C'est toujours difficile à comparer parce que dans le budget du film US tu as le poste dépense de la star qui peut faire mal suivant le nom (de 10M à 70 ) et il faut rajouter celui du réalisateur mais je comprends quand même ton idée..
Dans le meme ordre d'idée je suis toujours estomaqué quand je tombe dessus de voir le budget de certaines comédies françaises vu le rendu à l'image puis beaucoup moins quand tu vois le salaire de Danny Boon ou je sais pas qui
Vu Oppenheimer, j’adore ce qu’a fait Nolan mais celui-ci malgré Cyllian Murphy j’ai pas trop accroché. Le choix peut-être de présenter son histoire essentiellement par cette enquête sur ses motivations politiques... ?
Vu Killers on the flowers moon, un pan de l’histoire amérindienne que je ne connaissais pas à travers ce peuple Osage. Excellent à tous points de vue, le thriller, la photo, le montage, les points de vue, du très grand Scorsese une fois de plus. A l’instar de Eastwood l'âge N’a aucune prise sur lui. Et que dire de l’actrice indienne Lily Glastone, impressionnante lorsque l’on sait que ce n’est pas son métier à la base.
di Caprio et DeNiro j’ai pas de mots pour dire mon admiration à chacun de leurs films mais là quel niveau atteint !
Nolan est sur la pente descendante depuis Memento.
J'ai detesté, j'ai vu ça comme un clip M6 de 2 heures.
Je tiens à féliciter Zack Snyder pour son Rebel Moon. J'avais mis la barre des attentes au sol, quelle ne fut pas ma surprise quand je me suis rendu compte que j'aurais dû creuser une bonne centaine de mètres en profondeur avant.
A ce niveau, c'est juste insultant. Ne lui donnez pas deux heures de votre temps.
Vu aussi Rebel moon
C’était bien de faire grève mais je pense qu’aucune IA à qui on aurait filé en vrac les mots - Star Wars, Dune, fondation, Warhammer, sept samouraïs - n’aurait pu écrire un scenario aussi pérave
Zero en narration. Et même l’image n’arrive pas à sauver le bouzin. On peut ne pas aimer Snyder mais c’est un cinéaste qui a souvent une patine, rien à sauver ici à part quelques plans par ci par là.
Ca clôture une année cata niveau Blockbuster. Pas grand-chose à sauver.
J'ai regardé les deux-trois premières minutes par curiosité, étant très client de tout ce qui est SF. J'ai de suite compris que ça n'allait pas être possible, alors j'ai éteint le truc et j'ai regardé à la place
The Eagle, un "film" sur une légion romaine disparue au-delà du mur d'Hadrien. C'était nul aussi. Merci Netflix
Rebel Moon, c'est nul de chez nul
oui, j'ai bien aimé aussi
C'est pas mal du tout. Gilles Lelouche est en train de devenir un acteur intéressant.
J'ai finalement été voir Napoléon et c'était vraiment pas top
Quel gâchis, rien (ou pas grand chose) ne va
J'avais lu un article qui disait qu'il fallait attendre la version director's cut de 4h qui sortira, mais je me demande bien comment ça va corriger les nombreux défauts, approximations et simplismes
Comment il pouvait en être autrement ? le point de vue d'un anglais sur Napoléon
Vu les algues vertes. Très bon sujet, mais scénar. totalement foiré. On dirait un mauvais téléfilm de l'après midi.
Quel dommage.
Dans le même genre, le style par-dessus le fond, j’ai vu Saltburn sur Amazo
Emerald Fennell s'était faite remarquée avec son premier essai derrière la caméra, promising Young Woman, film de vengeance féministe énervé, pop et stylisé qui m’avait poussé à pondre un post sur ce topic, et qui lui avait valu une récompense aux Oscars. Du coup, la meuf’ prend la thune d’Amazon pour son nouveau projet, j’en suis.
Sur le style, toujours rien à dire, filmé en 1.33 par Fennell, superbement photographié, toujours aussi stylisé (même si moins saturé de couleur que son précèdent) Madame (ou mademoiselle d’ailleurs) sait filmer, on ne peut pas lui retirer. Il y a des plans ou des scènes entières qui scotchent….
Le souci ici c’est plutôt le fond… ca part presque comme un romcom gay tant qu’on est à l’école, puis ca passe à la critique sociale quand on arrive à Saltburn pour le gros morceau du film, un passage par le mélo pour finir en thriller sur la fin. On ne sait jamais trop sur quel pied danser. Le coté shaker c’était un peu déjà le cas dans son premier mais ca m’avait moins gêné.
Signalons aussi qu'on se fade des scènes censé choquer le bourgeois ou pousser le potard sur le coté grotesque du film ( un mec qui boit l’eau du bain ou son pote s’est branlé, une scène de cuni avec une nana qui a ses règles, ce genre..)
Au final, à tout vouloir toucher, le film manque étrangement de substance malgré son emballage réussi.
Anyway, même si c'est pas totalement réussi, j'ai bien aimé - moins que son premier - mais on voit pas des trucs comme ca tous les jours non plus (encore moins sur Amazon) et je serais sur son troisième. Le jour ou elle va caler le fond et la forme (pas trop de doute là-dessus), elle va nous claquer un pur film.
Tiens en voyant Portman chez Delahousse, elle est tres bien dans May December.
The Holdovers (winter break)
Du cinéma indep’ américain comme on en faisait beaucoup avant, beaucoup moins maintenant.
Un peu old school donc (jusqu’au grain de l’image), bien réalisé, bien écrit, bien joué (l’alchimie entre les 3 fonctionnent bien, paul giamatt et le jeunot particulièrement) . Chouette soundtrack.
Allez, soyons honnête, c'est un brin trop long (2h13 no fucking way !) mais le combo feel good/doux amer emporte assez largement le morceau.
Payne s’était un peu perdu ses derniers temps mais c’est son meilleur depuis
sideways. Mieux que
the descendant, son dernier truc qui a marché.
https://www.youtube.com/watch?v=JQ0mcIaeQmo