opiOM.net

Version complète : Regards sur Marseille
Vous consultez actuellement la version basse qualité d’un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
(07-01-2013, 20:32)deepbluebdr a écrit : [ -> ]Je l'ai lu aussi, j'ai parlé de cette historienne un peu plus avant.
Il faut éviter de se cacher derrière le petit doigt, la violence d'avant guerre, d'après guerre ou même pendant, n'a rien a voir a celle d'aujourd'hui.
Il y avaient des caïds, des malfrats, mais la violence gratuite n'existait quasiment pas. Aujourd'hui, dans Marseille, on est capable de tuer une vieille pour son sac a main, un jeune pour son portable, ou un touriste pour sa caméra, ça n'existait pas à ces époques, même si les objets de valeur étaient autres. Les femmes pouvaient se promener avec leurs plus beaux bijoux autour du coup, ce n'est plus le cas aujourd'hui.
.

Cette théorie selon laquelle les voyous d'avant était des gentlemen qui tenaient la porte aux dames et tiraient avec des pistolets à eau permet moi d'en douter. Je pense au contraire que la violence était bien pire à une époque ou les médias n'avaient pas la possibilité de la relayer et où les flics n'avaient pas non plus les moyens d'enquetes actuels.
Le romantisme des gangsters a surtout été créé par le cinéma, dans la réalité je pense que ça a toujours été des brutes sanguinaire et arrogante qui mettent des filles sur le trottoir et raquette les petits commerçants et les honnetes gens sous la menace et les coups.

Et quand tu dis que la violence même pendant la guerre était moins pire que maintenant, je crois que tu exagères un poil, non ?
Disons qu'aujourd'hui, on te roule dessous ou on te caillasse parce que tu comprends, "il m'a mal regardé, msieur l'juge", et ça c'est assez nouveau. T'as plus besoin de chercher les ennuis pour en avoir, il te suffit de te promener et d'oser ouvrir la bouche parce qu'on te bouscule, parce qu'on te passe devant, parce qu'on s'en bat les coroñes des autres et que le métro/bus/tram nous appartient, etc etc..
Toutes proportions gardées, je dirais que c'est un lent retour vers les siècles passées, quand t'avais une chance sur douze de te faire égorger pour ta bourse quand tu passais dans une rue un peu trop sombre. Aux délits graves vient s'ajouter une "petite' violence banalisée, quotidienne et gratuite qui parfois dégénère et prend des proportions dramatiques.
'Fin on s'éloigne du sujet.
Vous la voyez vraiment cette violence banalisée ?

J'habite dans le 6ème, je bosse essentiellement dans le centre et l'hyper centre (1/5/6). Je passe beaucoup de temps (bientôt fini) dans une rue où les vieilles dames et les jeunes bonhommes sont hyper ouvert pour 50 €, je bouffe régulièrement dans un bar ou le patron a fait ses 20 ans de taule, je déjeune même vers l'opéra avec filtrou ; je continue malgré tout à sortir encore un peu, je ne me rappelle pas avoir vu de violence autour de moi.

Alors effectivement, je côtoie très peu les quartiers Nord (14-15-16)...
Je sais que les Rosiers par exemple deviennent de plus en plus durs, j'imagine que les règlements de compte qui tourne autour des trafics en tout genre ont rendu sans doutes encore plus compliqué la vie dans ces cités, pour le reste...
(08-01-2013, 17:47)macbou a écrit : [ -> ]Vous la voyez vraiment cette violence banalisée ?

J'habite dans le 6ème, je bosse essentiellement dans le centre et l'hyper centre (1/5/6). Je passe beaucoup de temps (bientôt fini) dans une rue où les vieilles dames et les jeunes bonhommes sont hyper ouvert pour 50 €, je bouffe régulièrement dans un bar ou le patron a fait ses 20 ans de taule, je déjeune même vers l'opéra avec filtrou ; je continue malgré tout à sortir encore un peu, je ne me rappelle pas avoir vu de violence autour de moi.

