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Version complète : RCL-OM, Comment par l’anse lever la croupe de France
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Pénélope avait un peu biaisé et posé la ligne de son regard vers la périphérie mouvante du mug qu’elle portait à ses lèvres. Elle évoqua sans ciller son aventure avec un homme de l'âge de Pierre, son jeune frère, et ce détail salé m’atteint aux tempes. Entre deux gorgées de café, elle déclina l’inventaire des pervers.
Il fût question pêle-mêle : d'un grand avatar masqué à l’emploi du temps troué, mais à l’Espi de synthèse, d’un Cris, hanté de maux toujours finauds à terme, et d'un éléphant trompeur au petit oiseau de paradis. Elle me parla aussi avec des trémolos d'un érudit des grands fonds à la caudale puissante et à l’adage avancé...
-C'est assez, murmurais-je en interceptant d’un claquement de doigt la ligne bleue des Vosges qu'elle fixait telle une ravie au lit. Elle serra du poing le mug à l’anse ébréchée et son ongle nerveux en écailla un peu plus la céramique. Le café long prenait le goût des discours amers, aussi lui ai-je dit de partir d’une voix blanche et polie. Elle déposa mon mug où elle avait l’habitude de boire depuis tous les matins du monde et resta plantée devant moi. Mon Mug OM à la terre cuite apparente sur le pourtour de l’anse. Je le fixai à mon tour et lui demandai de partir une deuxième fois, ce fût la bonne.
Partir fut le concept fondateur de cette journée frisquette de février. Mon Patron, n’ayant qu'assez peu apprécié mon congé pour maladie foudroyante un jour de match, m’envoyait en mission à l’étranger. Il m’avait concocté une destination pas piquée des verts horizons. Un voyage vivifiant pour la grise mine et la délocalisation sauvage. Une contrée que nous appellerons la Mochdavie pour ne froisser personne. Un sombre pays du Grand Nord pas câlin, où la nuit s’éternise, et l’aurore se suicide. Un No Man’s land à l’orée des taïgas givrées où les loups des steppes n’ont rien bouffé depuis des lustres… Plus Mochdavie tu meurs.
Double peine, je devais au trou du cul du monde, me faire le suppôt de la mondialisation sodomite tout en ressassant le facteur de crise conjugale qui ne l’était pas moins. Chérie sur l’autre cake, je devrais finir ce parcours initiatique par la route. La région à prospecter étant ravitaillée par les pingouins, elle n’était desservie par aucune compagnie, même celle de la liste noire.
05H23. Aube blême. Arrivée à l’aéroport Mochdave. 2h d’attente pour récupérer une valise qui arriva à moitié défoncée en bout d’un tapis roulant crasseux. Impossible de la mettre en mode trolley, la poignée resta coincée. Je pestai déjà. Une fois dehors, ça klaxonne à qui mieux meugle. Une bonne douzaine de types patibulaires me proposèrent un taxi. Je refusai presque à regret à la vue du véhicule censé me conduire à destination. Un Car de touristes d’après-guerre froide, affichant sur ses flancs un improbable Toundra Tour rose pétard. Voilà, le seul moyen de transport qu’avait trouvé ma boîte pour me faire rejoindre le bled perdu. Je les soupçonnais de n’avoir pas beaucoup cherché.
Le chauffeur du car vint à ma rencontre avec ce qui pouvait être mon nom écrit sur un papier gras. Le type ressemblait au sosie de Gengis Khan. Il bouffait un sandwich à la seiche séchée, qui chlinguait à dix mètres. Un liquide jaunâtre apparenté à de la mayo dégoulinait de sa barbichette frisée sur ses sandalettes en peau. Le Mongol me reconnut au débotté malgré ma tête de deux pieds de long, et me serra la main d’une poigne visqueuse avant de m’inviter prestement au voyage. Je fus le dernier à intégrer le bus. La porte arrière se referma dans une flatulence électropneumatique et je me vis apparaître furtivement dans les vantaux vitrés, couperet de ma réflexion. De ma désillusion aussi. Ray Ban de pilote de chasse libyen, barbe de trois jours et quelques semaines, un accent circonflexe en guise de sourire. Le car démarra à la ramasse d’un moteur hoquetant.
Je me retrouvai carré sur un siège en peau de vache famélique, juste au-dessus de l'essieu arrière, sursautant à chaque nid-de-poule, maudissant les ponts et chaussées de cette contrée hostile et l'amortissement raide des bus mochdaves.
La route fut pénible à plus d’un titre et je ne tardai pas à découvrir les joyeusetés des voyages en groupe. Je confisquai dès les premiers kilomètres la cloche à vache d’un berger slave parkinsonien voisin de banquette. Dans le même temps, je m'apprêtai à émasculer le chauffeur Mongol qui bâfrait un sandwich aux relents ammoniaqués surpuissants. Du rognon de Yack, j’en aurais mis ses coroñes à couper.
