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Cancéreux retiré à sa famille Les parents d’Alexis, 15 ans, atteint d’un cancer depuis 2000, se sont vu retirer la garde de leur fils. En mars 2005, le médecin qui le suit a informé le parquet que l’adolescent, alors hospitalisé dans une clinique du Mans, ne bénéficiait pas d’un traitement adapté car ses parents refusaient que le cancérologue fasse pratiquer une autogreffe sur leur enfant, estimant qu’elle présenterait un risque vital. L’adolescent a donc été placé contre son gré à l’hôpital d’Angers. Ses parents ont saisi la cour d’appel.



Suite à un appel du père d'Alexis ce matin sur RMC j'ai été outré de cette situation.

Alexis est en rémission à 95 % d'un cancer alors que le traitement de chimio n'est pas fini. Le cancérologue a décidé de poursuivre le protocole par une autogreffe très dangereuse pour l'enfant. Les parents inquiet ont consulté un autre cancérologue qui a déconseillé un tel traitement. Devant le refus des parent l'enfant a été retiré pour suivre ce traitement. Pire la mère ne peut voir son enfant, le juge va même échanger des visites contre des consultations médicales.

En France aussi nous avons de bon exemple de conneries humaines:censored
cà c'est vraiment odieux...pour les parents et le pauvre enfant...

Belle marque de la connerie présente dans notre pays...Sick

C'est odieux le fait d'échanger les visites contre des consultations médicales...la douleur de parents et du petit...Mm Horrible!!
Tout mon soutien à la famille!
Heu ....

Faut être très prudent et bien informé pour ce genre de cas.

Il y a eu dans le passé des exemples de parents qui refusaient des actes médicaux indispensables pour leurs gamins, et cela pour des raisons religieuses, philosophiques ou sectaires ...

Là, il y a manifestement abus de pouvoir
-des parents ?
-de l' Administration ?
je suis d'accord avec Imerle, il faut faire très attention dans ce genre d'histoire avant de porter un jugement definitif,
surtout si on a entendu qu'un seul son de cloche
iMerle a écrit :Heu ....

Faut être très prudent et bien informé pour ce genre de cas.

Il y a eu dans le passé des exemples de parents qui refusaient des actes médicaux indispensables pour leurs gamins, et cela pour des raisons religieuses, philosophiques ou sectaires ...

Là, il y a manifestement abus de pouvoir
-des parents ?
-de l' Administration ?

Je suis d'accord avec toi sur les cas que t'indiques mais dans le cas présent cela ne semble pas du tout le cas, les parents ont consulté un autre cancérologue qui a déconseillé un tel traitement à ce stade. Ce matin sur RMC, le père était complètement abattu et circonspect par rapport à la décision de justice malheureusement je n'ai pu entendre l'invité de l'émission qui était un imminent cancérologue.

Ceci dit attendons de voir l'affaire est en train de prendre de l'ampleur au niveau médiatique et on devrait avoir plus de détail sur cette histoire complétement hallucinante.
http://news.tf1.fr/news/france/0,,3232721,00.html

Un complément d'infos sur le sujet.
KodiaK a écrit :http://news.tf1.fr/news/france/0,,3232721,00.html

Un complément d'infos sur le sujet.

ca devient bien compliqué !

-Deux avis médicaux différents
-un juge pour enfants qui n' est pas fatalement cancérologue lui même, qui doit donc s' en remettre à des experts, et qui est aussi tenu à des procédures ...

Pas facile, ni pour se faire une idée, ni pour les parents.
Perso, pour ma fille, je me suis heurté à deux courants médicaux, tous les deux parfaitement honorables et représentatifs, mais contradictoires ...... le désarroi et la solitude des parents sont des notions que j' ai assimilées .

En prenant un peu de recul, on remarque que le mécanisme de protection du gamin, le recours aux services sociaux et donc au juge pour enfants, peut donner lieu à des procédures administratives abusives .... il faut donc pouvoir s' en protéger ....on ne s' en sort pas !
Surtout que l'avis de 2 medecins spécialistes sont opposés...cette situation est épineuse...34
iMerle a écrit :ca devient bien compliqué !

-Deux avis médicaux différents
-un juge pour enfants qui n' est pas fatalement cancérologue lui même, qui doit donc s' en remettre à des experts, et qui est aussi tenu à des procédures ...

Pas facile, ni pour se faire une idée, ni pour les parents.
Perso, pour ma fille, je me suis heurté à deux courants médicaux, tous les deux parfaitement honorables et représentatifs, mais contradictoires ...... le désarroi et la solitude des parents sont des notions que j' ai assimilées .

En prenant un peu de recul, on remarque que le mécanisme de protection du gamin, le recours aux services sociaux et donc au juge pour enfants, peut donner lieu à des procédures administratives abusives .... il faut donc pouvoir s' en protéger ....on ne s' en sort pas !

