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Version complète : CPE : la bataille pour l'anchois
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Je suis absolument pas d'accord avec vous. Mais je veux bien quand même faire la fête :mf_laug2 Tambour Yahoo Rock Burp Perv :drapeau_p
Secret Faisons la fête, Pixie n'est pas là !!!

:perv2: :ara-opiom :ara-opiom :perv2: :ara-opiom Koke :drinks_wi Friends Mf_boff Superman :roll1: Love :fumi-opio :fumi-opio :fumi-opio Cheers Cheers re-Friends :ara-opiom :perv2: :groupwave Drapeau :drapeau_p :wacko1: :wacko1: Horse
et dire qu'il y en a qui étaient contre le CPE...Rolalalala, quand on voit la fiesta qu'on a fait hier soir, ici même, et quand on voit que ça continue meme ce matin, bein on peut lui dire merci au CPE !
Burp Burp Bounce :biker_h4h Rasta Rasta
Ben voila, vive le CPE Capo
keyser a écrit :Beer Comme quoi, ce sont bien des idées, et des convictions qui nous réunissent, ou nous opposent, mais des pas des carcans politiques.Je trouve ça rassurant.King2

ça serait trop beau, si tu avais raison........34
mais j'y crois pas du tout...


Je note que la droite serait dévastée si opiOM était représentatif....
Combien on changé d'avis depuis le 1er tour de la dernière présidentielle.....

Moi je suis pour l'alternance, blanc bonnet et bonnet blanc, c'est pareil !!
[Image: Dubonnet-Limited-C10119762.jpeg]
mac-boulette a écrit :ça serait trop beau, si tu avais raison........34
mais j'y crois pas du tout...


Je note que la droite serait dévastée si opiOM était représentatif....
Combien on changé d'avis depuis le 1er tour de la dernière présidentielle.....

Moi je suis pour l'alternance, blanc bonnet et bonnet blanc, c'est pareil !!

Pour moi le problème est l'alternance
Un mandat de cinq ans est bien trop court on s'apperçoit que deux ans avant ils ne pensent plus qu'au présidentielle que se soit d'un côté comme de l'autre il ne font rien qui ne pourra être remis en cause juste avant.

Faudra m'expliquer comment on pourra juger le CPE avant les présidentielle alors que les premier contrat signé n'auront au plus un an d'existence
Pour vraiment savoir si ça a été une bonne loi il faudra attendre la fin de la 2ème année pour voir si ça devient un CDI

C'est facile de compté le nombre de CPE qui sera singné mais qui pourra dire si sans le CPE tout ces contrats n'aurait pas été des CDI.
vince a écrit :Faudra m'expliquer comment on pourra juger le CPE avant les présidentielle alors que les premier contrat signé n'auront au plus un an d'existence
Pour vraiment savoir si ça a été une bonne loi il faudra attendre la fin de la 2ème année pour voir si ça devient un CDI

C'est facile de compté le nombre de CPE qui sera singné mais qui pourra dire si sans le CPE tout ces contrats n'aurait pas été des CDI.

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Edit: je tenais aussi à signaler combien je prefère ce nouveau titre!:happy2: Merci à qui de droiteProp ...heu...non, de droit.:y:
Citation :
Pour Jean-Louis Borloo, la rupture d'un CPE doit être justifiée

[Image: blank.gif][Image: blank.gif][Image: blank.gif]17/03/2006 - 09h55[Image: blank.gif][Image: blank.gif]
PARIS (Reuters) - Jean-Louis Borloo s'est prononcé pour la justification de toute rupture de contrat première embauche, l'une des principales revendications des syndicats et des organisations étudiantes et lycéennes.
"Il faut justifier évidemment. Est-ce que c'est auprès d'un référent? Je ne doute pas une seconde qu'on trouvera les voies et moyens", a déclaré le ministre de l'Emploi sur France 2.
Le contrat première embauche (CPE), réservé aux moins de 26 ans, est assorti d'une "période de consolidation" de deux ans durant laquelle l'employeur peut licencier sans motif.
"Ce qu'a voulu le Premier ministre c'est justement que ce ne soit pas une période d'essai qui n'apporte aucune garantie", a insisté Jean-Louis Borloo.
Interrogé sur un éventuel retrait du CPE, face à la contestation grandissante, Jean-Louis Borloo a estimé qu'il ne fallait pas "toujours poser le problème en termes guerriers".
"Les manifestations font partie de l'expression démocratique d'un pays et elles n'ont rien à voir avec ce qui s'est passé cette nuit", a souligné le ministre, après les violences qui ont émaillé certaines manifestations anti-CPE jeudi.
"Je ne doute pas un seul instant qu'on peut être capable entre adultes responsables et républicains de faire les pas nécessaires pour trouver une solution", a-t-il ajouté.
"Il y a un sujet, les jeunes sans qualification et toutes les organisations syndicales (...) ont fait des propositions sur ce que nous on appelle les contrats Civis (pour les jeunes) qui sont vraiment galère. Je crois que là-dessus on doit pouvoir se mettre d'accord", a expliqué Jean-Louis Borloo.