Alors effectivement, je côtoie très peu les quartiers Nord (14-15-16)...
Je sais que les Rosiers par exemple deviennent de plus en plus durs, j'imagine que les règlements de compte qui tourne autour des trafics en tout genre ont rendu sans doutes encore plus compliqué la vie dans ces cités, pour le reste...

J'ai habité pendant 25 ans dans le 6è puis travaillé 10 ans dans dans le 7è. Maintenant, après une mutation, je travaille dans le 13è proche Malpassé, la rose, St Jérome (pour être plus précis en face du lycée Diderot) et je me rends compte depuis quand même que Marseille n'est plus comme celle que je voyais. Il faut venir voir ce que les gens peuvent vivre ici il y a beaucoup de misère humaine mais malheureusement cachée par de la délinquance mineure banalisée et surement par le trafic.
Deep;
J'entends par services (et de façon je l'avoue erronée); les boites qui offrent de grosses structures en marketing en communication en backoffice comme ils disent etc...
Bref celles qu'on trouvent en masse à a capitale et peu à Marseille.

Pour info , je ne suis pas concerné, car cuisinier et j'ai trouvé un poste à l'Hotel Dieu pour mon retour...
(08-01-2013, 16:30)diegogo a écrit : [ -> ]
(07-01-2013, 20:32)deepbluebdr a écrit : [ -> ]Je l'ai lu aussi, j'ai parlé de cette historienne un peu plus avant.
Il faut éviter de se cacher derrière le petit doigt, la violence d'avant guerre, d'après guerre ou même pendant, n'a rien a voir a celle d'aujourd'hui.
Il y avaient des caïds, des malfrats, mais la violence gratuite n'existait quasiment pas. Aujourd'hui, dans Marseille, on est capable de tuer une vieille pour son sac a main, un jeune pour son portable, ou un touriste pour sa caméra, ça n'existait pas à ces époques, même si les objets de valeur étaient autres. Les femmes pouvaient se promener avec leurs plus beaux bijoux autour du coup, ce n'est plus le cas aujourd'hui.
.

Cette théorie selon laquelle les voyous d'avant était des gentlemen qui tenaient la porte aux dames et tiraient avec des pistolets à eau permet moi d'en douter. Je pense au contraire que la violence était bien pire à une époque ou les médias n'avaient pas la possibilité de la relayer et où les flics n'avaient pas non plus les moyens d'enquetes actuels.
Le romantisme des gangsters a surtout été créé par le cinéma, dans la réalité je pense que ça a toujours été des brutes sanguinaire et arrogante qui mettent des filles sur le trottoir et raquette les petits commerçants et les honnetes gens sous la menace et les coups.

Et quand tu dis que la violence même pendant la guerre était moins pire que maintenant, je crois que tu exagères un poil, non ?

Tu fais fausse route Diegogo.
Pas que je m'en vante, mais j'ai quelques connaissances dans le milieu. Et ils m'ont maintes et maintes fois expliqué comme ça fonctionnait. Si un mec du quartier, venait tirer le collier de la vieille d'en face comme ça, derrière il prenait une rouste monumentale. Donc, il le faisait pas.
Aujourd'hui, les mecs tirent le sac de la vieille du même quartier, la trainent sur 50m, et la laissent crever sur le sol. Et ça, c'est une histoire vraie, arrivée y a 1 an ou 2, à la Rose.
(08-01-2013, 16:54)Dragnir a écrit : [ -> ]Disons qu'aujourd'hui, on te roule dessous ou on te caillasse parce que tu comprends, "il m'a mal regardé, msieur l'juge", et ça c'est assez nouveau. T'as plus besoin de chercher les ennuis pour en avoir, il te suffit de te promener et d'oser ouvrir la bouche parce qu'on te bouscule, parce qu'on te passe devant, parce qu'on s'en bat les coroñes des autres et que le métro/bus/tram nous appartient, etc etc..
Toutes proportions gardées, je dirais que c'est un lent retour vers les siècles passées, quand t'avais une chance sur douze de te faire égorger pour ta bourse quand tu passais dans une rue un peu trop sombre. Aux délits graves vient s'ajouter une "petite' violence banalisée, quotidienne et gratuite qui parfois dégénère et prend des proportions dramatiques.
'Fin on s'éloigne du sujet.
ça, ça existait déjà avant. Sauf qu'avant, se comportement était l'apanage des voyous justement. Et des voyous, y en avait pas 100 000. D'autant qu'ils étaient autrement plus occupés avec leurs affaires. Aujourd'hui, c'est l'apanage de n'importe qui, et de pas mal de mecs qui n'ont rien à faire, si ce n'est attendre dans la rue qu'un mec passe pour l'emmerder.