On peut comprendre le désarroi des parents et leur incompréhension de se voir retirer la garde de leur enfant et passer pour des parents irresponsables.

Etant père de famille je ne sais pas comment réagir à ce type de chose, mais le pire dans l'histoire c'est le gamin sachant que le moral est un facteur déterminant dans ce genre d'épreuve ont lui charge encore la casquette.

En espérant que cette histoire s'arrange et que le gamin s'en sorte vivant.
KodiaK a écrit :En espérant que cette histoire s'arrange et que le gamin s'en sorte vivant.
C'est quand même ça l'essentiel...espérons!!
Dans Libé ce matin, peut-être un peu plus claire maintenant, cette histoire. Dry

Alexis, 15 ans, prisonnier des médecins d'Angers
[Image: pix.gif]
Les parents d'un malade privés de leur autorité parentale pour refus de soins.

Par Gilles WALLON
[Image: pix.gif]
vendredi 22 juillet 2005 (Liberation - 06:00)
[Image: pix.gif]
Angers envoyé spécial



[Image: pix.gif] [Image: i.gif]l ne cédera pas. «Les médecins veulent me faire craquer. Ils m'ont même transféré au service des ados suicidaires.» Les poings dans les poches, d'un air de défi, Alexis toise les bâtiments grisâtres du centre hospitalier universitaire (CHU) d'Angers. Du haut de ses 15 ans, grosses baskets et pantalon baggy, il martèle son intime conviction : «Je me sens bien, en pleine forme. J'ai même plus d'énergie qu'avant la maladie.» Voilà deux semaines que le jeune garçon tente d'occuper ses journées, à tourner en rond dans le parc du CHU. Son cancer lui a façonné un visage taillé à la serpe. Mais lui refuse obstinément tous les soins d'un établissement «prison», où il a été placé par décision judiciaire. «Ils me prennent la température, c'est tout. Aujourd'hui, 36,9°. Hier, 37,1°. Mais je ne ferai pas de scanners, pas de chimio.»

C'est un enfant de Coulaines, près du Mans (Sarthe), qui souffre de la maladie de Hodgkin, une forme rare de cancer du système lymphatique. Son médecin de famille l'a décelé en décembre 2000. Alexis, 10 ans alors, venait simplement chercher un certificat d'aptitude à jouer au basket. Commencent alors quatre années de chimiothérapies, de phases de rémission, de cours à domicile, de rechutes. Après l'hôpital Saint-Louis, à Paris, la famille se dirige vers la clinique Victor-Hugo, au Mans.

Gérard Goulette, le père, facteur depuis trente ans, raconte la suite. Et d'abord «la rupture» de mars 2005.Lui et sa femme Sylviane entrent en désaccord avec le cancérologue du Mans. Pour guérir Alexis, pense le docteur Solal, une autogreffe de moelle est nécessaire. Eux craignent une intervention et ses suites qu'ils jugent «à risque», et préfèrent s'appuyer sur les résultats de la dernière chimio, qu'ils estiment excellents : «Un taux de rémission de 95 %, c'était la première fois !» La famille veut discuter, se retrouve «face à un mur», refuse finalement la greffe.

«Mon fils a 50 % de risques d'y passer, pense Gérard, profondément convaincu. C'est ce que nous a affirmé le médecin, c'est la vérité.» A la clinique Victor-Hugo, un collaborateur du Dr Solal conteste les chiffres du père : «L'estimation est complètement faussée. Dans des mains expertes, le taux d'échec est de 1% à 2 %.» Pour ce médecin, la famille est «sous l'influence» de l'Unacs, association dont elle fait partie et qui, selon son président Jacques Bessin, défend «le choix au traitement, le respect du choix des patients». Les Goulette campent sur leur position. «On n'a plus confiance. Le docteur nous a dit: "De toute façon, c'est moi qui décide." On avait l'impression qu'il nous menaçait.»

Ses deux grands frères et ses parents voient Alexis grandir, prendre du poids. «Ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps», sourit l'ado, casquette jaune vissée sur ses cheveux renaissants. Pour la famille, ces changements veulent dire que le benjamin va mieux. Que la rémission continue. Les Goulette cessent de se présenter aux séances préparatoires à l'autogreffe.

Fin mars, le docteur Solal prévient le parquet du Mans (lire ci-contre). Après enquête et rencontre avec la famille, la juge pour enfants se prononce début juillet : elle retire à Gérard et sa femme Sylviane une partie de leur autorité parentale, jugeant que le protocole de soins n'a pas été mené à son terme et que, selon plusieurs experts, le pronostic vital d'Alexis est en cause. Sa décision entraîne une «assignation à résidence» au CHU d'Angers, pour y poursuivre son traitement. Ne reste aux parents que le droit de visite à leur fils. Résultat, le père dort lui aussi dans la chambre d'hôpital. Selon le collaborateur du docteur Solal, «l'affaire est douloureuse, mais elle prouve qu'il y avait des arguments très forts».

