Je crois que je l'ai déjà vu 3 fois.
Même pas peur

Comment un fan de Kourtrajmé peut avoir un aussi mauvais jugement sur autant de sujets??

Pour le bruit des glaçons, je concède une déception avec du recul! C'est long, la fin est toute chelou et pourtant j'ai eu un bon p'ti arrière goût en bouche après visionnage! Bizarre.. Un intermède musical:
http://www.youtube.com/watch?v=E3jHvvn-vFQ
Paddy, je savais pas que finalement tu avais succombé aux charmes de Sheitan! Tu vas devenir notre
![[Image: maitre-capello.1202560670.jpg]](http://kamizole.blog.lemonde.fr/files/2008/02/maitre-capello.1202560670.jpg)
du ciné à nous...
En revanche, le premier long de romain gavras, autre membre du collectif, Notre jour viendra est pas terrible! Pourtant, l'idée de départ est tout à fait dans l'esprit: la revanche des roux! Dommage...
On n'a pas pu voir tous les films que l'on aurait souhaité sur place car ça rentrait pas dans notre planning mais on poursuit l'aventure Gerardmer affalés sur un canapé. L'avantage, c'est qu'on peut mettre une pause pour aller chercher des balles neuves dans le frigo et qu'on peut aller s'oxygéner sur le balcon avec nos sachets de thé.
Hier soir, c'était un film coréen un de plus, qui a eu excusez du peu, le prix de la Critique et et le prix du Jury Jeunes de la Région Lorraine

par le réalisateur de l'énormissime
2 soeurs et de
Le Bon, la brute et le cinglé Kim Jee-Woon. On retrouve aussi l'acteur qui a joué dans Old Boy et dans Lady vengeance. le décor est planté
J'ai rencontré le Diable (I Saw the Devil)
Une histoire de vengeance, une traque à la No Country for Old Men beaucoup plus tranchante

C'est du tout bon
le livre d'Eli, c'est un film de propagande de l'église catholique ?
Mis à part une très belle photo et ce filtre maronné qui donne cet effet de désolation, y a pas grand chose à en tirer.
(11-02-2011, 16:35)paddy a écrit : [ -> ]le livre d'Eli, c'est un film de propagande de l'église catholique ?
Mis à part une très belle photo et ce filtre maronné qui donne cet effet de désolation, y a pas grand chose à en tirer.
Il me semble pas que ce soit la secte catholique, je crois que Eli, c'est Moon.
Vu sa solitude dans le film, je dirais plutot que c'est un chrétien copte..
Enfin, vu comment l'Eli copte erre.
sauf si quand il chante, Eli slamme
Vu Black Swan. Effectivement, c'est extrêmement fort comme film, on passe par toutes les émotions, à l'image de l'héroïne du film (sublime Natalie Portman



.) L'évolution de la femme-enfant à la fleur épanouie, avec apothéose "on stage" c'est... Énorme. J'ai bien aimé revoir Winona Ryder. C'est d'ailleurs amusant le parallèle qu'il y a avec Natalie Portman : la seconde a fini par éclore avec enfin un rôle digne de ce nom, quand l'autre, tout aussi prometteuse au même âge, a vu sa carrière brisée sur une connerie (ou plutôt une maladie d'ailleurs.) En plus, pour une fois que c'est elle qui se fait voler quelque chose.
J'ai compris ce que vous vouliez dire avec les moments parfois durs. C'est même parfois à la limite du soutenable. L'est fort ce Aronofsky niveau violence psychologique.
En tout cas, au ciné où chuis allé, le film fait un carton. C'est Dany Boon qui doit faire la gueule. Même si Rien à déclarer squattait trois salles.

Vu "Le bruit des glaçons". Excellent.
Vu "The Social Network". Excellent.
(12-02-2011, 21:24)Miki a écrit : [ -> ]Vu Black Swan.
Je devais y aller vendredi soir mais cette c** de nounou nous a fait faux bon
c'est n'est que partie remise pour dans 6 mois pour un ciné en couple
(12-02-2011, 21:24)Miki a écrit : [ -> ]Vu Black Swan. Effectivement, c'est extrêmement fort comme film, on passe par toutes les émotions, à l'image de l'héroïne du film (sublime Natalie Portman