(08-01-2013, 17:47)macbou a écrit : [ -> ]Vous la voyez vraiment cette violence banalisée ?

J'habite dans le 6ème, je bosse essentiellement dans le centre et l'hyper centre (1/5/6). Je passe beaucoup de temps (bientôt fini) dans une rue où les vieilles dames et les jeunes bonhommes sont hyper ouvert pour 50 €, je bouffe régulièrement dans un bar ou le patron a fait ses 20 ans de taule, je déjeune même vers l'opéra avec filtrou ; je continue malgré tout à sortir encore un peu, je ne me rappelle pas avoir vu de violence autour de moi.

Alors effectivement, je côtoie très peu les quartiers Nord (14-15-16)...
Je sais que les Rosiers par exemple deviennent de plus en plus durs, j'imagine que les règlements de compte qui tourne autour des trafics en tout genre ont rendu sans doutes encore plus compliqué la vie dans ces cités, pour le reste...

Faut prendre très souvent les métros et bus pour la constater vraiment. Ou travailler dans un environnement propice à l'agression (Madame Boban est infirmière aux Urgences de Nord, de nuit... voilà. La grosse violence, elle la voit 15 fois par jour... enfin, nuit).
Cela dit, depuis que je suis en voiture, je vois bien moins la violence. Sauf la violence routière.
(08-01-2013, 16:30)diegogo a écrit : [ -> ]Cette théorie selon laquelle les voyous d'avant était des gentlemen qui tenaient la porte aux dames et tiraient avec des pistolets à eau permet moi d'en douter. Je pense au contraire que la violence était bien pire à une époque ou les médias n'avaient pas la possibilité de la relayer et où les flics n'avaient pas non plus les moyens d'enquetes actuels.
Le romantisme des gangsters a surtout été créé par le cinéma, dans la réalité je pense que ça a toujours été des brutes sanguinaire et arrogante qui mettent des filles sur le trottoir et raquette les petits commerçants et les honnetes gens sous la menace et les coups.

Et quand tu dis que la violence même pendant la guerre était moins pire que maintenant, je crois que tu exagères un poil, non ?
Pas du tout Nono ou alors un petit poil bien mince alors.
J'espère juste que tu ne parles pas de la violence de la guerre elle même, ce qui est autre chose.

(08-01-2013, 17:47)macbou a écrit : [ -> ]Vous la voyez vraiment cette violence banalisée ?

J'habite dans le 6ème, je bosse essentiellement dans le centre et l'hyper centre (1/5/6). Je passe beaucoup de temps (bientôt fini) dans une rue où les vieilles dames et les jeunes bonhommes sont hyper ouvert pour 50 €, je bouffe régulièrement dans un bar ou le patron a fait ses 20 ans de taule, je déjeune même vers l'opéra avec filtrou ; je continue malgré tout à sortir encore un peu, je ne me rappelle pas avoir vu de violence autour de moi.

