Les footballeurs brésiliens qui roulent pour Bolsonaro, ultra libéral tendance extrême droite (il est notoirement raciste et homophobe)
Alors je sais bien que c'est un méchant bordel grâce aux prédécesseurs et que le choix se fait entre lui et un mec très à gauche et qu'on va pas demander à des mecs hyper friqué qui poussent le ballon de voter extrême gauche mais au moins, les mecs pourraient s'abstenir ou au moins rester sur "une prudente réserve" plutôt que de rouler pour une raclure pareille
(09-10-2018, 15:15)Mr.Grieves a écrit : [ -> ]Les footballeurs brésiliens qui roulent pour Bolsonaro, ultra libéral tendance extrême droite (il est notoirement raciste et homophobe)
Et nostalgique de la dicdature brésilienne
Des supporters par contre appellent au vote contre :
https://twitter.com/MickaCQFD/status/104...4190024704
La dernière vidéo de John Oliver sur Bolsonaro est géniale. Le passage avec Ellen Page, c'était sidérant.
Niveau soutiens, y'a de ce que j'ai vu Ronaldinho, Lucas Moura et Rivaldo. Les cons.
Le niveau politique au Brésil est proche de 0. Pas étonnant.
Juninho est originaire du nord du pays, là où le PT fait ses meilleurs scores
Juninho, c'est particulier, le mec est cultivé et brillant. Je me souviens d'un journaliste brésilien qui disait que c'était son problème en Seleçao, lâché au milieu des debs il avait un peu de mal.
C'est quoi ? des pro Bolsonaro ?
mon post comportant une partie du patrimoine de l'humanité (Fluminense timao do Brasil), j'ai été obligé de la coller ici et ce superbe docu en sus:
Au fait, Flu s'est qualifié pour les demis (ce sera l'Atletico Paranaense) en copa Sudamericana et ça c'est top et un très GROS résultat à Montevideo (le Nacional c'est 6 trophées majeurs, le seul club ayant fait 3 fois le doublé Coupe Libertadores et l'Intercontinental la même année). Victoire 1 à 0 après le nul 1-1 à Rio, avec un joli échange entre Sarr et Sakai sur le côté droit. Notre Leipzig à nous Je ne comprends pas le portugais parlé mais l'esprit du groupe et leur cohésion font remonter de biens doux souvenirs
Ils ont fait une bonne vidéo que je recommande aux lusiphones d'entre-nous.
Allezzzz Fluuuu, cette coupe-là il nous la faut
(Fluminense et nous, c'est aussi très kif kif pour le palmarés avec un fagot de titres régionaux (plus de 30 championnats de Rio, mais derrière Fla qui les truste depuis 20 ans) 4 titres de champion du brasileirao, mais aussi et surtout un seul titre international majeur (pour les historiens du foot, Flu est le premier (?) champion du monde des clubs en 1952 après avoir gagné le tournoi international de Rio avec le jeune Didi et un grantatakn, Marinho. J'adore les images en noir et blanc alors je glisse aussi ce lien et la les images
https://pt.wikipedia.org/wiki/Copa_Rio_de_1952
Il y a 10 ans, il y a aussi une finale de Libertadores perdue malgré un Thiago Neves au sommet de son art
En fait, Flu c'est comme l'OM au niveau chkoumoune, nous sommes pathétiques )
bouse, Flu n'est pas le club 'à jamais les premiers d'AmSud, Palmeiras ayant gagné la première Copa do Rio, en 1951
Elles sont peu nombreuses les nations de foot gagnant un trophée à "laisser quelque chose au football" depuis de nombreuses années.
Les Brésil 1994 et 2002 n'étaient pas plus sexy que la France.
Pour moi la dernière équipe gagnante à avoir su allier efficacité et jeu séduisant c'est l'Espagne à l'Euro 2008.
Mouais, par respect pour son pied gauche soyeux, je vais pas l'enfoncer mais j'en pense pas moins : c'est de la rhétorique de vieux con (c’était mieux avant peut-être mais c’était avant ou les matchs de foot avaient l’intensité d'un match féminin actuel et les schemas tactiques étaient tournés vers l'avant pour la plupart, avec plein d'espaces. Ca n’enlève en rien à la technique hors norme de ses mecs mais ainsi était le football)
Et il est d'autant le plus mal placé pour parler qu'il était au premier rang pour voir la bascule entre le football à l'ancienne et les prémices du football moderne (Bresil - Pays-Bas 1974 en coupe du monde, Joga bonito contre football total, et les Brésiliens se font marcher dessus en rencontrant un football qu'ils ne connaissaient pas : pressing forcené, bloc resserré, distance d'intervention réduite etc. Rivelino n' a pas existé ce jour là, comme ses coéquipiers....)
Et comme le fait justement remarquer Gilardi, difficile de laisser une marque dans le football actuel......
Gary Lineker a laissé une belle trace par contre
Robbie Fowler, n'a rien laissé..
Il a peut être pas laissé une trace, mais une belle ligne
merci d'expliquer mes blagues