21-07-2004, 20:00
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21-07-2004, 20:03
personne a reagit à mon idée, mais je pense qu'il faut pour eviter des regnes trop facile comme ça legiferer sur la participation au tour
Pour demain, je vous annonce un Virenque en furie qui va aller chercher a assuré definitivement son maillot car seul Basso ou Armstrong peut encore lui prendre, malgre lui en plus!
Attendez vous à le voir tres tot des le KM 0 :punk1:

Pour demain, je vous annonce un Virenque en furie qui va aller chercher a assuré definitivement son maillot car seul Basso ou Armstrong peut encore lui prendre, malgre lui en plus!
Attendez vous à le voir tres tot des le KM 0 :punk1:
21-07-2004, 20:35
pauvre chéri, tu veux pas des charentaises non plus pour pédaler :smoke1:
http://www.sport24.com/filinfo/filinfo_l...97245&SP=7
http://www.sport24.com/filinfo/filinfo_l...97245&SP=7
21-07-2004, 20:58
boeuf mode a écrit :tiens pour toi yankee, je suis obligé de le remettre si tu ne le connaissais pas !
On court toujours seul
par Antoine Blondin
CARPENTRAS - Sur quelque deux cents kilomètres de route proposés quotidiennement aux coureurs du Tour de France, chacun en fin de compte mène sa vie comme il l'entend. Ces hommes sont des adultes, leurs arrière-pensées leur appartiennent ; ce sont des professionnels, leur ambition et leur malice épousent les règles d'un jeu qu'ils détiennent en propre. Aucune étape n'offre le même profil pour deux individus : ils s'y introduisent leurs caprices respectifs, la colorent de leurs états d'âme, la confrontent aux ressources qu'ils sont seuls à pourvoir estimer. Le plus grand coureur cycliste sur route que la Grande-Bretagne ait connu, est mort, hier soir, d'un coup de ce soleil où il s'était fait une place. Il est tombé vraisemblablement pour avoir voulu trop bien faire, ce qui me semble l'une des issues les plus naturelles d'un champion, étant entendu qu'il n'y a pas de belle mort au yeux des survivants, même celle du coureur de marathon.
Tom Simpson avait été champion du monde après avoir introduit la panique dans le cérémonial cycliste à force d'aller trop ardemment au devant des dieux. Ceux qui apprécient les marges offertes par ce sport l'aimaient pour ce qu'il apportait de désinvolture dans la probité, de gravité dans la passion. On se plaisait à penser qu'il avait noué la cravate d'Eton au guidon d'un engin où beaucoup voit encore le gagne-pain du facteur. Quand il s'avéra le premier Anglais à s'emparer du Maillot Jaune, ce qui était une conquête pour lui, devint une conquête pour nous. C'est dire qu'il était notre fierté.
Il n'était pas pour autant déformé par les lois d'une compétition très âpre. Et s'il s'était fait naturaliser cycliste, il n'en apportait pas moins un coloris irremplaçable à cette palette dont il aura illustré l'arc-en-ciel. Cette couleur était celle d'un faux flegme, d'une nature difficilement domptée. Les êtres que j'aime l'admiraient.
J'entends maintenant quelques chacals hurler au Tour de France qui tue. Nous avons perdu Tom Simpson dans une des montées les plus bénignes que le Ventoux ait suggérées à des coursiers. Avec ses vieux cailloux chauffés à blanc, comme les calculs d'un cyclope, vrai plateau d'une gravelle, avec son peloton pénitentiaire escaladant, le sourire aux lèvres, des lacets qu'on appréhendait comme ceux de Biribi ou de Tataouine, avec sa tête tatouée promise au sensationnel, l'épouvantail a joué son rôle, au-delà de toutes proportions. Les défaillances, fameuses dans l'histoire de ce col redoutable, ont choisi de trouver leur aboutissement aujourd'hui en la personne d'un des plus judicieux d'entre ceux qui aient tenté de l'escalader et son mystère lui appartient.
Le surmenage cycliste est une notion vaine. Ce n'est pas avec des médailles ou avec des millions qu'on attire les hommes vers leur tombeau. Je puis attester ici que tout est mis en oeuvre pour le prémunir contre une image abusive de leur aspiration et de leur gloire mais que l'essentiel, qui est de savoir jusqu'où aller trop loin, ne cesse pas de leur appartenir.
L'abîme ouvert par Simpson dans la montée du Ventoux, le vide qu'il laisse au classement général, le vol de cet hélicoptère qui se posait comme une question, ne font que nous rendre plus sensibles la solitude et la pudeur qui sont la loi des familles, la difficulté de communiquer avec des êtres que nous revendiquons.




