Clarky a écrit :moi non pour l'instant, mais je vais le voir c'est sûr, sur la magistrature et la justice, très bien d'après ma moitié qui l'a déjà vu elle.
10e Chambre, instants d'audiences
Excellent ouais, je crois que j'en avais parlé sur ce topic.
![[Image: 7739.jpg]](http://dvdtoile.com/FILMS/7/7739.jpg)
:worthy:
A Rome, Vittoria rompt avec son amant qu'elle trouve médiocre. A la bourse, où elle est venue retrouver sa mère, elle rencontre Piero, un agent de change. Ils tombent amoureux l'un de l'autre et Vittoria espère que cet amour sera éternel.
"Mes films sont comme des statuts" disait l'immense Antonioni.
L'incommunicabilité, thème phare de Michelange, atteint ici son paroxysme et le décor de la nuit romaine participe de ce silence et de cette solitude...
un film différent, sans grand discours, certains le critiquant sur sa longueur, son manque de rythme, mais qu'à celà ne tienne, c'est ces points là qui le rendent plus fort encore.
Blow Up, un film que j'avais présenté dans le topic tv est simplement de toute beauté. On s'attache à son personnage principal, un brin exentrique, complètement démesuré dans ses états d'humeurs.
Un film où une simple photo fait apparaitre les reves et les chauchemards les plus fous. Où se situe réellement la vérité ? Juqu'où peut aller notre imagination ?
Une apparition de jeanne Birkin dans ce film british. On a plus qu'à se laisser promener dans ce londres des années 70.
A voir absoluement pour découvrir un nouveau cinéma, loin des flonflons américains du moment.
![[Image: Pfilm27391255254032.jpg]](http://www.cinemovies.fr/images/data/films/Pfilm27391255254032.jpg)
Bon après avoir vu vite fait la cérémonie d'ouverture des JO, sans commentaire, je me suis lancé dans la vision de Gothika de Kassovitz.
L'ayant loupé au ciné, je me suis fait ma séance de rattrapage.
Avec tout le foin fait autour de ce film, et bien je me suis fais un peu caguer , une histoire déjà vue, on y retrouve du deadzone, hypnose, silence des agneaux et autres Jennifer 8 (pinaise celui là je l'aime bien de film), rien de bien novateur, certes Kasso est passé maître dans l'art de manier la caméra, la photo est belle, le film est bien monté, mais tout est prévisible, le mari pervers et le copain complice, une histoire de tatouage (punaise question tatouage, je lui préfère mille fois Memento à voir en version collector, le film est monté dans les deux sens).
Bref déçu
Bah prochaine étape cinématographique à retardement, ce sera "Lost in translation" et "Mystic river", je pense ne pas être deçu là par contre, mais bon ne jamais s'extasier à l'avance...
Même si ca radotte un peu...Ne me privez pas du plaisir de vous faire partager une des plus belle page du cinéma Français:
Un singe en hiver 1962 Henri Verneuil, dialogues Michel Audiard
Juin 1944 en Normandie. Albert Quentin, ancien quartier-maître du corps expéditionnaire en Chine, propriétaire de l'Hôtel Stella, boit chez Georgina avec son ami Esnault. Il boit pour "voyager". Le village est bombardé, sa maison manque d'être détruite. Quentin promet à sa femme Suzanne de ne plus boire si l'hôtel est préservé. Les années ont passé. Quentin a tenu parole. Une nuit d'hiver, un jeune homme, Gabriel Fouquet, arrive à l'hôtel. Il boit pour oublier un mariage malheureux. Son " voyage " : l'Espagne et la tauromachie. Le lendemain de son arrivée, Fouquet se rend au pensionnat afin d'y voir sa fille Marie, mais la présence du jardinier qui l'a vu ivre la veille, le fait s'esquiver. Le jour de la Toussaint, il se livre à une corrida avec les voitures ; les gendarmes l'arrêtent. Quentin obtient sa libération et l'entraîne chez Georgina où ils se saoulent. Ils prennent d'assaut le pensionnat puis avec Landru ils vont tirer, en pleine nuit, un feu d'artifice sur la plage, qui réveille tout le village... Le lendemain Fouquet reprend sa fille. Quentin prend le train avec eux et raconte à Marie l'apologue des singes : "En Chine, quand arrivent les premiers froids on trouve un peu partout des petits singes perdus, égarés. Alors comme les habitants croient que même les singes ont une âme, ils donnent de l'argent pour qu'on les ramène dans leur forêt natale". Quentin descendra au prochain arrêt tandis que s'inscrit sur l'écran, à la place du mot fin, " et maintenant voici venir un long hiver".