Je me détendis soudain des glandes lorsque mon regard torve se porta sur la cheftaine de l'expédition, une guide en jupe et chemisier rose de chez Toundra Tour. La fille était plutôt jolie, et dotée du surpoids d’une paire de pêches proche de l’obus de douze. Le tout prêt à exploser sa boutonnière. Elle se tenait déhanchée à l’avant du bus, micro en main droite, l’autre à la barre chromée de maintien. La vision d’une stripteaseuse de bar à gogo me traversa l’occiput. Pas étonnant, vu que la fille était gaulée comme un zinc de chasse, avec des cheveux teintés au dioxyde de fer qui tombaient en cascade sur une chute de rein qui me laissa pantois d’adoration… Un cul divin mes frères, une nef de l’abbaye du verso, on y brûlerait son cierge à genoux.
Le larsen un peu sciant de son micro me coupa de la vision antérieure de son postérieur et me fendit l’ouïe pour un nom orthodoxe. Au travers de la lunette, filèrent des bas-reliefs d’église germano-byzantine dont je vis que le haut. La rousse callipyge entonna l’étrange musique au nom de Popes à mon conduit meurtri. Je vous passe le couplet sur le piédestal d’une statue déboulonnée attendant patiemment le prochain dictateur local pour retrouver une érection à la place … Tout me sortait des yeux jusqu’aux orbites de cheval cosaque en bronze. Une mémé emperlousée fayottait au premier rang, vérifiant au doigt et à l’oeil sur sa brochure la véracité historique des commentaires de notre rousse accorte. Nous quittâmes la ville sans regret pour entrer dans la morosité. Un peu comme si vous fixiez une page en panne d’inspiration. Le paysage devint graduellement une ligne grisâtre à la démarcation incertaine. Le ciel, c’était l’horizon. La terre, c’était le charbon de mes verres fumés sur le reflet des vitres embuées. Des champs désolés pas très entraînants à perte de vue qui laissaient rêveur sur la générosité des terres agricoles de ce coin du monde.
Notre chauffeur attaqua un autre sandwich à l’odeur pestilentielle, de la tripe de mammouth dégelé peut-être. Je compatis cette fois et entrai en apnée.
Un nouveau nid-de-poule de la taille d’un cratère atomique me fendit le crâne contre le porte-bagages. Je maudissais derechef l’ingénieur automobile responsable de cette hérésie hydraulique. En parlant d’amortir le voyage, encore une bosse. Mauvais souvenir.
On arrivait.
Fausse joie. Une simple halte. La mémé à la perle avance à la vitesse d’un gastéropode en béquille et obstrue l’allée centrale. Notre guide l’aide à descendre du marchepied, pas rancunière la rouquine. J'aperçois ce qui pourrait être un bar où je voudrais me rendre illico presto… Ouilleeeeak cria le Mongol. Dans mon piaffement pour m’extraire de ce bus, j’écrase le pied du chauffeur goinfre, ce qui a le double effet salvateur de lui couper l’appétit et de lui apprendre à ne pas conduire en tongues. Je m’excuse mollement en lui tapotant la chapka et sors à l’air libre.
Dehors… Il y a comme un soleil vague après la pluie et tout pour faire croire qu’on peut prendre un verre en terrasse, des parasols, un barbecue, mais c’est du leurre en broche, un vent glacial vous poinçonne les oreilles jusqu’au rouge sang, et hors de question d’y laisser un lobe lifté… J’enfile le seul couvre-chef disponible de ma panoplie de grand voyageur, à savoir un bonnet de notre équipe fanion, un grotesque à pompon, cadeau de feue Pénélope la saleté . En bras de chemise, le futal enfoncé dans des après-ski de mes années Moon Boots, et le grelot en laine qui ballotte sur mes Ray Ban aviateur, je dois avoir l’air d’un débile profond. Je me détourne d’une famille mochdave dont l’aîné acnéique mitraille tout le monde avec son numérique acheté au duty-free. C’est le genre de petit con à avoir un Travel-blog et à y mettre ses photos de voyage, genre soirée diapo mondiale. L’idée que je sois au vu et au su de la planète accoutré de la sorte, m’est tout à fait déplaisante. Une photo qui pourrait se retrouver par pure couardise sur le forum d’OpiOM avec un smiley mort de rire, sous le Topic, Opiomanes Trotteurs, ou comment le ridicule tue l’amour du maillot.
J’entre dans le bar, enfin la taverne, la décoration en pierre de taille toi d’ici, fait plus penser à la résidence secondaire de Dracula qu’à un petit troquet sympa. Une tête d’ours à la canine cariée vous souhaite la bienvenue, sans parler des têtes de cerfs, et autres ongulés de chaque race disparue depuis l’antédiluvien crétacé. J’avise le barman derrière son samovar.
