Usual a écrit :Si tu veux tenter une expérience intéressante, procure toi la bande originale du film, par Nick Cave & Warren Ellis. Les pistes correspondent aux chapitres, tu les mets en Repeat le temps de finir chaque partie. C'est un régal 
je tenterais l'aventure sans hesiter oui, merci pour le conseil!
plus au moins dans le meme genre, je me souviens avoir lu Akira tout en me repassant dans la tete certaines melodies du film d'animation. la bd vaut largement plus le detour mais c'est vrai que le melange lecture-musique m'avait bien emballé
cetace a écrit :
Rhooo ne me dis pas que ne l'a pas comprise celle-là ?

Non Mazargues, s'abstenir!
Il faudrait que je le regarde un de ces jours, la promo MLF style m'a rebuté complet. On y apprend de nouvelles choses où si on s'intéresse à ces questions c'est du déjà vu?
Mmmmmmmm.
Pour ma part, j'ai pas appris des millions de choses mais quand même quelques unes.
Le témoignage de
Claude Bourgignon est excellent, Pierre Rabhi.... bein Pierre Rabhi quoi, etc...
Enfin, je te le conseille.
Bah pour moi qui suis sensible à toutes ces questions sans être un "ultra",j'ai trouvé ça interessant...
Hier soir j'ai pris ma claque avec
Welcome de Philippe Lioret, et ce soir re-bourre pif mais avec Sam Mendes et ses
Noces rebelles :smoke1:
Sans compter le formidable
No country for old men (Cohen brothers) de la semaine dernière, je m'en sors rudement bien ces temps-ci. :happy2:
Le ciné c'est pas mal des fois.

Tofinou a écrit :Hier soir j'ai pris ma claque avec Welcome de Philippe Lioret, et ce soir re-bourre pif mais avec Sam Mendes et ses Noces rebelles :smoke1:
Mazargues a écrit :
Concernant Les Noces Rebelles (Revolutionary Road), je crois que je me suis toujours pas remis de la fin. Dans le genre claque dans la gueule, la dernière scène est epastoufilante. Et franchement déprimante.

Est-on chacun condamnés un jour ou l'autre à renoncer?
Dommage que la communication autour du film n'ait été entièrement tournée que vers les retrouvailles entre Jack&Rose, même si le film joue beaucoup là-dessus (d'ailleurs ce ne sont pas les seuls acteurs issus de Titanic, puisque la vioque qui leur vend la maison est également celle qui joue les "entremetteuses " dans le film de Cameron. Clins d'yeux quand vous nous tenez.
Kathy Bates)
Tofinou a écrit :Hier soir j'ai pris ma claque avec Welcome de Philippe Lioret
Moi aussi j'ai pris une claque hier soir avec Twilight 2 mais derrière la nuque du coup je me suis endormi après 15mn de film

J'avais bien aimé car assez original. Mais Benicio Del Toro cabotine un max.
Le hic, c'est que le réal essaye d'insuffluer une espèce d'ambiance avec des faux sursauts à deux francs et un scénare à faire envier les feux de l'amour

La photos est belle c'est indéniable, mais le reste est cousu de fil blanc. Et vu que les passages de charcutages ne sont pas assez présents pour éviter l'ennuie, bah au final on fini par s'ennuyer.
Vu "Defendor", pas mal !!!
Je crois que je viens de tomber sur la palme du film le plus pourri que j'ai vu dernièrement.
Pourtant, l'affiche était alléchante (R.Duris, C.Gainsbourg...)
Persécution :hum:
J'ai maté un classique pour la fumerie. No country for old men. Des frères Cohen.:smoke1:

. Quel talent ! Et quel regale !
La fin aussi surprenante qu'un Baky.

Pour pas mourir con j'ai tenté un Pierrot le fou, j'ai stoppé après 25 minutes...j'hésite à reprendre...
Paraitrait-il que c'est un Godard abordable.
J'ose pas imaginer la tronche des autres...

foutcheubol a écrit :Pour pas mourir con j'ai tenté un Pierrot le fou, j'ai stoppé après 25 minutes...j'hésite à reprendre...
Paraitrait-il que c'est un Godard abordable.
J'ose pas imaginer la tronche des autres...
Tu devrais commencer par le premier A bout de souffle, le scénario original est de Truffaut.
Godard va déja le filmer à sa sauce déstructurée mais il reste encore un récit . Une histoire malgré tout racontée derrière l'Histoire du cinéma en toile (sic) de fond et... pour sa forme

.
Et puis cette réplique culte à la fin de Jean Seberg répliquant à Belmondo :
"Qu'est ce que ça veut dire dégueulasse" avec son délicieux accent américain.
Sinon il y a le Mépris d'après Moravia.
Pour le reste de la filmographie de Godard je pense qu'il faut être un brin initié au même titre que l'art contemporain.
C'est un cinéaste qui va durant toute sa filmographie privilégier au travers de multiples références (littérature, peinture, etc et mise en abime du cinéma) le langage contre le récit, le sens contre l'histoire... l'image en tant que vecteur d'émotion signifiante.
Bref c'est une véritable prise de chou... avec de grandes et belles fulgurances tout de même.