Un extrait...
Le Yang Tsé Kiang n'est pas un fleuve, camarade... C'est une avenue... Une avenue de 5000 kilomètres qui dégringole du Tibet et qui s'arrête à la mer Jaune... A gauche et à droite des jonques, des sampans... Au milieu, en plein courant, des tourbillons d'îles flottantes... Des orchidées hautes comme des arbres et des troupeaux de buffles... Des millions de mêtres en cubes d'or, de fleurs et de limon qui descendent vers Nankin, au milieu des pagodes et des ville en bois... Des villes pontons où tout est à vendre: l'alcool, le poisson cru, les putains, l'opium...
J.Gabin...
La scène suivante...
- Matelot Hénault Lucien, veuillez armer la jonque, on appareille dans cinq minutes.
- C'est parti
- Albert, je vous en prie, vous n'allez pas encore tout me saloper comme la dernière fois.
- Madame, le droit de navigation sur le Yang Tse Kiang nous est formellement reconnu par la convention du 3 août 1885. Contesteriez-vous ce fait ?
- Je ne conteste rien. Je vous demande simplement de ne pas tout me casser comme l'autre jour.
- Oh... mais pardon ! L'autre jour, les hommes de Chung Yang Tsen ont voulu jouer au con. Heureusement que j'ai brisé la révolte dans l'oeuf, sans barbarie inutile, il est vrai. On n'a coupé que les mauvaises têtes ; le matelot Hénault peut témoigner.
- Sur l'honneur.
- Bon. Nous allons donc poursuivre notre mission civilisatrice. Et d'abord, j'vais vous donner les dernières instructions de l'Amiral Guépratte, rectifiées par le Quartier-Maître Quentin ici présent. Voilà : l'intention de l'Amiral serait que nous perçions un canal souterrain qui relierait le Wang-Ho au Yang- Tse-Kiang.
- Le Yang Tse Kiang... bon...
- Je ne vous apprendrais rien en vous rappelant que Wang Ho veut dire fleuve jaune et Yang Tse Kiang fleuve bleu. Je ne sais si vous vous rendez-compte de l'aspect grandiose du mélange : un fleuve vert, vert comme les forêts comme l'espérance. Matelot Hénault, nous allons repeindre l'Asie, lui donner une couleur tendre. Nous allons installer le printemps dans ce pays de bouse !
- Bon... Je vois qu'vous êtes raisonnables, j'vous laisse... J'ai des clients à servir, moi.
- Eh ! Dites donc, l'Indigène ! Un peu d'tact, hein !... Parlons d'autre chose !... Parce qu'on les connaît, vos clients ! La Wermacht polissonne et l'Feldwebel escaladeur !... Hein !... Et puis bouse, j'vous raconterais plus rien, là !
- Chut, Albert ! Vous fâchez pas !
- Mais vous fâchez pas, vous fâchez pas ! Mais, nom de Dieu d'bordel, j'vous offre des rivières tricolores, des montagnes de fleurs et des temples sacrés et vous m'transformez tout ça en maison d'passe !... Vous plantez votre Babylone normande dans ma Mer de Chine !... Alors !... Matelot Esnault !
- Oui, Chef !
- On va brûler l'village !... Où sont les grenades, que j'les dégoupillent !...
- Monsieur Quentin !... Calmez-vous !... Je vous demande pardon !...
- Une reddition ?... Soit !... La main d'fer dans l'gant d'velours !... Matelot, à vos pagaies !
- Oui, Chef !