21-07-2004, 20:59
Il n'a pas complétement tort, bien que n'aimant pas Armstrong, je trouve la réaction de certains spectateurs déplacée et dangereuse en particulier avec Armstrong...
On aime ou on n'aime pas mais on respecte...
On aime ou on n'aime pas mais on respecte...
21-07-2004, 21:05
zorg a écrit :![]()
ANTOINE BLONDIN ,la PLUME du TOUR DE FRANCE UN AS!
![]()
c'est un texte qui me fout des frissons ! partout...
21-07-2004, 21:09
d'ou l'expression faire vivre les mots.
Quel talent!
Quel talent!

21-07-2004, 21:20
citation:
J'entends maintenant quelques chacals hurler au Tour de France qui tue. Nous avons perdu Tom Simpson dans une des montées les plus bénignes que le Ventoux ait suggérées à des coursiers. Avec ses vieux cailloux chauffés à blanc, comme les calculs d'un cyclope, vrai plateau d'une gravelle, avec son peloton pénitentiaire escaladant, le sourire aux lèvres, des lacets qu'on appréhendait comme ceux de Biribi ou de Tataouine, avec sa tête tatouée promise au sensationnel, l'épouvantail a joué son rôle, :mf_farmer
Quand on connait le luberon et le mont ventoux avec son decor lunaire unique, on peut comprendre que ce journaliste pouvait rendre accros des milliers de lecteurs chaque matin bien avant l'apparition de la télé.
J'entends maintenant quelques chacals hurler au Tour de France qui tue. Nous avons perdu Tom Simpson dans une des montées les plus bénignes que le Ventoux ait suggérées à des coursiers. Avec ses vieux cailloux chauffés à blanc, comme les calculs d'un cyclope, vrai plateau d'une gravelle, avec son peloton pénitentiaire escaladant, le sourire aux lèvres, des lacets qu'on appréhendait comme ceux de Biribi ou de Tataouine, avec sa tête tatouée promise au sensationnel, l'épouvantail a joué son rôle, :mf_farmer
Quand on connait le luberon et le mont ventoux avec son decor lunaire unique, on peut comprendre que ce journaliste pouvait rendre accros des milliers de lecteurs chaque matin bien avant l'apparition de la télé.
21-07-2004, 21:26
zorg a écrit :citation:
J'entends maintenant quelques chacals hurler au Tour de France qui tue. Nous avons perdu Tom Simpson dans une des montées les plus bénignes que le Ventoux ait suggérées à des coursiers. Avec ses vieux cailloux chauffés à blanc, comme les calculs d'un cyclope, vrai plateau d'une gravelle, avec son peloton pénitentiaire escaladant, le sourire aux lèvres, des lacets qu'on appréhendait comme ceux de Biribi ou de Tataouine, avec sa tête tatouée promise au sensationnel, l'épouvantail a joué son rôle, :mf_farmer
Quand on connait le luberon et le mont ventoux avec son decor lunaire unique, on peut comprendre que ce journaliste pouvait rendre accros des milliers de lecteurs chaque matin bien avant l'apparition de la télé.
c'est extraordinaire ! c'est un pur génie ! bel extrait, mon vieux zorg... ;)
21-07-2004, 21:35
en cours pour changer un peu des bouquins tres "scolaires" ,j'avais un prof qui nous proposait des textes de Blondin ou dans un autre style du Raymon Devos.
C'est vachement bien!
ps::add_vache si tu en as d'autres de blondin ........:thumbup:
C'est vachement bien!
ps::add_vache si tu en as d'autres de blondin ........:thumbup:
21-07-2004, 23:02
Sur l'etape d'aujourdhui ,je croyais que le jeune au dossard N°75, allez etre mis au tapis part les vieux .....que neni il vient d'orient ou d'aubusson ou d'ailleursmais il m'a épaté sur cette CLM!:whistling
j'ai trouvé ,c'est Vladimir KARPETS.............
j'ai trouvé ,c'est Vladimir KARPETS.............