Alors effectivement, je côtoie très peu les quartiers Nord (14-15-16)...
Je sais que les Rosiers par exemple deviennent de plus en plus durs, j'imagine que les règlements de compte qui tourne autour des trafics en tout genre ont rendu sans doutes encore plus compliqué la vie dans ces cités, pour le reste...
Elle existe, ça ne fait rien avancer de se le cacher. Le 6ème n'a rien à voir avec les 3/13/14/15/16 pour rappel ça a flingué grave l'été dernier au cas ou on l'aurait oublié.
http://www.laprovence.com/Reglements-comptes-Marseille (pour ne parler que es règlements de compte).
Néanmoins, je ne serais pas honnête si je ne reconnaissait pas qu'il y a moins de grabuges ces derniers temps. Moins de rond point au frein à main, moins de coup de feu, surtout la nuit, moins d'agressions à la personne, beaucoup plus de calme. Le sourire est revenu sur certains visages croisés.
L'intervention de Samia Galhi ? L'hiver ? Plus de condés ? (c'est vrai) ma foi c'est paisible en ce moment, pourvu que ça dure.

(08-01-2013, 23:35)Boban13 a écrit : [ -> ]Tu fais fausse route Diegogo.
Pas que je m'en vante, mais j'ai quelques connaissances dans le milieu. Et ils m'ont maintes et maintes fois expliqué comme ça fonctionnait. Si un mec du quartier, venait tirer le collier de la vieille d'en face comme ça, derrière il prenait une rouste monumentale. Donc, il le faisait pas.
Aujourd'hui, les mecs tirent le sac de la vieille du même quartier, la trainent sur 50m, et la laissent crever sur le sol. Et ça, c'est une histoire vraie, arrivée y a 1 an ou 2, à la Rose.

Il y a un topic je ne sais plus comment il s'appelle (on doit s'y présenter avec des mots choisis) j'y ai parlé de mon enfance, plus ou moins entouré de voyous j'avais deux frangins joueurs de boules et voyous (décédés tous les deux).
J'abonde a ce que tu as écris. C'est tout a fait ça. Les crapuleux (c'est même pas des voyous pour moi) n'ont pas les valeurs des caïds ou homme de main des années 50-60-70 et même 90.

(08-01-2013, 23:00)poluxo a écrit : [ -> ]Deep;
J'entends par services (et de façon je l'avoue erronée); les boites qui offrent de grosses structures en marketing en communication en backoffice comme ils disent etc...
Bref celles qu'on trouvent en masse à a capitale et peu à Marseille.

Pour info , je ne suis pas concerné, car cuisinier et j'ai trouvé un poste à l'Hotel Dieu pour mon retour...
Marseille était ouvrière, les usines ont fermées (cartonnerie, savonneries, ferronnerie, "souffrerie", le port, la réparation navale, j'en oubli.
La pétition sur la savonnerie en faillite n'est pas innocente. Marseille est excellente dans le médical et certainement dans d'autres domaines, mais, que ce soit Gaston Deferre, Gaudin ou les divers présidents de CG13 avec leurs longs mandats respectifs, ils n'ont pas su valoriser et attirer des entrepreneurs ou grandes entreprises. pas plus les grandes enseignes, ni même un parc d'attraction a grande échelle.
S'il y en, ils ou elles sont en dehors de Marseille dans des zones franches parfois et ferment au bout de 10 ans. Vitrolles, Aix les Milles, Aubagne.
Très peu effectivement s'implantent à Marseille voire pas du tout. On attend de voir la finalité du projet EuroMéditérranée, si ça va être le cas. 7 Milliard d'investissement : des commerces, ds logements, des bureaux et activités (?), des équipements publics (la grande clinique européennes ?) des espaces verts. L'accent est mis sur les affaires et le tourisme. 35 00 emplois devraient être générés. Combien de marseillais seront conviés a cette grand messe ? je suivrais ça avec curiosité.