- Attention aux roches !... Et surtout, attention aux mirages !... Le Yang-Tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue... Une avenue d'cinq mille kilomètres qui dégringole du Tibet pour finir dans la Mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans d'chaque côté... Pis au milieu y'a des... des tourbillons d'îles flottantes, avec des orchidées hautes comme des arbres... Le Yang-Tsé-Kiang, camarade, c'est des millions de mètres cubes d'or et d'fleurs qui descendent vers Nankin... Et avec, tout l'long, des villes-pontons où on peut tout acheter... De l'alcool de riz, d'la religion, et pis des garces, d'l'opium... Ch'peux vous affirmer, Tenancière, que le fusilier-marin a été longtemps l'élément décoratif des maisons d'thé... dans c'temps-là, on savait rire... Elle s'était mise sur la paille / Pour un maquereau roux et rose / C'était un juif, il sentait l'ail / Il l'avait, venant de Formose / Tirée d'un bordel de Shangaï.
- Oh, c'est beau !...
- C'est pas d'moi !... C'est des vapes, comme ça, qu'y m'reviennent... quand j'descends l'fleuve...
J.P Belmondo / J.Gabin / Hella Petri
![[Image: sing1.jpg]](http://ahbon.free.fr/illustrations/comparatifs/sing1.jpg)
Un singe en hiver, un de mes films préférés ! A ne pas oublier le bouquin au titre éponyme dont c'est tiré ! signé ... Antoine Blondin

paddy a écrit :un film différent, sans grand discours, certains le critiquant sur sa longueur, son manque de rythme, mais qu'à celà ne tienne, c'est ces points là qui le rendent plus fort encore.
Blow Up, un film que j'avais présenté dans le topic tv est simplement de toute beauté. On s'attache à son personnage principal, un brin exentrique, complètement démesuré dans ses états d'humeurs.
Un film où une simple photo fait apparaitre les reves et les chauchemards les plus fous. Où se situe réellement la vérité ? Juqu'où peut aller notre imagination ?
Une apparition de jeanne Birkin dans ce film british. On a plus qu'à se laisser promener dans ce londres des années 70.
A voir absoluement pour découvrir un nouveau cinéma, loin des flonflons américains du moment.
![[Image: Pfilm27391255254032.jpg]](http://www.cinemovies.fr/images/data/films/Pfilm27391255254032.jpg)
excellent, il ya aussi une apparition de Gillian Hills, une chanteuse égérie des sixties !

Clarky a écrit :Bon après avoir vu vite fait la cérémonie d'ouverture des JO, sans commentaire, je me suis lancé dans la vision de Gothika de Kassovitz.
L'ayant loupé au ciné, je me suis fait ma séance de rattrapage.
Avec tout le foin fait autour de ce film, et bien je me suis fais un peu caguer , une histoire déjà vue, on y retrouve du deadzone, hypnose, silence des agneaux et autres Jennifer 8 (pinaise celui là je l'aime bien de film), rien de bien novateur, certes Kasso est passé maître dans l'art de manier la caméra, la photo est belle, le film est bien monté, mais tout est prévisible, le mari pervers et le copain complice, une histoire de tatouage (punaise question tatouage, je lui préfère mille fois Memento à voir en version collector, le film est monté dans les deux sens).
Bref déçu
Bah prochaine étape cinématographique à retardement, ce sera "Lost in translation" et "Mystic river", je pense ne pas être deçu là par contre, mais bon ne jamais s'extasier à l'avance...
Ca fait deux fois que je me fais bouffer mon message... ca me saoule, j'ai perdu une demi-heure. Je vais me coucher. Je le refais juste en résumé:
Gothika... Sur le papier çà ressemblait à une daube. J'avais lu partout que c'était minable et des amis m'ont dis que c'était bidon. Alors vu que je n'avais pas du tout aimé les precedents films de Matthieu K., forcemment je suis allé le voir. Et bien croyez le ou non, je me suis royalement fait caguer .
Mais par contre Lost in Translation et Mystic River sont vraiment deux très bons films, voire plus. Déjà Bill Murray c'est une légende. Il est capable d'amener ce petit quelque chose qui change tout. Rien que pour le plaisir j'ai revu Groundhog Day hier soir, un film sans prétention mais à chaque fois un très bon moment. Dans une histoire certes originale, mais très polissée, il amène cette ironie et ce désespoir qui pimentent le tout. La même chose dans Lost in Translation ou il créé le décalage, dans cette ville de Kyoto inhumaine et superficielle, si bien qu'elle prend un ton lyrique. De plus les images sont superbes et la bande originale fait bien plus qu'accompagner le tout mais ajoute une nouvelle dimension à l'ensemble. J'ai vraiment plané pendant deux heures...