21-07-2004, 23:21
zorg a écrit :en cours pour changer un peu des bouquins tres "scolaires" ,j'avais un prof qui nous proposait des textes de Blondin ou dans un autre style du Raymon Devos.
C'est vachement bien!
ps::add_vache si tu en as d'autres de blondin ........:thumbup:
bah j'ai ça ! admirable ! déjà publié ici-même...;)
Un véritable abandon
Si le Tour de France n'était qu'une course cycliste, ce qui ne se vérifie que par intermittence depuis quelques jours, nous prendrions sur nous de parler de la transhumance qui ramène nos cordées de ramoneurs savoyards à quelques centimètres au-dessus du niveau de la baigneuse. Quand une sorte de courant électrique (d'où le nom de coureurs) sillonne les jetées-promenades, on éprouve en général un profond soulagement à voir surgir de l'eau des visages de sirènes prolongés par des queues de peloton, à renouer avec la muraille ruisselante d'un public dont le nombril attentif s'écarquille au passage de rescapés noirauds descendus d'une autre planète, à prendre sa part dans la tornade qui introduit la panique aux terrasses des salons de thé et relègue en bas de plage les éphèbes scu1ptés dans du pain d'épices. Si le Tour n'était que cette compétition ravageuse, en forme de violation de domicile, qui plie la coutume à sa loi, nous remettrions à plus tard, à la nuit tombante, le moment de méditer sur cette évidence, déplacée en ces lieux bruissants de colloques d'oiseaux et de refrains d'adolescents, que Louis-Ferdinad Céline ne nous dira plus rien des choses de la vie.
Mais le Tour est aussi un voyage. Quand l'état de siège s'y relâche, l'état d'âme reprend ses droits. Les tristes nouvelles du siècle nous parviennent. Nos chagrins passent les frontières. Aux douaniers italiens, nous avons dû déclarer, aujourd'hui, qu'il nous manquait quelqu'un. La mort de Céline ne frappe pas ses lointains confrères, elle bouleverse ses lecteurs, son prochain. Par un retour étrange, c'est nous qui avons l'impression de partir avant la fin et qu'on dépouille notre sensibilité. Nous sommes rendus à un mal, qui n'est pas celui du siècle, mais le mal de tous les siècles, et notre écho s'est tu, notre bréviaire s'est fermé. Il va falloir descendre en nous-mêmes pour entendre le chant que nous ne savons pas chanter.
Céline s'est éteint à Meudon, sur la route des Gardes, au milieu de cette côte, qui est à la fois le calvaire et le paradis des cyclistes. Mais je crois qu'ils s'ignoraient mutuellement. Il avait possédé jadis, quand il était le médecin des pauvres, une monstrueuse motocyclette à laquelle il tenait beaucoup. Ses ennemis y avaient mis le feu, comme on brûle une effigie, en l'occurrence celle du dénuement et du dévouement. Car il pratiquait le sport dangereux qui consiste à aimer les hommes sans le leur dire.
Bien plus : il n'était membre d'aucun club. Ce routier du bout de la nuit pratiquait en cavalier seul, drapé dans sa houppelande, appuyé sur son bâton, berger généreux et farouche, provocateur et humilié. Il est très honorable, pour tous les gens qui prennent une plume, de penser que l'un des deux ou trois plus grands écrivains du siècle vivait sans ressources et sans avidité, loin des récompenses, sinon livré aux outrages.
Nous avons appris sa mort dans les faubourgs de Turin, chantiers rocailleux qui eussent arrêté son regard bien qu'un peu trop lumineux. Une clôture plus fragile que les parois d'un c½ur — on en percevait le moindre battement — nous séparait d'un hospice semblable à celui où il exerçait autrefois à Courbevoie. Un vol de cornettes d'une blancheur très douce passait et repassait dans la poussière du matin : les petites s½urs invisibles conduisaient au grillage leurs pensionnaires claudiquants, hommes et femmes aux yeux pailletés de naïveté que notre manège comblait de joie gloutonne et qui s’abandonnaient, loin des nuages, à la faveur tranquille de vieillir sans génie.
Nous attendions de la course qu'elle dissipât notre malaise. Les premières heures furent d'un défilé, scandé par l'apparition régu1ière des charmantes pagodes de cantonniers aux murs couleurs de Cassate. À l'image de ces monuments, qui prolifèrent dans le Piémont, où l'on voit des bersaglieri moustachus figés dans la position : " Arrêtez-moi ou je fais un malheur ! ", les coureurs semblaient coulés dans le bronze d'une agressivité paisible ; les inscriptions, tracées sur l'asphalte, demeuraient lettre morte ; les " Forza ! " de la route ne rencontraient aucun écho et le peloton aucun clin d'½il. L'ennuyeux, disait déjà Céline, à propos de la guerre, c'est que ça se passe le plus souvent à la campagne. Il en va parfois de même du Tour de France.
Mais, tout à l'heure, nous nous endormirons face à la mer.
Antoine BLONDIN, L'Équipe, 6 juillet 1961.
là on touche au sublime...

