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Quand je pose la questions dans le milieu cycliste j'ai très souvent la réponse "ce que prenne les autres que je ne prend pas car je ne suis pas dopé..."
Combien de cyclistes m'ont prétendu qu'ils n'avaient pas eu leur place en sélection ou dans une équipe pro car ceux ou celles qui avaient été pris étaient "aidé" médicalement et pas eux ?
Beaucoup et c'est une réthorique...
J'ai moi même du mal à déterminer la limite du dopage.
Je prends de l'homéopathie, de l'extrait de pamplemousse et souvent un efféralgan vitaminé C au départ d'une course.
Mais pire, j'ai de la Ventoline et du Foradil... Pour ma santé !
Je suis donc souvent positif... Heureusement mon niveau est tel que j'en ai rien a foutre d'être positif à un controle, le déclassement n'aura aucune conséquence autre qu'une déception passagère.
Mais il m'est arrivé d'assister des athlètes de haut niveau et de me retrouver "tout con", après l'arrivée lorsque je vois l'athlète suivi aller faire son test.
En effet, ne regardant jamais la positivité des produits que je prends, quand j'assiste, j'oublie souvent de le vérifier.
Cela a toujours été positif.
Heureusement je n'ai jamais eu d'asmathique avec moi !
Mais si par hasard j'avais "positiver" quelqu'un, la j'aurais été mal...
Cela pour écrire que la frontière est assez floue. Surtout pour l'athlète "amateur".
Pour les fouteux dans de grands club, il y a du personnel payé pour suivre les listes interdites et soigner "juridiquement" propre les joueurs.
C'est pourquoi ils sont tous dopés dans le sens aidé chimiquement, mais négatif car pas de produit juridiquement détectable !
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