Qu'est-ce qu'il fout à Droite Borloo ? :choque:

On lui a fait croire qu'il allait pouvoir faire un plan d'urbanisme gigantesque, il attend toujours les fonds, ça devrait lui mettre la puce à l'oreille. C'est le seul en qui je puisse faire confiance de ce bord politique.

Maintenant, la jeunesse (et l'opinion publique dans son ensemble) a l'air décidé dans sa majorité au retrait du CPE, et à l'ouverture de discussions sur l'égalité des chances, le gouvernement est au pied du mur.
[Image: debart.gif] VOMIR, verbe trans.

A. [Image: tiret.gif] [Le suj. désigne un animé]
1. a) Rejeter par la bouche, spasmodiquement, des matières contenues dans l'estomac. Synon. débagouler (vulg.), dégobiller (pop.), dégueuler (vulg.), renarder (pop., vieilli), rendre. Vomir son repas. J'ai dégueulé tout ce que j'ai pu (...). J'ai tout vomi la tambouille d'au moins huit jours auparavant (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 392).
[Image: tiretgras.gif] Se faire vomir. [Mathilde] combattait l'effet de l'opium avec de la cocaïne (qui en est en quelque sorte l'antidote) puis fumait de nouveau jusqu'à retrouver l'état souhaité, [Image: tiret.gif] comme ces goinfres qui se font vomir pour pouvoir encore manger (VAILLAND, Drôle de jeu, 1945, p. 37).
Empl. abs. Vomir par-dessus bord; avoir envie de vomir, arrêter de vomir. Le cheval qui en est atteint [d'une déchirure de l'estomac] vomit, manifestation qui lui est interdite sans lésion grave de l'œsophage ou de l'estomac (GARCIN, Guide vétér., 1944, p. 52). V. nauséeux ex. 1.
[Image: tiretgras.gif] Vomir de + subst. Garcia possédé par toute cette réverbération, près de vomir d'éblouissement et de chaleur, découvrit le cimetière (MALRAUX, Espoir, 1937, p. 540).
[Image: tiretgras.gif] Loc. verb. Donner envie de vomir, être à (faire) vomir. Donner la nausée, physiquement ou moralement. Mes compatriotes me donnent envie de vomir (FLAUB., Corresp., 1870, p. 142). Une marmite où bout la soupe des chiens exhale une vapeur fétide qui vous prend à la gorge et vous fait tousser... C'est à vomir! (MIRBEAU, Journal femme ch., 1900, p. 34).
b) Rejeter par la bouche des matières organiques. C'est lui qui vient de cracher ou de vomir tout ce sang. Il en rejette encore, avec des efforts effroyables (DUHAMEL, Journal Salav., 1927, p. 35). Rieux trouva son malade (...) vomissant avec de grands arrachements une bile rosâtre dans un bidon d'ordures (CAMUS, Peste, 1947, p. 1231). V. glaire ex. 1.
2. Au fig.
a) Rejeter avec dégoût et violence. Synon. abhorrer, exécrer, honnir. Si la France reste la France, elle vomira les menteurs (CLEMENCEAU, Iniquité, 1899, p. 389). Il n'y a nullement lieu de chercher à « excuser » Claudel. Je l'aime et le veux ainsi, faisant la leçon aux catholiques transigeants, tièdes, et qui cherchent à pactiser. Nous pouvons l'admettre, l'admirer; il se doit de nous vomir. Quant à moi, je préfère être vomi, que vomir (GIDE, Journal, 1931, p. 1096).
[Image: tiretgras.gif] [P. réf. à l'Apocalypse 3/16] Il n'y a que deux sortes de guéris à Lourdes: les croyants que la foi transporte ou les impies déclarés. Les tièdes sont invariablement vomis (BLOY, Journal, 1905, p. 280).
[Image: tiretgras.gif] Empl. pronom. réciproque. De cette tolérance, de cette politesse, de cette charité, enfin, qui seules permettent aux hommes de vivre (...) sans se vomir les uns les autres (TOULET, Mariage Don Quichotte, 1902, p. 153).
b) Proférer avec violence des paroles ignobles, menaçantes. Pancol (...) se mit à se promener de long en large vomissant des imprécations et des blasphèmes (FABRE, Courbezon, 1862, p. 404). Ce journal de gredins, qui m'insultent journellement, qui vomissent contre moi des injures immondes! (ROLLAND, J.-Chr., Rév., 1907, p. 495).
[Image: tiretgras.gif] Loc. verb. Vomir son venin contre qqn. ,,Dire tout le mal possible d'une personne`` (Ac.).
B. [Image: tiret.gif] [Le suj. désigne un inanimé] Parfois péj.