-Un café please. Le gars comprend pas. J’y mets du mien.
-Un coffee siouplé mon brave… Il comprend toujours pas.
-Je veux un Kawa. Le gars me regarde avec le même œil mort que le yack empaillé qui nous surplombe. Je suis à bout de nerf et en profite pour ôter mon bonnet ridicule.
-Fregh nkoui, ,kitec ? intervient la rousse aux beaux roberts.
-Ruykjlm ubi hyre el kitec !, répond le gars au samovar.
-Court ou long votre café ?, me demande-t-elle avec un air de bienveillance qui d’habitude irradie des madones de piéta.
Je m’étonne que le gars, au physique de yéti, puisse me proposer ce choix qui me semble tout à coup le comble du raffinement au vu de l’endroit. Je réponds long pour faire court.
-Arhklmlsa ubi Roolkihjjusta ? ajoute le yéti.
-Arabica ou Robusta ?, me traduit encore l’aimable guide roucmoute .
Là, je suis las et me masse les sinus.
Quelques borborygmes plus tard me voilà attablé avec la jolie rousse, prénommée France comme l’indique son Badge de guide accrédité d’un léger embonpoint. Je sirote un café qui ne ressemble à aucun breuvage connu. Tout ce pataquès pour me servir une infusion au goût de sac de jute qui lui-même n’aurait jamais contenu de café.
-Je ne remonte pas dans ce bus, dis-je, grimaçant entre deux gorgées de l’infâme breuvage.
-Vous êtes supporter de l’OM ?, me répondit sa bouche ourlée d’éphélides.
bouse c’est le pompon, elle a vu mon bonnet ridicule. Mon premier réflexe est de me justifier, de lui dire que c’est le bonnet de mon petit frère et que je ne peux décemment pas refuser de le porter, que ça une valeur sentimentale surtout que ce petit frère est trisomique, non, aveugle de naissance, enfin les deux…Je renonce devant le pathétisme de ce mensonge éhonté et assume avec un demi-sourire qui ne veut rien dire.
-L’OM… Oui j’avoue, j’en ai bavé…Pas vous ?
Le tout dit, en déchaussant mes verres fumés et en plongeant furtivement un regard sombre dans son décolleté au mont fendu… Le cerveau masculin se réduisant très vite à sa plus simple expression d’instinct lubrique, j’imaginais son valseur, fendu et arrondi pareillement. Lobotomisé par un afflux de testostérone. J’avais déjà fait le tour de France à la vitesse d’un stéroïde anabolisant.
-Non pas vraiment, enfin, c’est-à-dire… Pas moi… La douce France ne finit pas sa phrase. Petite gêne…Je ne la relance pas à dessein. Inutile de vous faire un dessin. Sinon elle va me parler de son mec, et elle n’en a pas plus envie que moi. Ne provoquons pas la colère de l’au-delà. Les absents ont toujours tort. Article Premier, du type qui part à la chasse et se place.
-Avec vos cheveux sang et or, j’imagine Lens dans votre coeur, me trompe-je ?
France rougit. J’ai fait mouche. Je la regarde avec la malice du rabatteur spécialiste de l’appeau à bécasse. À ce moment, je suis le meilleur public de France.
Je pense à mon Mug OM à l’anse ébréchée et la devise inscrite dessus. Ces droits obus m’inspirent, la croupe de France aussi...
-Saviez-vous que parmi les 193 espèces vivantes de primates, une seule, l’espèce humaine, possède des fesses. C’est une caractéristique anatomique unique. L’apparition des fesses date d’il y a trois ou quatre millions d’années quand l’australopithèque adopte la marche bipède, lance-je à la lensoise d’un docte ton.
De deux choses l’une, ou elle est sur le cul, ou je prends une tarte maison.
-Lghjtregj nuy revbki koul ? demande-t-elle au yeti près du samovar.
-Yep
-Qu’est-ce que vous lui avez demandé ?
-S’il avait une chambre de libre, me répond-elle.
Elle était sur le cul. Aucun doute n’était plus permis.
La guide me montra le chemin, me précédant dans le colimaçon d’un escalier qui promettait de hautes volées.
-Et Yep ça veut dire oui je parie, dis-je, en matant à chaque marche son temple d’Artémis pas laid.
-Vous voyez que vous êtes doué pour les langues…
Nous en dirons autant pour notre guide qui me séquestra dans une chambre qui sentait le fauve et le musc. Je passe les détails du grisou préliminaire, sachez qu’à ce stade de nos rapports, ce fût un hymne enchanteur de variétés. Au nord c’était son corps rond et le septième ciel mon horizon. Un majeur de fond entreprit, séant tenu, une descente tactile de la face boréale du mont des merveilles jusqu’à l’exploration minière de ses moindres sentiers vicinaux. Il faut dire que la croupe de France méritait le détour et c’est dix fois que je l’ai brandie à bout de bras et de souffle.
Dix fois, vous certifie-je. Les annales sont formelles.

