les difficultés du côté romain et fait traîner en longueur les négociations concernant une éventuelle prolongation de contrat. A ce jeu du « je t’aime, moi non plus », l’Inter vient d’apporter son grain de sel en dévoilant ses ambitions concernant l’attaquant italien !

C’est Lele Oriali, le directeur du club lombard qui a révélé qu’il étudiait la possibilité d’un transfert de Cassano dès le mois de janvier prochain : « Si en janvier ou un peu après, nous avons la possibilité de prendre Cassano, il est fort probable que Moratti offrira alors "ce cadeau" à Mancini, notre coach ! ». Les discussions entre la Roma et Cassano doivent justement reprendre cette semaine... Inutile de préciser que Beppe Bozzo, le représentant du joueur, utilisera cette information pour négocier au mieux, le contrat de son protégé !
poluxo a écrit :Vu sur Goal.com

Salgado à la Juve ?


Le défenseur espagnol du Real Madrid pourrait s’engager en prêt avec la Juventus de Turin à partir de janvier 2006 !
Le [b]Real Madrid
comptant sur le renfort en janvier prochain du défenseur international Cicinho, Michel Salgado pourrait bien quitter la « Maison Blanche » à l’arrivée du Brésilien. La présence du jeune défenseur uruguayen Carlos Diogo avait déjà fragilisé la position de Salgado au sein de l’effectif Merengue.

Arrivé au Real en 1999 en provenance du Celta Vigo, Michel Salgado a surpris son monde en annonçant qu’il partirait certainement rejoindre la Serie A et la Juventus de Turin : « Le Real m’a offert à la Juve pour un prêt de six mois à partir de janvier prochain. Les dirigeants du club m’ont dit ça directement et j’avoue que c’est une solution qui me réjouie ! ».

Il semblerait que ce prêt soit agrémenté d’une option d’achat qui pourrait permettre aux italiens de s’offrir définitivement les services de ce joueur bientôt trentenaire ! Les Piémontais avaient déjà approché le défenseur au début de l’été mais les dirigeants merengues avaient refusé de se séparer de Salgado, ne sachant pas encore si Cicinho accepterait de les rejoindre ou non. Aujourd'hui, leur position est donc beaucoup plus flexible...
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s'il y va, on aura enfin la preuve que ce joueur est très moyen, c'est tout... Wicked
T'estime que c'est une regression de partir d'Espagne pour aller en Italie???:vod:
Kokane a écrit :T'estime que c'est une regression de partir d'Espagne pour aller en Italie???:vod:
et bien non, mon cher, justement : un défenseur considéré comme très bon en Espagne, si on le fait jouer à haut niveau, c'est à dire dans le Calcio :happy2: , on se rend compte de sa vraie valeur. Et donc on verra qu'il n'est pas très bon ...

:ball:
LadyKillers a écrit :et bien non, mon cher, justement : un défenseur considéré comme très bon en Espagne, si on le fait jouer à haut niveau, c'est à dire dans le Calcio :happy2: , on se rend compte de sa vraie valeur. Et donc on verra qu'il n'est pas très bon ...

:ball:

Wub Désolé d'avoir mal compri...Mais qu'est ce que cette réponse fait plaisir!! :happy2:

J'avais pas vu ta phrase sous cette optique...:)
Je suis assez d'accord avec toi Lady.
Pas sur le niveau des deux championnats, mais sur celui de Salgado qui est un joueur de metier qui occupe bien son couloir mais ne m'a jamais semblé génial.
A voir donc (même si la Juve a toujours semblé preferer ce type de joueurs en lateral: rigoureux, et pas trés aventurier )...
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