Celui de Manaudou le serait il ? (douteux)
A noter que les 2 medaillées d'aujourd'hui viennent du même club (Melun) et on le même entraîneur.
Bizarre, vous avez dit bizarre.
suis-je le seul à ne rien râter (ou presque) de ces championnats d'europe ?
encore plein de grands moments en perspective dont une finale du 200m libre qui va valoir son pesant d'or...le 400m aussi, c'est dans la poche mais Manaudou peut elle faire moins de 4'?
Nous sommes deux, cher Cobl.
Et ribery avec.
Que ça serve à quelque chose.
Finalement, il vaut mieux que Laure n'urine pas dans le flacon, il fondrait
jax a écrit :Celui de Manaudou le serait il ? (douteux)
A noter que les 2 medaillées d'aujourd'hui viennent du même club (Melun) et on le même entraîneur.
Bizarre, vous avez dit bizarre.
Hep hep hep,pour une fois que dans le 77 on a des champions ou plutôt des championnes,pas touche.
je viens de voir sur infosport que deux français avaient fait un barrage en un contre un parce que le reglement interdit que deux representants du meme pays soient presents en demies.
Etrange comme reglement
GodFather a écrit :Hep hep hep,pour une fois que dans le 77 on a des champions ou plutôt des championnes,pas touche.
Elle est née à Villeurbanne.
Sinon, idem, je trouve ce règlement complètement crétin. Pourquoi ils font pas comme en athlé dans les grandes compétitions, pas plus de 3 représentants d'une même nation engagés dans une épreuve et on n'en parle plus, comme ça ce sont vraiment les meilleurs qui vont au bout. J'espère que cet évènement pour départager 2 nageurs d'une même nation pour une place que les 2 méritaient va leur montrer la débileté de ce réglement.
Je ne sais plus quelle épreuve c'était mais y a eu 2 Français qui avaient fait les 9e et 10e temps qui se sont retrouvés éliminés. Si un jour y a 4 nageurs d'une même nation qui sont aux 4 premières places des séries ça ferait les 3e et 4e éliminés. Totalement naze.
Manaudou 3ème du 200m... attention les yeux sur le 400m, j'annonce une
ENORME perf de sa part
Il faut aussi se dire que ce ne sont "que" des championnats d'Europe. Même si ses performances sont exceptionnelles, j'attends confirmation aux championnats du monde face aux Australiennes, Américaines ou autres Japonaises
M'enfin, si elle pouvait rafler une 6ème (7ème? je sais plus
) médaille, on est tous preneur :lpouletda
Tarlak a écrit :Il faut aussi se dire que ce ne sont "que" des championnats d'Europe. Même si ses performances sont exceptionnelles, j'attends confirmation aux championnats du monde face aux Australiennes, Américaines ou autres Japonaises
M'enfin, si elle pouvait rafler une 6ème (7ème? je sais plus ) médaille, on est tous preneur :lpouletda
Justement,elle realisera de meilleurs chronos en devant batailler.Car sur 800 elle était seule,alors qu'accompagnée,elle aurait exploser ce chrono.
Be même seule, elle explose le chrono
à un mois des CdM à Melbourne, deux itw qui en disent long sur lépique.com:
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Lucas allume les politiques
En marge de la conférence de presse de Laure Manaudou, vendredi à Lyon, lors de la 2e étape de la Coupe de France, Philippe Lucas, son entraîneur, a (comme d'habitude) fait le spectacle. Sauf que cette fois, il s'est peut-être lâché un peu plus que d'habitude. Et les hommes politiques en ont pris pour leur grade.
« Si Laure est contente de revenir ici, moi, franchement, je suis pressé de partir. Je me fais vraiment ch... dans cette compétition. J'en ai marre qu'en France on travaille dans des bassins où il n'y a pas de place, où il fait chaud, où il n'y a pas de bassin de récupération, pas de ligne d'eau serrées. C'est comme si dans un stade de foot, il n'y avait pas de poteaux. C'est n'importe quoi », a souligné Lucas, mettant en avant le manque de moyens mis à disposition.