1. Lancer, projeter au-dehors. Synon. cracher. Vomir de la fumée, de la musique, de la vapeur. Les mitrailleuses, mises en batterie à l'autre bout [de la rue], vomirent une grêle de balles (ZOLA, Débâcle, 1892, p. 214). Dans le bras canalisé, une drague halète, vomissant une purée noire sur les berges d'en face (H. BAZIN, Qui j'ose aimer, 1956, p. 245).
2. [Le suj. désigne un lieu occupé par un certain nombre de pers.] Donner une issue à, laisser sortir. Synon. déverser. C'était l'heure où les ateliers de nouveau se remplissent et le métro absorbait et vomissait des fourmis à tête d'homme (MAURIAC, Myst. Frontenac, 1933, p. 274). La mer achevait de vomir les derniers baigneurs (DRIEU LA ROCH., Rêv. bourg., 1937, p. 15).
REM. 1. Vomissage, subst. masc. Synon. rare de vomissement, vomissure. Au fig. Ce qui se passe dans la capitale n'est pas fait pour m'égayer. J'ai un tel dégoût de ce qu'on y applaudit et de toutes les turpitudes qu'on y imprime, que le cœur m'en soulève rien que d'y songer. Est-ce beau le tapage que l'on fait autour des deux ineptes vomissages des sieurs Lacordaire et Guizot! (FLAUB., Corresp., 1861, p. 419). 2. Vomisseur, -euse, adj. et subst. (Celui ou celle) qui vomit. a) [Corresp. à supra A] On peut également en déceler [de l'acétone dans les urines] dans d'autres circonstances, chez certains enfants vomisseurs par exemple, ou chez certains dénutris (BARIÉTY, COURY, Hist. méd., 1963, p. 636). Au fig. Il informe son public (qui sera, un jour, le public de François Coppée,) que je suis un « crapaud visqueux et répugnant » (...), « un pleutre », un « polisson », un « poltron », un « vomisseur d'injures » (BLOY, Journal, 1897, p. 252). b) [Corresp. à supra B] La cité d'Hénoch (...), la ville vomisseuse de fumée (CLAUDEL, Ville, 1901, III, p. 486). 3. Vomitique, subst. masc. Synon. rare de vomisseur (supra a). On dégueulait sans manières, au petit bonheur... Y avait qu'un seul cabinet au coin de la cursive... Il était déjà rempli par quatre vomitiques affalés, coincés à bras le corps (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 146).
Prononc. et Orth.: (il) vomit [-mi]. LITTRÉ, Lar. Lang. fr., MARTINET-WALTER 1973 ; BARBEAU-RHODE 1930 [vo-], WARN. 1987 , [vo-]; ROB. 1985 [vo-]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. a) 1174-76 « rejeter par la bouche les matières contenues dans l'estomac » (GUERNES DE PONT-SAINTE-MAXENCE, St Thomas, éd. E. Walberg, 3668); 1623 [éd.] vomir tripes et boyaux « vomir en abondance, longuement et avec beaucoup d'efforts » (SOREL, Francion, p. 382); b) 1690 faire vomir qqn « exciter le dégoût (de quelqu'un, physique ou moral) » (FUR.); 1761 être à faire vomir « être dégoûtant » (GAUDET, Bibliothèque des Petits-Maîtres, p. 181); c) 1316-28 vomir le feu (en parlant d'un cheval) (Ovide Moralisé, éd. C. de Boer, II, 233); 1573 « rejeter par la bouche (du sang) » (GARNIER, Hippolyte, 2348 ds Tragédies, éd. W. Foerster, II, p. 79); 2. 1240-80 « proférer des choses odieuses, injurieuses » (BAUDOUIN DE CONDÉ, Dits et Contes, éd. A. Scheler, t. 1, p. 66); 1727 [éd.] vomir feux et flâmes « proférer des paroles violentes » (LESAGE, Diable boiteux, t. 2, p. 254); 3. a) 1508 (en parlant de choses) « laisser sortir, lancer, projeter au-dehors » (FOSSETIER, Cron. Marg., ms. Brux. 10511, VII, II, 26 ds GDF., s.v. vomisseure); b) 1674 fig. « rejeter hors de son sein (en parlant d'une région) » (RACINE, Iphigénie, V, 4); c) 1810 « évacuer (en parlant d'un lieu occupé par des personnes) » (CHATEAUBR., Martyrs, t. 3, p. 226); 4. 1553 vomir les tièdes « rejeter ceux qui n'ont pas assez de zèle pour le service de Dieu » (Bible, Impr. Gérard, Apoc. 3, 16). Du lat. pop. *, lat. class. vomere « vomir, rejeter en vomissant, cracher », « rejeter » (au propre et au fig.); le traitement du -o- indique que le mot est resté sous l'infl. du lat. écrit, car le terme était surtout employé par les médecins, qui utilisaient souvent le latin. Fréq. abs. littér.: 661. Fréq. rel. littér.: XIXe s.: a) 701, b) 983; XXe s.: a) 1 165, b) 982. Bbg. QUEM. DDL t. 27.
Dav_ a écrit :Il y a beaucoup de cela en effet, la FSE, l'UNEF, tous ces syndicats sont instrumentalisés pour la plupart même si ils s'en défendent...