Ma pauvre mère était cuisinière à l'hôpital St Joseph, elle ramenait du beefsteack de temps en temps. Thumbdoubleup
(08-01-2013, 23:00)poluxo a écrit : [ -> ]Deep;
J'entends par services (et de façon je l'avoue erronée); les boites qui offrent de grosses structures en marketing en communication en backoffice comme ils disent etc...
Bref celles qu'on trouvent en masse à a capitale et peu à Marseille.

Pour info , je ne suis pas concerné, car cuisinier et j'ai trouvé un poste à l'Hotel Dieu pour mon retour...

Sinon on en parle de la photo de mito dans l'ascension du Mont Chaberton ?
(02-01-2013, 18:28)saly a écrit : [ -> ]A l' époque Whistling je suis venu à Marseille pour faire mes études, j'ai débarqué à la gare St charles à 23h30,l'unique métro était déjà fermé j' avais loué un petit studio à la Cadenelle ne pouvant joindre le proprio je me tournais affolé ( déjà Marseille avait la réputation de ville mafieuse) vers les taximans pour me renseigner sur un endroit où dormir, eh! bien croyez - moi ou pas l' un deux s'est gentiment proposé de m' emmener gratuitement dans une petite résidence- hotel coquet et très propre pour travailleurs..., BD Strasbourg 3ème ... Marseille, je l' ai connue propre, , la Canebière hyper belle avec de belles boutiques, sécurisante pour preuve nous fréquentions une superbe discothèque,jamais de bagarres ni " jeunes voyous " située au Vieux Port dont a su au moment de la mort de Zampa qu' elle lui appartenait idem pour une autre à Aix (me rappelle plus son nom ) quand on touchait nos bourses, le soir on se payait un petit resto au cours Ju et pour économiser à minuit ou + on rendrait à pieds par la Corniche sans jamais rencontrer de problèmes, voilà pourquoi j' ai pris racine à Marseille alors qu' au début j' avais qu' une hâte c' était de retourner chez moi .Tout ça pour vous dire qu' aujourd' hui hélas on ne verrait plus jamais ça . Les Djeuns dommage pour vous que n' ayez connu ce Marseille là, vous ne chercheriez pas à émigrer vers la capitale CrayCrayCray

La, je vais taquiner mais même si la situation se "dégrade" de partout car les jeunes "seraient" moins respectueux qu'à l'époque, la réputation n'a pas changé et comme prendre le métro à minuit à Paris, c'est dans l'attitude que tu peux avoir, que ta sécurité est, ou pas, mis en cause.
C'est donc toi Saly qui a changé !

En effet, ce que tu écris, il y a 30 ans, je l'entendais déjà et pourtant j'ai connu Zampa, en particulier au Krypton et non à l'Oxydium. Je pouvais circuler dans tous les quartiers chauds de Marseille ou Aix, j'avais toujours le bon discours pour calmer les ardeurs ou, surtout, ne pas les susciter.
MAIS, comme toi, j'avais peu à perdre et les yeux portait cette tranquilité.

Aujourd'hui, vieux con, je suis immédiatement repéré dans les quartiers chauds et ma tranquilité à disparu.
J'ai famille et charges, engagements et contraintes à honorer, cela se lit dans mon comportement, je ne me balade plus comme un poisson dans l'eau dans les quartiers chauds.

La ou je négociais mes cuirs à la porte d'Aix car financièrement je ne pouvais me les payer à Aix, aujourd'hui j'ai du mal à passer, même en pleine journée. Et pourtant, c'était autrement plus dangereux à l'époque...

Marseille n'a donc pas changé et l'image est la Même, ni pire, ni meilleur qu'il y a 25 ans quand je l'ai quitté.
Je vis depuis dans une région calme (même si un flic s'y est fait caillassé à l'époque d'Hortefeu et ses hélicoptères et qu'un meurtre y a été commis il y a peu) et j'avoue être aujourd'hui touché par ces répétitions depuis "Borsalino" et "french connection".
Les cousins qui vivent à Marseille n'ont pas changé, Marseille non plus, c'est moi qui ait évolué, devenant vieux con et ne supportant plus que l'on vienne déranger ma tranquilité.