A la cafétéria du CHU, attablés devant une religieuse au chocolat, Gérard et Alexis sont fatigués, «mis KO debout» par la condamnation judiciaire, mais ils veulent convaincre. Qu'il existe une solution, et qu'elle se nomme Avicenne. Le père comme le fils en sont certains : c'est dans cet hôpital de Bobigny (Seine-Saint-Denis) qu'ils trouveront le traitement adéquat. Dans le service de Nicole Délepine, une exception dans le monde de la cancérologie pédiatrique. «Elle a trouvé les mots pour nous mettre en confiance.» Cette responsable de centre demeure la seule en France à refuser les protocoles standardisés de la Société française des cancers de l'enfant. C'est souvent vers elle que se tournent, en dernier recours, les parents d'enfants que la médecine classique n'a pas réussi à guérir. Alexis ne rentre pas tout à fait dans cette catégorie. Mais Gérard espère. «A Bobigny, tout ira mieux.»

Les parents ont demandé à la cour d'appel d'Angers la suspension de la délégation d'autorité parentale. L'audience aura lieu le 26 juillet.

Oh l' histoire pourrave!

pour les parents, gérer tout ce boxon, en plus de la maladie du fils ...
je ne sais pas qui a raison, mais une pensée pour cette famille.
Un octogénaire tire sur des bombardiers d'eau qui troublaient sa sieste



[Image: 050725083827.z7n7ljcc0a.jpg][size=-2]agrandir la photoNICE (AFP) - Un homme de 81 ans a tiré à deux reprises sur des hélicoptères bombardiers d'eau intervenant sur un incendie à Grasse (Alpes-Maritimes) qui avaient interrompu sa sieste, selon le quotidien Nice Matin.

Armé d'un fusil de chasse de calibre 12, l'octogénaire irascible a tiré au petit plomb sur les hélicoptères, qui volaient très bas jeudi pour tenter d'éteindre un feu menaçant un quartier résidentiel de Grasse, où 5.000 mètres carrés ont été détruits.



Des voisins du retraité, qui avaient selon eux déjà été mis en joue par l'octogénaire pour l'avoir dérangé avec le bruit de leur tondeuse à gazon, ont prévenu la police après l'avoir vu tirer des coups de feu en l'air, selon le journal.



Le tireur a accueilli peu après les policiers de la brigade anti-criminalité avec une bordée d'insultes, tentant de saisir de nouveau son arme, ce dont il a été empêché.



Faisant mine de se calmer, il s'est alors dirigé vers sa cuisine d'où il est ressorti avec un autre fusil, déclenchant un corps à corps avec les policiers qui ont réussi à le désarmer une nouvelle fois mais ont tout de même essuyé des coups de casserole.



Finalement maîtrisé, l'octogénaire a été conduit au commissariat pour y être entendu. Les policiers ont saisi au total quinze fusils de chasse à son domicile. Présenté samedi au parquet de Grasse, le dormeur contrarié a été laissé en liberté jusqu'à son jugement en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.[/size]
Il a failli nous faire un remake de bowling for Grasse CAAO8XFQ
LadyKillers a écrit :Dans Libé ce matin, peut-être un peu plus claire maintenant, cette histoire. Dry

Alexis, 15 ans, prisonnier des médecins d'Angers
[Image: pix.gif]
Les parents d'un malade privés de leur autorité parentale pour refus de soins.

Par Gilles WALLON
[Image: pix.gif]
vendredi 22 juillet 2005 (Liberation - 06:00)
[Image: pix.gif]
Angers envoyé spécial

Le dénouement heureux de l'affaire, la cour d'appel d'Angers a donné raison aux parents d'Alexis et autorisé les parents d'Alexis à le soigner où ils le souhaitent. Ce jugement va permettre à Alexis d'éviter l'autogreffe et suivre un traitement moins lourd.

Bonne chance à Alexis :pouce:
KodiaK a écrit :Un octogénaire tire sur des bombardiers d'eau qui troublaient sa sieste



[Image: 050725083827.z7n7ljcc0a.jpg][size=-2]agrandir la photoNICE (AFP) - Un homme de 81 ans a tiré à deux reprises sur des hélicoptères bombardiers d'eau intervenant sur un incendie à Grasse (Alpes-Maritimes) qui avaient interrompu sa sieste, selon le quotidien Nice Matin.

