11-08-2009, 13:38
J'ai pensé dans un premier temps vous expliquer comment je suis devenu olympien en vous racontant l'expérience "quasi-mystique" qu'a été cet OM - Montpellier... Mais ayant été devancé par Madinho, je préfère me lancer sur un autre sujet.
Tout d'abord il est primordial d'expliquer mes origines pour mieux comprendre le rapport que j'entretiens avec l'OM. Je suis italo-réunionnais (et re-mi-ours derrière !) et ma famille a toujours nourri un véritable culte au football et plus particulièrement à ce que nos amis de So Foot appellent des loosers majestueux : Marseille et l'Inter.
Ces équipes capables de créer l'exploit d'échouer avec un effectif pléthorique que de créer les exploits les plus inattendus avec une bande de gugusses certes respectables, mais pas au niveau de tels clubs (suivez mon regard ).
J'ai donc connu MON Ohème dans les années 90. Étant né en 1988, les souvenirs restent pourtant très clairs de cette période :
Ma famille sautant dans tous les sens après chaque but, ma grand-mère italienne hurlant "Celui là c'est un clown !", les arrivées de joueurs "historiques" tels que Moses, Jambay, Ben Slimane, Domoraud, Issa (bon, ok j'arrête !)... DILL ! (Je croyais que j'arriverai à me retenir... désolé)
Mais l'OM de mon enfance reste celui de la saison 1998/1999, monstre sacré du centenaire du club. Avec les arrêts de môsieur Köpke, la défense du Président qui à l'époque osait dire ouvertement ses objectifs et non un je-joue-pas-le-titre-et-je-mâchouille-ma-touillette, le but de Edson da Silva contre Nancy (surtout la phrase de Avy "Si le gardien y mets les mains, elles s'arrachent" cf. Taye Goldorak), Robert Pirès et son numéro 7 sur un maillot or resté mythique à mes yeux (même si je dois avouer que j'ai toujours l'air d'un pitre quand je le porte), Titi Camara et ses larmes et Fabrizio qui pour moi reste le summum du "je viens, je marque, j'hurle dans les oreilles des ingé' son de canal".
Le point central de cette équipe restant pour moi le sacro-saint Rolland Courbis, vénérable Obélix au micro de la chaîne cryptée avec son ami Paga, une personne ressemblant plus au stéréotype du patron de bar de Notre Dame Limite qu'à celui de l'entraîneur conventionnel. :smoke1:
Voilà, je pense avoir fait le tour du sujet et j'espère que cette petite expérience personnelle vous aura fait revenir autant de souvenirs qu'à moi. :)
Tout d'abord il est primordial d'expliquer mes origines pour mieux comprendre le rapport que j'entretiens avec l'OM. Je suis italo-réunionnais (et re-mi-ours derrière !) et ma famille a toujours nourri un véritable culte au football et plus particulièrement à ce que nos amis de So Foot appellent des loosers majestueux : Marseille et l'Inter.
Ces équipes capables de créer l'exploit d'échouer avec un effectif pléthorique que de créer les exploits les plus inattendus avec une bande de gugusses certes respectables, mais pas au niveau de tels clubs (suivez mon regard ).
J'ai donc connu MON Ohème dans les années 90. Étant né en 1988, les souvenirs restent pourtant très clairs de cette période :
Ma famille sautant dans tous les sens après chaque but, ma grand-mère italienne hurlant "Celui là c'est un clown !", les arrivées de joueurs "historiques" tels que Moses, Jambay, Ben Slimane, Domoraud, Issa (bon, ok j'arrête !)... DILL ! (Je croyais que j'arriverai à me retenir... désolé)
Mais l'OM de mon enfance reste celui de la saison 1998/1999, monstre sacré du centenaire du club. Avec les arrêts de môsieur Köpke, la défense du Président qui à l'époque osait dire ouvertement ses objectifs et non un je-joue-pas-le-titre-et-je-mâchouille-ma-touillette, le but de Edson da Silva contre Nancy (surtout la phrase de Avy "Si le gardien y mets les mains, elles s'arrachent" cf. Taye Goldorak), Robert Pirès et son numéro 7 sur un maillot or resté mythique à mes yeux (même si je dois avouer que j'ai toujours l'air d'un pitre quand je le porte), Titi Camara et ses larmes et Fabrizio qui pour moi reste le summum du "je viens, je marque, j'hurle dans les oreilles des ingé' son de canal".
Le point central de cette équipe restant pour moi le sacro-saint Rolland Courbis, vénérable Obélix au micro de la chaîne cryptée avec son ami Paga, une personne ressemblant plus au stéréotype du patron de bar de Notre Dame Limite qu'à celui de l'entraîneur conventionnel. :smoke1:
Voilà, je pense avoir fait le tour du sujet et j'espère que cette petite expérience personnelle vous aura fait revenir autant de souvenirs qu'à moi. :)