C'est comme quand j'entends "avant c'était plus facile pour les jeunes !!!"
FAUX...
Quand j'étais jeunes, il existait les MEMES discours et pourtant ceux qui voulaient trouver du boulot en trouvaient facilement... Comme aujourd'hui !

car pour embaucher des bons, c'est très difficile !

KL_vieux_con_ki_dansaient_au_Krypton



à vous lire , ça fait peur et pas envie de venir à Marseille Depressed

Pourtant, à chaque fois que j'y suis venu, à part un gros incendie au dessus de l'Estaque (en quelle année ? demandez à Cetacé, mais ça laisse des souvenirs les canadairs qui te passent 10 m au dessus de la tête ...) où on a été évacué, il ne nous est jamais rien arrivé heureusement (voiture devant nous,dans une file, victime d'un car-jacking, j'ai pas eu le réflexe de coincer l'agresseur entre les deux pare-chocs) Bear
(09-01-2013, 11:40)Kinglib a écrit : [ -> ]C'est comme quand j'entends "avant c'était plus facile pour les jeunes !!!"
FAUX...
Quand j'étais jeunes, il existait les MEMES discours et pourtant ceux qui voulaient trouver du boulot en trouvaient facilement... Comme aujourd'hui !

Archi faux ça.
(09-01-2013, 12:00)El chi a écrit : [ -> ]
(09-01-2013, 11:40)Kinglib a écrit : [ -> ]C'est comme quand j'entends "avant c'était plus facile pour les jeunes !!!"
FAUX...
Quand j'étais jeunes, il existait les MEMES discours et pourtant ceux qui voulaient trouver du boulot en trouvaient facilement... Comme aujourd'hui !

Archi faux ça.

Pas sur car guetteur rapporte et ils sont beaucoup à trouver facilement ce job et cela commence jeune
(09-01-2013, 12:00)El chi a écrit : [ -> ]
(09-01-2013, 11:40)Kinglib a écrit : [ -> ]C'est comme quand j'entends "avant c'était plus facile pour les jeunes !!!"
FAUX...
Quand j'étais jeunes, il existait les MEMES discours et pourtant ceux qui voulaient trouver du boulot en trouvaient facilement... Comme aujourd'hui !

Archi faux ça.

Arguments ? Angel_not
(09-01-2013, 11:40)Kinglib a écrit : [ -> ]
(02-01-2013, 18:28)saly a écrit : [ -> ]

La, je vais taquiner mais même si la situation se "dégrade" de partout car les jeunes "seraient" moins respectueux qu'à l'époque, la réputation n'a pas changé et comme prendre le métro à minuit à Paris, c'est dans l'attitude que tu peux avoir, que ta sécurité est, ou pas, mis en cause.C'est donc toi Saly qui a changé !

En effet, ce que tu écris, il y a 30 ans, je l'entendais déjà et pourtant j'ai connu Zampa, en particulier au Krypton et non à l'Oxydium. Je pouvais circuler dans tous les quartiers chauds de Marseille ou Aix, j'avais toujours le bon discours pour calmer les ardeurs ou, surtout, ne pas les susciter.
MAIS, comme toi, j'avais peu à perdre et les yeux portait cette tranquilité.

Aujourd'hui, vieux con, je suis immédiatement repéré dans les quartiers chauds et ma tranquilité à disparu.
J'ai famille et charges, engagements et contraintes à honorer, cela se lit dans mon comportement, je ne me balade plus comme un poisson dans l'eau dans les quartiers chauds.

La ou je négociais mes cuirs à la porte d'Aix car financièrement je ne pouvais me les payer à Aix, aujourd'hui j'ai du mal à passer, même en pleine journée. Et pourtant, c'était autrement plus dangereux à l'époque...