Dans Mystic River, Kevin Bacon et Tim Robbins sont vraiment grandioses (Sean Penn un peu en-dessous, il est tout le temps en train de surjouer. Dans l'absolu il est très bon mais sonne un peu faux parfois... M'enfin la retenue c'est pas forcemment son truc et puis ca plait au jury des oscars ce genre de prestations...) En tous cas le grand Clint fait montre de talents qu'on ne lui (re)connaissait pas forcemment. L'histoire est magnifique et le tout mis en scéne dans la plus grande sobriété. C'est un film de non-dits et de secrets, un film de passé et de conséquences ou les choses ne sont pas montrées mais ressenties. C'est simple et c'est beau. J'ai particulierement aimé les toutes dernieres images...
petit message pour cali et clarky, suite à ces images posées dans le topic trombi (les autres peuvent participer aussi :Pixie).
J'aimerais savoir de quels films elles sont issues et si possible, donner le synopsis en 2 mots sans raconter la fin svp ;)
![[Image: preacher.jpg]](http://laurent.mc.free.fr/clarky/preacher.jpg)
nb à boeuf : je vais essayer de me dégoter un p'tit morceau de Gillian Hills qui joue dans "Blow Up"

La nuit du chasseur, un grand film de Charles Laughton avec Robert Mitchum
Années 30, la dépression frappe les Etas-Unis. West Virginia: Harry POWELL (Robert MITCHUM), criminel psychopathe, spécialisé dans l'assassinat de veuves est arrêté pour vol de voiture. Il sort bientôt de prison et part à la recherche d'un magot caché par un homme, HARPER, son compagnon de cellule qui vient d'être pendu pour le meurtre de deux personnes tuées au cours du hold-up. Ce magot repose ...
où ça déjà ? Mais POWELL l'ignore. Seul, JOHN, le fils d'Harper connaît la vérité. Avant que son père ne soit arrêté, il lui a juré le silence et de s'occuper de sa petite soeur. Afin de percer le secret, sous l'identité d'un prêcheur au puritanisme fanatique, POWELL commence
par épouser la veuve du voleur, la douce et naïve WILLA (Shelley WINTERS). Peu de temps
après, il la poignarde et WILLA finit par flotter entre deux eaux, telle une Ophélie de campagne. Commence alors la longue traque...
POWELL poursuit, jour et nuit, les deux enfants qui se sont enfuis, terrorisés par leur beau-père. Après avoir descendu la rivière, ils trouvent refuge auprès de RACHEL (Lilian GISH) dont la mission sur Terre semble devoir être l'acceuil des enfants perdus, victime de la Grande Dépression. L'affrontement entre la vieille femme à la détermination farouche et au courage indomptable, et le faux prêcheur, incarnation du Mal absolu, peut maintenant prendre place...
A voir absolument ;)
Bien joué le gros spoiler sur la cachette du magot, boeuf. :thumbup:
boeuf mode a écrit :La nuit du chasseur, un grand film de Charles Laughton avec Robert Mitchum
au niveau de l'ambiance, tout à fait le genre de film que j'aime me faire en tirant les rideaux dans mon salon :y:
merci boeuf
les actes n'ont de valeur que s'il ne servent un idéal élevé. @ king arthur, dans... king arthur.
c'était ma pensée du jour, alors que toutes mes autres pensées vont vers cette sublime keira knightley dont le regard m'avait déjà fracassé la rétine dans pirates des caraïbes. quel charme... :mf_lust:
le trailer de
Buttleman... renversant :mf_w00t2:
est ce que le personnage du film a un rapport avec
celui-là ?
Batman Returns sort bientot sur nos écrans, en attendant: Le Village sort mercredi.
Puis conseil: Le Roi Arthur laissez tombez. Le film de trop, dans la ligné des Lord Of The rings braveheart etc.
Soi-disant racontant une histoire different sur Arthorius, on nous expliquent rien et les combats sont filmés aux ralentis

un VERCINGETORIX 2 !