L’épilogue fut cocasse à deux pas du Caucase.
Au pied de notre lucarne adultère, le car klaxonnait d’impatience tel un yack en rut tandis que la France en bas recouvrait son popotin en rose uniforme de guide accrédité. Il fallait se dépêcher ou l’autre abruti de Mongol partirait sans nous. Je détournais le regard de ses joues dorées au four pour enfiler le mou lin de ma chemise …
Le Po Popopopo Po des White Strippes en version sonnerie de portable retentit comme un cheveu roux dans la soupe à ma grimace de surprise. Son mobile, qui avait dû choir durant nos ébats, se manifesta au pied du lit où je me rhabillais.
-C’est rien… C’est mon fiancé, me dit la belle aux mèches sang et or, en repositionnant sa barrette de chic devant le miroir de la salle d’eau attenante.
J’étais dans mes petits souliers, et cherchais à tâtons mes chaussettes. Bip caractéristique d’un message. Elle n’en fit pas cas d’avantage et continua de lisser ses épis d’or. Je ne pus m’empêcher, tout en relaçant mes boots, de scruter l’écran illuminé d’un MMS à deux pas de mes semelles.
CE SOIR ON VA VOUS POUTRER
Je fis le rapport et compris que le fiancé, supporter olympien, évoquait avec grâce et esprit d’à propos le match de ce soir contre Lens. Nonobstant la délicatesse toute relative du message, c’est l’image jointe qui me glaça.
Plein écran s’affichait clairement la photo d’un Mug. Un Mug avec le logo de l’OM. Je vous le donne en mille, un mug avec l’anse entaillée deux fois. Il y a un seul Mug OM comme ça dans le monde. Mon Mug.
Un nid-de-poule plus tard, mon bleu au cœur me lance au sang, et encor... Le car traçait sa route minée à travers des champs pendus dans la brume. La voix de France au micro du bus berçait mes funestes pensées d’un grésillant charabia.
Ce type était venu chez moi, la preuve par mon Mug pas neuf était faite. Ainsi le fiancé de France était un des amants de Pénélope. J’en tenais au moins un, les doigts dans l’anse écaillée de mon pot à déconfiture. La vengeance a parfois l’arrière-goût des coings perdus, ironisais-je en regardant France pas dans les yeux. Derrière son beau derrière, défilait la morne plaine de vide, le quasi rien sibérien.
Ma coupe à l’anse esquintée me jouait un drôle tour et me faisait gagner et perdre le Nord en pleurant deux fois. France que ta croupe soit ma consolante…
Il n'y a pas assez de Smiley pour exprimer la classe de cet Edito..
Heureusement que cette fois-ci, je n'ai pas à repasser derrière j'aurai trop peur de mal faire.
Tu places la barre très haute si je puis dire.. Magnifique et merci Fly
ClapClapMf_cupidLove2Laugh