Marseille n'a donc pas changé et l'image est la Même, ni pire, ni meilleur qu'il y a 25 ans quand je l'ai quitté.
Je vis depuis dans une région calme (même si un flic s'y est fait caillassé à l'époque d'Hortefeu et ses hélicoptères et qu'un meurtre y a été commis il y a peu) et j'avoue être aujourd'hui touché par ces répétitions depuis "Borsalino" et "french connection".
Les cousins qui vivent à Marseille n'ont pas changé, Marseille non plus, c'est moi qui ait évolué, devenant vieux con et ne supportant plus que l'on vienne déranger ma tranquilité.

C'est comme quand j'entends "avant c'était plus facile pour les jeunes !!!"
FAUX...
Quand j'étais jeunes, il existait les MEMES discours et pourtant ceux qui voulaient trouver du boulot en trouvaient facilement... Comme aujourd'hui !

car pour embaucher des bons, c'est très difficile !

KL_vieux_con_ki_dansaient_au_Krypton




Thumbsup Effectivement c' était le krypton.
Non je n'ai pas changé, c' est le climat sociétal et la " jeunesse " d' aujourd' hui qui a changé, des expl.entre milles : Lors de soirées de crêpes estudiantines s' ils nous arrivaient de manquer d' oeufs pour s' en procurer et ce à n importe quelle heure de la nuit on se rendait sans aucune appréhension au cours Belsunce, dans une petite rue mal éclairée s' y trouvait l' une des rares épiceries ouvertes de nuit vas - y maintenant à 3h du mat'!... dans les transports en commun, bientôt ce seraient aux personnes agées de céder leurs places assises aux jeunes .Kinblig à cette époque je sortais de mon adolescence, j 'étais loin de ma famille dans une ville déjà réputée mafieuse mais je n' ai jamais eu peur, le soir les vieux ou vielles comme on dit n' étaient pas terrées chez eux combien j' en ai vus sur les bancs du quartier profitaient des derniers rayons du soleil
Ou t' as raison alors nostalgiquement et comme dirait Proust ? suis-je à" la Recherche du temps perdu "
Mais consolons -nous j' ai lu dans une revue ,d' après uune enquête du site TripA... que : Paris fait parie des 40 villes touristiques au monde les plus mal notées : 22è pour la sécurité, 30è pour l' amabilité des taximans, 31è en rapport qualité-prix et 33ème en termes de convivialités des habitants , nous on s' en fiche les touristes ne font que passer chez nousShiny Et puis finalement Marseille est toute belle pour l' ouverture de : Capitale de la culture, non! Mf_laughbounce
Le panier, y'a 30 ans, t'achetais n'importe quelle came partout dans les rues.
Aujourd'hui, y'a plus que des bobos parisiens qui déambullent sur des grandes places en faux marbre.

Comme quoi, tout est relatif, et c'est pas demain que j'aurais peur, ni a Belsunce, ni quand je vais faire les courses à la Castellane ^^

Bon, à la fois, c'est les gens qu'ont peur de moi dans la rue...
(09-01-2013, 17:56)aqwarium a écrit : [ -> ]Bon, à la fois, c'est les gens qu'ont peur de moi dans la rue...
Et bouse tu m'as piqué ma vanne. Doctor
100% d'accord avec le constat de Kinglib.

"Les jeunes d'aujourd'hui ma bonne dame yzont plus aucun respect" est une phrase que toutes les générations doivent entendre depuis la nuit des temps.
Citation :Les jeunes d'aujourd'hui aiment le luxe, méprisent l'autorité et bavardent au lieu de travailler. Ils ne se lèvent plus lorsqu'un adulte pénètre dans la pièce où ils se trouvent. Ils contredisent leurs parents, plastronnent en société, se hâtent à table d'engloutir les desserts, croisent les jambes et tyrannisent leurs maîtres. Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans.

De qui est ce texte ? cetace, t'es disqualifié Whistling
Platoon.
Presque ^^