Seul le fils du chef Saxon et les chevaliers d'Arthur sont potables. Ceci dit le seul point positif est le peuple de la nature, les Picts que Merlin dirige donne envie d'y etre. Ce film est aussi passionant que de voir cuir une saucisse sur le barbac'.:(
Bouricao a écrit :Ce film est aussi passionant que de voir cuir une saucisse sur le barbac'.:(

belle comparaison je trouve :thumbup:
un film ambiance les dents de la mer "
Open Water".
L'article et la
bande annonce m'ont donné envie de creuser un peu plus
J'adore explorer mes peurs
![[Image: openwater.jpg]](http://www.trash-times.com/images/reviews/openwater.jpg)
Caligula a écrit :Ca fait deux fois que je me fais bouffer mon message... ca me saoule, j'ai perdu une demi-heure. Je vais me coucher. Je le refais juste en résumé:
Gothika... Sur le papier çà ressemblait à une daube. J'avais lu partout que c'était minable et des amis m'ont dis que c'était bidon. Alors vu que je n'avais pas du tout aimé les precedents films de Matthieu K., forcemment je suis allé le voir. Et bien croyez le ou non, je me suis royalement fait caguer .
Mais par contre Lost in Translation et Mystic River sont vraiment deux très bons films, voire plus. Déjà Bill Murray c'est une légende. Il est capable d'amener ce petit quelque chose qui change tout. Rien que pour le plaisir j'ai revu Groundhog Day hier soir, un film sans prétention mais à chaque fois un très bon moment. Dans une histoire certes originale, mais très polissée, il amène cette ironie et ce désespoir qui pimentent le tout. La même chose dans Lost in Translation ou il créé le décalage, dans cette ville de Kyoto inhumaine et superficielle, si bien qu'elle prend un ton lyrique. De plus les images sont superbes et la bande originale fait bien plus qu'accompagner le tout mais ajoute une nouvelle dimension à l'ensemble. J'ai vraiment plané pendant deux heures...
Dans Mystic River, Kevin Bacon et Tim Robbins sont vraiment grandioses (Sean Penn un peu en-dessous, il est tout le temps en train de surjouer. Dans l'absolu il est très bon mais sonne un peu faux parfois... M'enfin la retenue c'est pas forcemment son truc et puis ca plait au jury des oscars ce genre de prestations...) En tous cas le grand Clint fait montre de talents qu'on ne lui (re)connaissait pas forcemment. L'histoire est magnifique et le tout mis en scéne dans la plus grande sobriété. C'est un film de non-dits et de secrets, un film de passé et de conséquences ou les choses ne sont pas montrées mais ressenties. C'est simple et c'est beau. J'ai particulierement aimé les toutes dernieres images...
Complètement d'accord pour lost in translation et mystic river, j'ajouterai juste un petit bémol personnelle concernant mystic, il est un peu long et 20-30min de moins et le film n'aurait rien perdu de son charme mais aurait beaucoup gagné en intensité.
Bouricao a écrit :Batman Returns sort bientot sur nos écrans, en attendant: Le Village sort mercredi.
Puis conseil: Le Roi Arthur laissez tombez. Le film de trop, dans la ligné des Lord Of The rings braveheart etc.
Soi-disant racontant une histoire different sur Arthorius, on nous expliquent rien et les combats sont filmés aux ralentis
un VERCINGETORIX 2 !
Seul le fils du chef Saxon et les chevaliers d'Arthur sont potables. Ceci dit le seul point positif est le peuple de la nature, les Picts que Merlin dirige donne envie d'y etre. Ce film est aussi passionant que de voir cuir une saucisse sur le barbac'.:(
Le Village, c'est le film du mois parait-il :)
Il y a Alen Brody et c'est Shyamalan à la réalisation, ça a l'air sympa.
Pour le Roi Arthur, j'ai été le voir, divertissant mais comme tu dis, loin des films epiques commes Gladiator, Braveheart ou bien meme Spartacus.
L'idée de départ etait interessante mais il y a vraiment aucune innovations scénaristique. Le casting est pas mauvais, avec la magnifique Keira Knightley et le magistral Clive Owen mais ça ne suffit malheureusement pas

va falloir chercher ailleurs que dans les nouveautés à "grand spectacle" si vous voulez étancher vos neuronnes de BON cinéma