Fly, tu es vraiment un taré pour nous pondre de telles merveilles :hum:
Vous prenez quoi au petit déjeuner ? :helpsmili:hum:

Merci fly:lol:
fabuleux BaveBaveBave

j'ai presque pris autant mon pied à lire l'édito que fly entrain de découvrir les charmes de France.Spoton
Merci beaucoup! C'était un vrai régal, à savourer...

Tes éditos suivent la forme de l'OM. On est passé en mode poutreurs sauvages! Raahh! Shades
Que c'est beau Love2

Merci Fly pour cet édito de haute voltige
ClapClap
Je me demandais si cela valait le coup de continuer à jouer la Coupe de France... Si c'est pour me fendre la poire à lire de tels éditos il n'y a pas de doute.
Pas assez long ce texte Mf_cupid
Pénélope démission Laugh

Je ne quote aucune phrase, ça ferait injure à toutes les autres, il n'y a absolument rien à jeter dans cet édito, c'est une pure merveille Wub
fly ne parle pas le mochdave mais il l'écrit divinement bien Doctor
Edito magnifiqueBounce
peut devenir estraordinaire en cas de victoire Love2
Elephant Bird a écrit :Pas assez long ce texte Mf_cupid
Pénélope démission Laugh

Je ne quote aucune phrase, ça ferait injure à toutes les autres, il n'y a absolument rien à jeter dans cet édito, c'est une pure merveille Wub
Moi je quote FanBird car il est un homme de goût !
Merci de ce récit digne du grand Frédéric Dard et c'est un compliment.Clap
En générale, on a l'habitude de dire que la qualité de l'édito est inversement proportionnelle, à celle du match....
Je vous raconte pas la branlée qu'on va prendre....Bave
Qui avait fait l'édito contre VA au fait ... Happy
Quel talent Fly!Blink :incline: Texte d'une richesse extraordinaire!Vghgbg

Sur le match en lui-même, heu... Le coup des quatre compétitions avec des matches en retard qu'on va trainer comme des boulets, ça me fait kiffer moyennement. Franchement, une élimination sans gloire ni honte de notre équipe bis ce mercredi me conviendrait à peu près.
Keyser a écrit :En générale, on a l'habitude de dire que la qualité de l'édito est inversement proportionnelle, à celle du match....
Je vous raconte pas la branlée qu'on va prendre....Bave
Qui avait fait l'édito contre VA au fait ... Happy

euhh c'est pas moi...
Miki a écrit :Quel talent Fly!Blink :incline: Texte d'une richesse extraordinaire!Vghgbg

Sur le match en lui-même, heu... Le coup des quatre compétitions avec des matches en retard qu'on va trainer comme des boulets, ça me fait kiffer moyennement. Franchement, une élimination sans gloire ni honte de notre équipe bis ce mercredi me conviendrait à peu près.

On me dit dans l'oreillette que ça arrangerai la ligue aussi qu'on se fasse éliminé (un faux pénalty par exemple serait bienvenu Whistling )


Sinon Keyser, il était très bien l'édito de Caveman, tout comme celui de cétacé pour le match de Toulouse. Du coup la théorie du bon édito mauvais match en prend un coup...
Y'a que le premier de Fly qui avait accouché du match contre Auxerre... :(
Elephant Bird a écrit :Pas assez long ce texte Mf_cupid
Pénélope démission Laugh

Je ne quote aucune phrase, ça ferait injure à toutes les autres, il n'y a absolument rien à jeter dans cet édito, c'est une pure merveille Wub

cetace a écrit :Moi je quote FanBird car il est un homme de goût !
Merci de ce récit digne du grand Frédéric Dard et c'est un compliment.Clap

Qui quotera bien qui quotera le dernier.. Je me suis fais la même refflexion que l'éléphant. Impossible de choisir un passage à quoter.. Il est presque parfait ce petit. Il ne lui reste plus que son coming out pour la Brandade et tout rentrera dans l'ordre
caveman a écrit :Je me suis fais la même refflexion que l'éléphant. Impossible de choisir un passage à quoter..

J'allais dire pareil, mais je me tais sinon Paddy va encore se mélanger... Dry
Bien sûr que c'est un édito de classe mondial ! Clap De l'humour, du sexe, de la poésie : wouah Spoton

Mais moi je quote parce que j'aime bien quoter :smoke1:

Fly&familystone' a écrit :Nous quittâmes la ville sans regret pour entrer dans la morosité.

PS : Et je le clame haut et fort, j'aime qu'on joue sur les quatre tableaux parce que c'est ça l'OM, crotte alors ! Paladin

Advienne que pourrira Doctor
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