« Ce n'est pas une piscine digne d'accueillir des nageurs trois semaines avant d'aller aux championnats du monde. Cela va changer avec l'Australie. Ici, on est en Formule 1, là-bas ce sont des palaces. En France, c'est nul. Pour une ville comme Lyon, c'est grave. Mais ce n'est pas propre à Lyon. Regardez Paris, il n'y a pas de piscine. Je ne rejette absolument pas la faute sur les organisateurs, les pauvres, ils font ce qu'ils peuvent et avec ce qu'ils ont. Vous me parliez de campagne électorale, il faudrait que les politiques, au lieu de nous parler des cités, des quartiers difficiles, etc..., qu'ils mettent de l'argent dans les moyens sportifs. Franchement, cela fait 25 ans que j'entraîne, je ne vois pas d'évolution. Rien ne bouge. On ne peut pas être une nation performante en natation avec ça. Les résultats qui ont été réalisés ces dernières années, c'est bien, mais il va falloir confirmer. Ce n'est pas gagné. »
Entraîneur à résultats, Lucas n'a pas l'intention de venir en aide à quiconque. « Je gagne zéro du ministère des sports et zéro de la fédération et vous croyez que je vais défendre des gens comme ça ? J'ai eu 5 médailles aux championnats d'Europe, je n'ai pas eu de prime. Vous croyez que je vais me battre pour eux ? Si on pouvait partir en train en Australie, ils nous feraient prendre le train. C'est la vérité. Un jour, j'ai proposé une réunion entre des candidats politiques et des athlètes de haut niveau et des entraîneurs (mais des gens qui parlent et disent la vérité, pas du Diagana, du machin, du truc), ça ne s'est jamais fait. En France, c'est de la langue de bois. C'est un gros problème. Ils (les politiques) auront tous le T-shirt de l'équipe de France lors des championnats du monde de handball ou autre compétition et puis le lendemain, ils ont tous oublié. C'est dommage de ne pas avoir eu les JO de 2012, c'est même catastrophique car il y a un réel problème d'infrastructures, de moyens financiers et de formation des entraîneurs. Manaudou a eu les moyens, en plus du talent, d'atteindre le haut niveau et d'avoir des résultats. C'est ce qui a entraîné la médiatisation du sport. Mais en France, on marche à l'envers, on n'est pas bon. »
Bref, si ses nageuses sont encore un peu en dedans, Lucas, lui tient la grande forme.[/COLOR]
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Manaudou : «Plus près du négatif»
« C'est de la bouse et c'est nul. » C'est en ces termes que Philippe Lucas a commenté les performances moyennes réalisées vendredi à Lyon, lors de la 2e étape de la Coupe de France, par ses protégées Esther Baron et Laure Manaudou. A un mois des championnats du monde de Melbourne, cette dernière est consciente de ses chronos mais est moins alarmiste que son entraîneur. Elle avoue surtout son envie de vite rejoindre l'Australie et parle de ses ambitions sur 400 mètres.
«Laure Manaudou, que vous inspire ce retour chez vous ?
C'est bien de revenir dans ma région de naissance (elle est né à Villeurbanne). Je suis aussi très contente de participer à cette compétition avec mon petit frère. Quant à l'accueil des gens, cela fait toujours plaisir et c'est très flatteur. Je me suis retrouvé il y a quelques années à la place de tous ces enfants venus me voir.
Que pensez-vous de vos courses ?
C'est difficile de me prononcer dans la mesure où la course qui m'intéresse le plus, c'est le 400 m qui aura lieu demain (samedi). J'ai besoin de nager sur cette distance et de savoir quel temps je suis capable de réaliser. C'est important de voir où je me situe. La présence de nageurs étrangers à Lyon est bien dans cette optique.
Vos performances du jour sont-elles inquiétantes ?
Non, pas vraiment. Certes, mes temps ne sont pas bons. Faire plus de 15 secondes sur le 800 m, c'est énorme. Je suis plus près du négatif que du positif. Je suis moins bien dans l'eau que lors du meeting de Saint-Germain-en-Laye. Mais attention, je suis satisfaite de la manière dont j'ai nagé. Ce ne sont pas des temps de bouse non plus. Maintenant, je suis pressée d'aller en Australie (décollage le 2 mars pour un stage de Brisbane avant le début des championnats du monde le 25 mars à Melbourne).