21-07-2004, 23:27
citation:
Céline s'est éteint à Meudon, sur la route des Gardes, au milieu de cette côte, qui est à la fois le calvaire et le paradis des cyclistes. Mais je crois qu'ils s'ignoraient mutuellement. Il avait possédé jadis, quand il était le médecin des pauvres, une monstrueuse motocyclette à laquelle il tenait beaucoup. Ses ennemis y avaient mis le feu, comme on brûle une effigie, en l'occurrence celle du dénuement et du dévouement. Car il pratiquait le sport dangereux qui consiste à aimer les hommes sans le leur dire.
Céline s'est éteint à Meudon, sur la route des Gardes, au milieu de cette côte, qui est à la fois le calvaire et le paradis des cyclistes. Mais je crois qu'ils s'ignoraient mutuellement. Il avait possédé jadis, quand il était le médecin des pauvres, une monstrueuse motocyclette à laquelle il tenait beaucoup. Ses ennemis y avaient mis le feu, comme on brûle une effigie, en l'occurrence celle du dénuement et du dévouement. Car il pratiquait le sport dangereux qui consiste à aimer les hommes sans le leur dire.

21-07-2004, 23:38
Mais, tout à l'heure, nous nous endormirons face à la mer.

22-07-2004, 00:03
Ah blondin, une époque où l'on pouvait aimer le jus de raisin et rouler, raisonnablement, on pouvait soit déléguer ou dégueuler, au choix.
Mais Blondin est un grand Monsieur, même pour moi qui ne suis pas un fana de la petite reine telle qu'elle se presente à l'heure actuelle.
Et de 6 pour la Lance Atlantique :ph34r:
Mais Blondin est un grand Monsieur, même pour moi qui ne suis pas un fana de la petite reine telle qu'elle se presente à l'heure actuelle.
Et de 6 pour la Lance Atlantique :ph34r:
22-07-2004, 00:12
d'ailleurs je trouve quand france les 20-30ans ne sont gueres passionnés pas la ptite reine!
Avec lance Stone,c'est pas demain la vieille!