Ils reprochent au gouvernement, leur manque de dialogue, mais ils sont incapables lors d'une AG, d'écouter le moindre argument qui peut les déranger.

Et demander à chaque fois l'amnistie pour les casseurs, dire que les CRS protégent les fascistes, moi ça m'attriste Bye2

Les étudiants sont manipulés par les syndicats, les syndicats manipulés par les partis politiques, les partis politiques sont manipulés par Jesus Christ, Jesus Christ est manipulé par Dark Vador:incline:
vince a écrit :Pour moi le problème est l'alternance
Un mandat de cinq ans est bien trop court on s'apperçoit que deux ans avant ils ne pensent plus qu'au présidentielle que se soit d'un côté comme de l'autre il ne font rien qui ne pourra être remis en cause juste avant.

Faudra m'expliquer comment on pourra juger le CPE avant les présidentielle alors que les premier contrat signé n'auront au plus un an d'existence
Pour vraiment savoir si ça a été une bonne loi il faudra attendre la fin de la 2ème année pour voir si ça devient un CDI

C'est facile de compté le nombre de CPE qui sera singné mais qui pourra dire si sans le CPE tout ces contrats n'aurait pas été des CDI.

Là est la bonne question et la cause véritable de cette précipitation pour imposer ce CPE. L'idée de notre cher Premier Ministre était d'nstaurer rapidement ce contrat qui aura effectivement dans un premier temps un effet positif sur l'emploi. Cela permettra alors d'effectuer un "premier bilan" en pleine campagne présidentielle. Là ou le bas-blesse est que les licenciements n'auront lieu qu'après la présidentielle...
efulan a écrit :Les étudiants sont manipulés par les syndicats, les syndicats manipulés par les partis politiques, les partis politiques sont manipulés par Jesus Christ, Jesus Christ est manipulé par Dark Vador:incline:


Je crois en la doctrine thomiste, je suis comme St Thomas d'Aquin...