.) L'évolution de la femme-enfant à la fleur épanouie, avec apothéose "on stage" c'est... Énorme. J'ai bien aimé revoir Winona Ryder. C'est d'ailleurs amusant le parallèle qu'il y a avec Natalie Portman : la seconde a fini par éclore avec enfin un rôle digne de ce nom, quand l'autre, tout aussi prometteuse au même âge, a vu sa carrière brisée sur une connerie (ou plutôt une maladie d'ailleurs.) En plus, pour une fois que c'est elle qui se fait voler quelque chose. 
J'ai compris ce que vous vouliez dire avec les moments parfois durs. C'est même parfois à la limite du soutenable. L'est fort ce Aronofsky niveau violence psychologique.
En tout cas, au ciné où chuis allé, le film fait un carton. C'est Dany Boon qui doit faire la gueule. Même si Rien à déclarer squattait trois salles. 
Mal à l'aise pendant une bonne partie du film. Portman toute maigre

Les corps abimés etc
Cassel, comme dans toutes ses apparitions aux States ne sert à rien, juste la caricature de l'Européen. D'ailleurs, Aronofsky et la finesse, ca fait deux. Déjà dans Requiem for a Dream, c'était n'importe quoi
(avec la drogue, tu finis au choix: unijambiste, prostituée ou en prison). L'actrice qui joue la mère est carrément flippante et Mila Kunis est une très bonne actrice finalement.
Film qui ne laisse pas indifférent en tout cas.
Comme toi, la salle était blindée, j'ai du aller à la séance suivante.
Tous les personnages ont leur part d'ombre, mais effectivement, la mère, brrr.

Pousser sa fille jusqu'à ses limites, l'infantiliser, littéralement l'enfermer, la priver de toute chance d'avoir une vie sociale, pour ne pas supporter de la voir finalement réussir là où elle a échoué... Glauque.
(14-02-2011, 14:28)Miki a écrit : [ -> ]Tous les personnages ont leur part d'ombre, mais effectivement, la mère, brrr.
Pousser sa fille jusqu'à ses limites, l'infantiliser, littéralement l'enfermer, la priver de toute chance d'avoir une vie sociale, pour ne pas supporter de la voir finalement réussir là où elle a échoué... Glauque.
Je ne l'ai pas analysé comme ça. J'imagine qu'elle a conscience depuis longtemps des symptômes développés par sa fille. Alors oui, il y a un côté infantilisant, mais également protecteur.
(14-02-2011, 14:33)Godfather a écrit : [ -> ]Ça pue l'inceste aussi.
En gros, il t'a mis mal à l'aise ce film
C'est en gros la ligne directrice d'Aronofsky dans tous ces films.
Il a poussé Portman dans ses moindres retranchements et a réussi à en ressortir la quintessence. C'est un coup de maître pour moi.
Pour Cassel, je ne suis pas d'accord, il a un rôle complet et le tient à la perfection et se rapproche de plus en plus du charisme de son père.
J'ai été surpris de voir les 3/4 de la salle remplie par des jeunes filles, venues pour un film sur la danse. On a pu discuter avec pas mal d'entre elles à la fin et elles étaient marquées dans le sens positif du terme. Il te saisit les tripes, te les étirent bien comme il faut et te laisse sur le cul à la fin.
Ca restera comme un grand film et du vrai cinéma pour moi
Je suis d'accord. C'est un grand film, car il met mal à l'aise justement. Et il est riche en interprétation.
Mais Aronofsky abuse parfois sur les stéréotypes et les situations téléphonées. Même si son talent fait que ça passe plutôt bien. Après, Requiem for a Dream aussi créait le malaise, et avec le temps, je trouve ce film pas loin d'être ridicule.
Sinon, les dessins et portrait de la fille dans la chambre de la mère, la mère qui pleure en faisant de la peinture, ça veut dire quoi??

avec le temps, je me rappelle du rythme crescendo de requiem, je me rappelle de cette sensation d'étouffement, d'asphyxie même, avec des points d'orgues chaque fois dépassés par le suivant, aussi improbable que cela pouvait paraitre... ton analyse me semble trés juste, god', mais est-ce que c'est vraiment l'objet de son film...?
pour moi, il suit un triple descente aux enfers, un décrochage conscient, et oû l'absence d'envie de sortir de l'engrenage fait que l'issue est certaine, mais pas moins insupportable.... ma (mon, d'ailleurs) clope d'aprés ciné a été dure, très dure...
dérangeant, à plusieurs niveaux de lecture, agréable comme un doux bain d'acide chlorhydrique, ne laissant que peu de place à nos âmes nourries aux bons sentiments et aux "happy end", pour moi, requiem fut une énorme claque, et tant d'années aprés, je n'ai toujours pas envie de m'y replonger.... "trainspotting", par comparaison, est une ode au bonheur et à l'espoir, en dépit de la mort du BB... sur ce, on sera d'accord pour accorder du brio au réalisateur, pour sa capacité à t'emmener oû il le désire, et c'est déjà pas mal