Avec lance Stone,c'est pas demain la vieille!
22-07-2004, 00:25
effectivemùent Zorg, je n'ai vu que le résumé de l'étape, et voir à quel point Armstrong est facile me laisse perplexe.
Quand tu vois un Basso à l'agonie, un Ulrich qui semble deployer tout ce qui lui reste comme énergie et qui se place 2eme et loin derrière, je me dis que le tour n'a plus grand intérêt tant que le ricain sera là :n:
Mais bon, je me dis que même chargé, c'est le meilleur cycliste du moment :Pixie
Quand tu vois un Basso à l'agonie, un Ulrich qui semble deployer tout ce qui lui reste comme énergie et qui se place 2eme et loin derrière, je me dis que le tour n'a plus grand intérêt tant que le ricain sera là :n:
Mais bon, je me dis que même chargé, c'est le meilleur cycliste du moment :Pixie
22-07-2004, 00:59
Dis toi qu'ils sont tous chargés, mais que c'est lui qui s'en sort, et ainsi ça montre qu'il est pas con. Lui avant de faire le tour, il va en repérage sur les futures étapes, d'où sa facilité sur les étapes. Il sait où et quand attaquer...puis son gabarit lui permet de mouliner, là où d'autres préfèrent le bourrinage excessif, qui fatigue et te laisse comme un mort de faim dans la montagne.

22-07-2004, 05:02
Clarky a écrit :effectivemùent Zorg, je n'ai vu que le résumé de l'étape, et voir à quel point Armstrong est facile me laisse perplexe.
Quand tu vois un Basso à l'agonie, un Ulrich qui semble deployer tout ce qui lui reste comme énergie et qui se place 2eme et loin derrière, je me dis que le tour n'a plus grand intérêt tant que le ricain sera là :n:
Mais bon, je me dis que même chargé, c'est le meilleur cycliste du moment :Pixie
Non et j'insite là dessus!
Je suis pas le ravi de la creche à croire que le vélo est propre, ok ils se dopent tous, mais aucun doute que les produits d'armstrong, le ricain, ont comme pour d'autres choses beaucoup d'avance.
Comme le dit Matt, "dire qu'on sera ce q'uil prend en 2015!"
A cela t'ajoute que le ricain ne fait que le tour et le dauphiné, un mois avant le tour et t'as ta reponse.
Moi j'evite le classement general, ca me debecte! et je regarde le classement des jeunes, celui de tit jaune! là y'a du suspens, de l'interet avec Kasperts, Voeckler et Casar, un autre français.
Puis je vibre aux exploits de Virenque, ça c'est beau, tant au niveau sportif qu'humain et là le tour garde ce truc magique, y'a toujours quoi qui se passe, ce tit truc qui fait que le tour, ça reste le tour!
Vivement que le ricain prenne sa retraie quand meme, qu'on revive des tours digne de celui de l'an dernier encore, qui était enorme niveau suspense.
Quand à ses repérages, arretes avec ça, tout le monde le fait, peut etre pas autant que lui, ben oui les autres ils font d'autres courses ma foi mais ils en font, je le sais, j'ai vecu 18 ans dans les mongtagnes j'en ai vu des drogués, heu des vélos!

Puis reflechissez, les arrivées à l'Alpes, ou par le Tourmalet, vous croyez qui change chaques années? que les coureurs connaissent pas?

Par contre, j'ai entendu Voeckler qui disait qu'il avait monté qu'une fois l'Alpes, là vous voyez, on est bien dans le probleme evoqué avant, il faut qu'il prenne conscienc ede ses qualitées, lui et d'autres et qu'il bosse, bordel c'est pas normal qu'il est montél'Alpes qu'une seule fois!
Et ce qui vaut pour la mongtagne vaut pour les clm, punaise c pas tout de bosser en centre l'aerodynamisme, si t'as pas les jamabes, et ça ca se travail et pas qu'avec l'EPO!

22-07-2004, 08:40
Avant sa maladie, 4 participations : 3abandons et une place de bouse!
Puis vint .....LA TRANSFORMATION! pffffff.....
Quand on est un cycliste moyen, rien de tel qu'un ch'ti cancer pour vous faire rentrer dans la légende.... :n:
Et spéciale cassedédi au Docteur Scuderia....
Puis vint .....LA TRANSFORMATION! pffffff.....
Quand on est un cycliste moyen, rien de tel qu'un ch'ti cancer pour vous faire rentrer dans la légende.... :n:
Et spéciale cassedédi au Docteur Scuderia....
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