Je t'invite donc à mon AG de mardi à 14h, tu pourras ainsi te faire ta prope opinion.

Université Paris IV Sorbonne
Centre universitaire de Clignancourt
2, rue Francis de Croisset - 75018 Paris

Mardi 14h, sois pas en retard surtout.
efulan a écrit :Là est la bonne question et la cause véritable de cette précipitation pour imposer ce CPE. L'idée de notre cher Premier Ministre était d'nstaurer rapidement ce contrat qui aura effectivement dans un premier temps un effet positif sur l'emploi. Cela permettra alors d'effectuer un "premier bilan" en pleine campagne présidentielle. Là ou le bas-blesse est que les licenciements n'auront lieu qu'après la présidentielle...

Faux, les flux de sorties, seront perceptibles dès les premiers mois. Bien sur ils monteront crescendo des que l'on approchera de la seconde année. Mais on pourra déjà avoir une bonne idée de la réussite ou non du projet.
Dav_ a écrit :Faux, les flux de sorties, seront perceptibles dès les premiers mois. Bien sur ils monteront crescendo des que l'on approchera de la seconde année. Mais on pourra déjà avoir une bonne idée de la réussite ou non du projet.
Le prochaine élection présidentielle aura lieu dans 13 mois. Le véritable bilan ne pourra véritablement être effectué qu'après au moins deux ans, non ?
Le CPE est comme la fameuse prime de 10 000 FF pour la vente d'une automonbile de plus de 10 ans lors de l'achat d'un nouvelle. Dans un premier temps cela a booster les ventes d'automobile (effet de stock) pour ensuite revenir à la situation antérieure.

Concernant ton AG, je ne suis malheureusement pas à Paris en ce moment. Dommage, cela me rappelerait le bon vieux temps (tjs à SOrbonne mais contre le loi De Vaquet) mais l'on aurait sans doute pas été du même camps.:hum:
Dav_ a écrit :Faux, les flux de sorties, seront perceptibles dès les premiers mois. Bien sur ils monteront crescendo des que l'on approchera de la seconde année. Mais on pourra déjà avoir une bonne idée de la réussite ou non du projet.
AU fait, qu'est ce qui te permet d'affirmer cela ? Je te trouve bien sûr de toi... Ce sont les flux d'entrées qui auront lieu dans les premiers mois et non les flux de sortie34 Les sorties liées au CPE ne pourront être évaluées qu'au bout de deux années. N'est-il point ?
Usual a écrit :Qu'est-ce qu'il fout à Droite Borloo ? :choque:
Je l'avais entendu dire qu'il n'était ni de droite ni de gauche, juste qu'il allait là où on lui donnait les moyens d'agir (dans la mesure du possible) uson credo c'était changer les choses de l'intérieur.

Au contraire de beaucoup qui ne cherchent qu'à opposer et s'opposer (droite comme gauche, syndicats comme partis politiques) il ne prône que le dialogue l'écoute et le dialogue et un zeste de concertation. Qualité (trop) rare !
efulan a écrit :AU fait, qu'est ce qui te permet d'affirmer cela ? Je te trouve bien sûr de toi... Ce sont les flux d'entrées qui auront lieu dans les premiers mois et non les flux de sortie34 Les sorties liées au CPE ne pourront être évaluées qu'au bout de deux années. N'est-il point ?
Il a raison, tu peux pas affirmer ça Dav, on peut pas le savoir Whistling
Nil Sanyas a écrit :Il a raison, tu peux pas affirmer ça Dav, on peut pas le savoir Whistling

On aura les résultats du CNE puisque deux ans se seront écoulés de toute manière. Donc on pourra statuer sur le CPE.
efulan a écrit :AU fait, qu'est ce qui te permet d'affirmer cela ? Je te trouve bien sûr de toi... Ce sont les flux d'entrées qui auront lieu dans les premiers mois et non les flux de sortie34 Les sorties liées au CPE ne pourront être évaluées qu'au bout de deux années. N'est-il point ?

Le CNE et le CPE étant des contrats très proche, le premier aura presque deux ans au moment des présidentielles, on aura déjà une idée de comment se servent les employeurs de ce type de contrat...

edit : grillé par Dav_ Happy
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