(08-08-2011, 19:59)diegogo a écrit : [ -> ]Pour Paul la vo est obligatoire etant donné que c'est Philippe Manoeuvre qui fait le doublage de l'alien. Entendre pendant 2h la voix de ce type revient a se laver les oreilles avec des lames de rasoir. Ce con gache completement le film.
Sinon au festival d'avignon j'ai vu cette affiche...
![[Image: CAVEMAN-22a-4e11676235e68.jpg]](http://www.theatre-contemporain.net/images/upload/thumbs/L255-H359/CAVEMAN-22a-4e11676235e68.jpg)
C'est effectivement très ressemblant.
J'ai pas envi de le lire non plus

, mais merci quand même
(30-07-2011, 00:55)El chi a écrit : [ -> ]je suis curieux de savoir ce que ça peut donner
![[Image: nouvelle-bande-annonce-planete-singes-or...Pccsg.jpeg]](http://media.paperblog.fr/i/462/4625163/nouvelle-bande-annonce-planete-singes-origine-L-0Pccsg.jpeg)
Vu hier soir en avant-première.
Je suis un grand amateur des bouquins et des premiers films. Le Tim Burton m'avait déçu, cela ressemblait trop à un film de commande hollywoodien et Mark Walhberg était très mauvais.
Pour celui-ci, je m'attendais à un blockbuster typique, avec action, explosion, baston, et poursuite toutes les 3 minutes pour ne pas endormir l'ado occidental épileptique.
Finalement, c'est moins pire que prévu. Le scénario est plutôt bien, même si il reste très classique et met un peu de temps à partir.
Ils ont voulu mettre l'accent sur le rapport homme/animal, ce qui est bien vu, même si je trouve que l'émotion passe mal et que les personnages sont trop convenus.
Un film pas trop mal, très loin de toutes les bouses américaines récentes. Mais si j'avais payé ma place, j'aurais été très déçu, je pense.
Vu Toto le héros, film intéressant qui propose de réfléchir aux évènements d'une vie qui, à un moment donné, auraient pu donner une autre tournure à celle-ci.
Si je n'avais pas été boire un verre un soir de mars 94 dans ce troquet étudiant...
(10-08-2011, 11:30)paddy a écrit : [ -> ]Vu Toto le héros, film intéressant qui propose de réfléchir aux évènements d'une vie qui, à un moment donné, auraient pu donner une autre tournure à celle-ci.
Si je n'avais pas été boire un verre un soir de mars 94 dans ce troquet étudiant...
Ton pied n'aurait pas buté Cynik jonchant le sol ?
Tu n'aurais pas vu le filtre tout nu en train de crier YAKALELO YAKALELO ?
En 94, le Filtre, il n'était pas encore né.
Je viens de voir Requiem pour un massacre. Assez inaccessible de part ses longueurs et sa réalisation brouillonne. Film sur les horreurs de la guerre en Biélorussie.
Sinon, séance de cinoche familiale en ce moment, avec le tour du monde en 80 jours.
Les petit sont à fond, entre voyage en ballon, traversé de l'océan en bateau à voile, corrida en Espagne etc... On y va par petits bouts, 2h46 au total, olé.
T'aurais du mettre la version avec Jackie Chan et Cecile de France. Elle fait 45 minutes de moins

Bof, les films érotico-karaté, ça casse pas une planche en deux.
Tiens, Cecile de France, je l'avais vu dans
Haute tension, un film de Alexandre Aja (La Colline a des yeux).
Côté karaté, ça tranchait bien. Ou côté tranche, ça karatakait bien, au choix.
(10-08-2011, 14:06)paddy a écrit : [ -> ]Je viens de voir Requiem pour un massacre. Assez inaccessible de part ses longueurs et sa réalisation brouillonne. Film sur les horreurs de la guerre en Biélorussie.
T'as vu
Woman ? qui a l'air de faire son petit évènement dans les milieux autorisés

J'ai essayé de regarder Blitz, j'ai tenu un quart d'heure. C'est convenu, clichés, avec un flic rebelle qui fait sa justice à sa sauce. beark !
Vu La Planète des Singes : Les Origines. Ma foi, c'est un chouette rebondissement pour la saga, après la bouse de Burton (sorry Mr.Grieves.) J'ai un peu regretté l'aspect binaire et manichéen du film : le gentil savant qui poursuit ses recherches à l'insu de sa méchante compagnie, Cesar qui amène la révolte des singes par pure motivation de vengeance, je m'étais imaginé quelque chose de plus fin... Reste que le scénar' tient carrément debout, et surtout, il est impossible de ne pas éprouver d'empathie pour César. À tel point que c'est inimaginable de ne pas prendre partie pour les singes lors de la révolte.

J'aime beaucoup le parti pris du film de finalement mettre James Franco "dans l'ombre" afin de privilégier Cesar et son évolution. Bon, en revanche, la sublime Freida Pinto réduite à un simple "love interest" de pacotille, c'est pas bieng.

Draco Malfoy s'en sort pas mal par ailleurs.
Brefle, ça vaut le coup.

Vu Capitaine Amérique (oui, vu qu'il ne nous aime pas, bah j'l'aime pas non plus.

) Plutôt sympa, au final. L'atmosphère WWII est assez bien rendue, les scènes d'action pêchues, et le second degré n'est jamais très loin, fort heureusement.

Le film a simplement l'ambition de divertir, et ne s'aventure pas plus loin que ça. D'autant que le gros souci, c'est qu'avant même que ça ne commence, on sait comment ça se termine, à savoir Cap'Am' prisonnier des glaces (ben ui, faut bien trouver un truc pour le ramener à notre époque.

) Sympa la tentative plus ou moins réussie de toutélié les films entre eux (le père de Tony Stark, qui a d'ailleurs beaucoup de traits de caractères communs avec son fils

, partie prenante du projet Super Soldier, le Cube Cosmique issu des légendes de Thor...) Un très honorable blockbuster au final. Comme souvent ces derniers temps avec Marvel, si on excepte Hulk de Leterrier...
La scène post-générique, c'est un teaser de The Avengers. Ça vaut le coup de rester.
Post it pour signaler deux objets cinématographiques regardés récemment, pour autant de claques monumentales :
La vida loca de Christian Poveda
Documentaire sur le gang salvadorien Mara 18 d'une violence inouïe et ultra précieuse lorsqu'il s'agit de se souvenir de ce que représente la vie. Un boulot à peine croyable, une immersion sous haute surveillance sans doute et moyennant finances certainement, mais de savoir que le réalisateur l'a payé de sa vie enfonce ce clou déjà bien pointu. A voir absolument, mais pas pour se fendre la poire
Milk de Gus Van Sant
Film sur l'éclosion et l'ascension fulgurante d'une personnalité politique Harvey Milk importante pour la communauté gay et sa représentation sociale. Pour Sean Penn évidemment (oscarisé à cette occasion et vraiment c'est mérité), mais aussi pour se souvenir de la difficulté d'être perçu comme différent dans un monde qui a bien du mal à évoluer. Vertus documentaires indéniables aussi quand on n'est pas très au fait des mouvements gays US à la fin des années 70. A voir absolument, avec beaucoup plus d'humour que dans le docu mentionné au dessus...