Quel objectif vous êtes-vous fixée pour ces championnats du monde ?
Gagner le 400 m et faire du mieux possible dans les autres courses. Faire un bon 100 m dos, un bon 800 m. Je sais qu'il faudra nager beaucoup plus vite qu'il y a deux ans à Montréal. Je sais à quoi m'attendre. Je sais aussi que beaucoup de monde m'attend. Tout dépendra comment je me sentirais dans la tête. Là ? Cela va très bien, merci.
Qu'est-ce qui peut jouer en votre faveur ?
Je pense avoir acquis de l'expérience, même si cela ne fait que trois ans que je nage au plus haut niveau. J'apprends un peu plus à chaque course et ça me sert. Le fait que Nicolas (Rostoucher) soit arrivé dans le club (de Canet-en-Roussillon) m'a aussi beaucoup aidé. Rester juste derrière lui à l'entraînement, cela me motive. En plus, on s'entend bien. L'important sera d'enchaîner les courses. J'y suis bien arrivé à Budapest lors des championnats d'Europe. Je vais essayer de faire de même pour les championnats du monde.
Améliorer votre record du monde sur 400 m, et vous rapprocher de la barrière des 4 minutes, fait-il partie de vos ambitions ?
Non, je ne veux pas me précipiter. D'ailleurs, mon record, ce n'est pas important, je n'y pense pas. A Budapest, par exemple, le record d'Esther Baron m'a plus touché que le mien. Si j'avais été absente, sa performance aurait d'ailleurs été beaucoup plus médiatisée. C'est ce qui m'énerve. J'aimerais qu'on pense plus à Esther car elle le mérite. Cela ne me dérange pas que l'on parle de moi, même si je n'aime pas trop les médias, vous le savez. Mais ce serait bien aussi de parler des autres.
Avec quel état d'esprit allez-vous nager en Australie ?
C'est un rêve pour moi. L'Australie, c'est le monde de la natation (sic). C'est comme le football en France. Cela va être très impressionnant. Il faudra gérer tout ça, mais ça me motive encore plus.
Savez-vous que là où vous allez nager, Amélie Mauresmo a emporté son premier titre du Grand Chelem ?
Non, je ne le savais pas. Avec Amélie, on ne s'est jamais rencontrées, juste croisées rapidement. On est les deux femmes françaises (sportives) les plus médiatiques. Ce serait sympa. Cette notion de classement dans le coeur des Français, ça fait toujours plaisir. La natation n'est pas beaucoup médiatisée. Passer devant des footballeurs, ça me touche beaucoup.
Que craignez-vous le plus là-bas ?
En Australie ? Les requins ! Plus sérieusement, j'ai moins de certitudes qu'il y a deux ans. Je suis moins sûre d'être en finale. Il faudra se battre pour y être. Je me considère comme une nageuse comme les autres. Je n'y vais pas en me disant que je vais remporter toutes les séries. Rien n'est sûr. De nouvelles nageuses sont arrivées sur le circuit et ce sera encore le cas avant les JO. Les temps établis à Melbourne n'auront rien à voir avec ceux de Pékin.
On est en période électorale. Avez-vous un avis sur les élections présidentielles ?
Ce n'est pas mon truc et ça ne m'intéresse pas. Je ne vote pas, c'est ma dernière préoccupation.
Recueilli à Lyon par Sylvain Lartaud
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Quel boulet ce Lucas.Il faut qu'il se détende du moule boule.Faire passer les interets des athlètes avant ceux des cités
Et voila Manaudou avec un autre titre sur 400 m
Malgrés ce qu'à pu dire Lucas sur ces qualifs elle fait l'exploit de conserver son titre
La journée Marathon de Laure. Après un record de France en série du 200m libre.
La voilà aligné en 100m Dos en Finale Médaille d'argent pour Manoudou
Dans 20 minutes elle va faire la finale du 1500 m et dans une heure la demi du 200m libre