Armé d'un fusil de chasse de calibre 12, l'octogénaire irascible a tiré au petit plomb sur les hélicoptères, qui volaient très bas jeudi pour tenter d'éteindre un feu menaçant un quartier résidentiel de Grasse, où 5.000 mètres carrés ont été détruits.



Des voisins du retraité, qui avaient selon eux déjà été mis en joue par l'octogénaire pour l'avoir dérangé avec le bruit de leur tondeuse à gazon, ont prévenu la police après l'avoir vu tirer des coups de feu en l'air, selon le journal.



Le tireur a accueilli peu après les policiers de la brigade anti-criminalité avec une bordée d'insultes, tentant de saisir de nouveau son arme, ce dont il a été empêché.



Faisant mine de se calmer, il s'est alors dirigé vers sa cuisine d'où il est ressorti avec un autre fusil, déclenchant un corps à corps avec les policiers qui ont réussi à le désarmer une nouvelle fois mais ont tout de même essuyé des coups de casserole.



Finalement maîtrisé, l'octogénaire a été conduit au commissariat pour y être entendu. Les policiers ont saisi au total quinze fusils de chasse à son domicile. Présenté samedi au parquet de Grasse, le dormeur contrarié a été laissé en liberté jusqu'à son jugement en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.[/size]


Il rigole pas dominici!!!!:lol:
Tout comme vous j'imagine, ça fait déjà 15 fois que je reçois ce genre de mel.


On lui dit banco, on fonce ? Yahoo

OBJET : PROPOSITION DE PARTENARIAT
A VOTRE ATTENTION;

Tout le plaisir est pour moi de vous écrire ce méssage afin de
solliciter votre précieux partenariat pour la réalisation d'une affaire très
importante qui doit être traitée dans la plus grande discrétion .Je vous
prie par conséquent de prendre acte , sans vous étonner du choix que je porte sur votre personne en saisissant cette heureuse opportunité pour prendre contact de vous .


En effet , je suis le fils unique d'un homme d'affaire politique Ivoirien
qui est porté disparut depuis les troubles politique en Côte d'Ivoire Suite
donc à cette douloureuse situation j'ai pris la décision de m'exiler de la
cote d'ivoire mon pays vers le bénin avec toute la richesse de mon père qui
s'élevait à la somme de Trente millions de Dollars Américains( 30.000.000
USD) contenus dans Deux (2) malles métalliques de Quinze millions de Dollars
américains (15 000 000 USD) chacune qu'il avait en cash à la maison. Avec
l'aide de Dieu,j'ai pu transporter les malles contenant les fonds de la C'ôte d'Ivoire à Cotonou au Bénin

Alors,j'ai fait consigner les malles dans une Société de Sécurité et de Consigne ici à Cotonou au Bénin par mésure de prudence.
Mais j'ai pris le soins de déclarer les malles au moment du dépot de
celles-ci dans cette Société de sécurité et de consigne ici à Cotonou au Bénin comme contenant des trésors de famille .

Maintenant je désire transférer sur un compte à l'étranger cette somme pour des investissements dans de différents projets rénumératrices de
révenues Ceci étant, la stricte confidentialité de cette opération, m'oblige
à faire recours à vous qui saurez mieux apprécier la présente opportunité dansla mesure où :

Je vous garantis 15% pour l'aide que vous allez m'apporter et 5% pour
les dépenses éffectuées lors de la réalisation du projet sur la totalité
des fonds et une grande partie de ce qui va me revenir après le partage
entre vous et moi sera desitinées à éffectuer des investissements dans des
activités rémunératrices de revenu à l'étranger.Je me propose aussi de vous
désigner auprès de cette société de sécurité comme bénéficiaire des
malles,ce qui vous donne les mèmes droits que moi sur lesdites malles contenant les fonds.


J'espère votre avis sur la dite question par mon E-mail ;et vous invite à
Cotonou pour constater la véracité de cette affaire avant toute chose..
Mais le plus important est d'abord de pouvoir éffectuer le retrait de la
malle pourque vous et moi puissions disposer des fonds.

Pour le transfert des fonds, nous nous raprocherons vous et moi d'un
cabinet financier ici à cotonou pour solliciter son concours et ses
services.


je vous prie donc de me dire le plus tôt possible du fait de
l'augmentation jour après jour des frais de consigne desdites malles ,quand
vous pourrez venir me rencontrer pour une programmation et le retrait des malles ici à Cotonou au Bénin.


Bien de chose à vous et à votre famille
Que Dieu vous bénisse
Cordialement
KONAN WILLIAM
j'ai jamais recu ca, Paddy je crois que c'est la chance de ta vie :smoke1:
kdom93 a écrit :j'ai jamais recu ca, Paddy je crois que c'est la chance de ta vie :smoke1:
fait trop chaud à Cotonou Sleep