opiOM.net

Usual a écrit :Ho c'est bon, tu l'as retrouvé depuis l'temps non :langue:

Voui
Mais avec des bouts de tôle en moins :(
Et une odeur de crâmé en plus :vod:

Mais le pire dans l'histoire ... l'autoradio déréglé et positionné sur Skyrock à plein pot. :censored

LadyKillers a écrit :Mais le pire dans l'histoire ... l'autoradio déréglé et positionné sur Skyrock à plein pot. :censored

Ho les petits saloupiauds! Godfather t'as pas fait ca quand même!

Y'a un nombre impressionnant de petit Régis ici ! :hum::Pixie
Perso j'ai rien fait de bien important... J'me souviens juste avoir scotché sur la bagnole d'un prof un avis de vente concernant ladite bagnole, avec le numéro de portable du prof (avec un pote on se faisait caguer dc on avait téléphonait chez lui, et sur le répondeur il avait gentiment laisser son numéro de portable )

Nil Sanyas a écrit :Ha oui, y'a deux ans, j'ai commis un meurtre terrible

Un oiseau assez gros était sur la route. Je me décale pour l'éviter... manque de pot, c'est tout le contraire, je l'explose complètement.

En regardant dans mon rétro, j'ai vu des plumes voler jusqu'à deux mètres de haut

L'an dernier je me suis fait un hérisson vers Aix. L'erreur bête. Je conduis (étant pour une fois le seul à jeun) et le collègue à côté gueule attention. Forcément, j'envois un petit coup de volant réflexe et on roule sur un truc que je pense être un carton. Le gars de hurler "mais c'est un herisson!!!" et les mecs bourrés autour d'exploser de rire.

Cette histoire sans intérêt mais véridique voulait juste vous rassurer sur le fait qu'on peut rouler sur un hérisson sans crever.

Mais c'est dommage quand même
Moi c'est plutôt aux araignées que je menais la vie dure. Je sais pas pourquoi j'avais toujours ce réflexe idiot d'en écraser une quand je la voyais. Mais ma grande soeur en a horreur, alors maintenant encore, si elle passe et que j'ai l'occasion de trouver un beau spécimen à imprimer sur internet...

Jubilet a écrit :Cette histoire sans intérêt mais véridique voulait juste vous rassurer sur le fait qu'on peut rouler sur un hérisson sans crever.

La pauvre bête elle est bien crévée, c'est le seul intéret désolant de cette histoire.

Désolé de casser l'ambiance, mais mon coté ami des animaux me fait trouver cette histoire plus triste que marrante.

Crèche du Roy d'Espagne
A trois ans, dans le bac à sable j'essaye de déplier les doigts d'un camarade handicapé de la main, que j'aimais bien. Je lui ai cassé un doigt. J'ai honte je m'en veux encore. Mais je n'étais pas conscient. :vodevill:vodevill:vodevill:vodevill
En CP
Mon frère m'avait appris à lire et écrire avant le CP alors au premier trimestre je m'emmerdais et j'avais pas bien compris le concepts de l'école. Il m'avait aussi appris à dessiner des viers . J'en ai dessiné au bas de toutes les pages des livres et cahiers pendant trois mois. Après, j'ai compris.

J'étais pote avec Momo, le camerounais qui avait déjà cassé deux molaires à un CM2 et tenté de furer une fille en plein cours à l'âge de six ans. J'étais tranquille, avec Momo. Donc je me suis permis de lancer un galot de toutes mes forces dans la tête à Ricardo, fils de la concierge de l'école.

J'ai pris un coup de pied dans le cuisse par Mathilde, la cantinière du deuxième service, celle qui avait des trous dans les joues, car je mettais du pain dans la soupe. Motif : je mangeais comme les paysans...

J'ai coupé la queue de cheval de Monica, la cancre assise devant moi.


CM1 : Ennemi juré : un dénommé Benchétrit, redoublant qui jouait bien au foot. Comme j'étais petit, ce con me mettait des claques sans se retourner. Le lendemain, je pique le compas de mon frère de cinq ans mon aîné. En classe, je fixe le compas déplié entre les velcros de mes basket Pony. Il me balance une claque. J'attends que la maîtresse se retourne et je lui balance un coup de pied dans le cul.

CM1
Ma prof me met une claque à plat sur le crâne et explose son alliance.

En colo :
Je pars aux Baléares avec Cousin Machin. Dans je sais plus quel trajet du périple, en bus. Pendant 6 heures, j'ai chanté les musiques de tétris altered beast uniquement à partir du son "fion-fion".

J'ai parlé à un mec pendant trois semaines uniquement en miaulant.

J'ai lancé une balle de tennis de toutes mes forces du haut du deuxième étage d'un chalet à Aiguilles, sur la tête d'un mec qui portait une casquette américaine avec des pins. Moultes meutrissures.

J'ai piqué l'appareil photo d'un cono et j'ai vidé sa pellicule en photographiant mon cul et les chiottes.

J'ai planté un baton de berger dans le tendon de la cheville d'une fille sans faire exprès, elle s'était arrêtée devant moi et j'avais pas vu.

J'ai pissé sur une tente ennemie pour que ce soit irrespirable en plein soleil.

J'ai dévissé le lit à étage d'un fayot qui dormait dessous car il m'avait dénoncé. Ensuite je l'ai enfermé dans une armoire exigüe et j'ai lancé mon opinel Albertville92 pendant quelques minutes sur l'armoire (sans danger) avant qu'un mono ne débarque et me colle une baffe.

J'ai supporté la RFA contre l'Argentine en finale du Mondial 90, juste pour emmerder Cousin Machin.


Aux Lecques :

- Pour 20 francs, j'ai fait semblant de vouloir sortir avec un boudin juste pour l'amener au bout de la panne et la pousser dans le port dans la nuit.

- J'ai fait caca dans la piscine d'un village allemand.

- Je me suis fait plaquer par une copine un été parce que j'avais mis mes pointes de harpons salées à tremper dans le bocal de son poisson rouge qui en est mort. Ma foi.

- J'ai détaché une panne entière de bateaux la nuit.

- J'ai fait le tour du mac drive des lecques le cul à l'air cramponné au capot avant d'une cox, par miracle il n'y avait pas de voiture devant.

- J'ai dormi dans une barque fleurie sur un rond point, réveillé par les gendarmes même pas une heure après.

- J'ai été viré de mon club d'Optimiste car j'avais largué mon coéquipier à la mer entre la ciotat et les lecques.

- J'ai tagué la façade d'un hotel avec plage privée en transformant le nom "Le chante plage". J'ai falsifié le L en M et ça donnait : "Méchante plage"



J'ai aussi été viré d'un cours de catéchisme associatif car j'avais lancé le babyfoot par la fenêtre sur l'abris bus en dessous. La directrice ne m'aimait pas depuis que j'avais revendu les talons des billets de tombola afin d'empocher 50% du butin de l'église.

petit canaillou espi :D

En parlant de herisson, une nuit ou on allait camper a la plage (la bergerie) on croise 2 herissons qui traversent la route ...
et on a eu la bonne idee de les mettre dans la voiture en se disant qu'il y aurait moyen de faire une bonne blague ...

on a passé la moitie de la nuit a essaye de les choper sous le siege de la voiture pour les faire sortir ...

deepbluebdr a écrit :La pauvre bête elle est bien crévée, c'est le seul intéret désolant de cette histoire.

Désolé de casser l'ambiance, mais mon coté ami des animaux me fait trouver cette histoire plus triste que marrante.

AH... je l'attendais et je voudrais donc une réponse logique à cette question. Ecraser par erreur un herisson est triste (même si vécu comme je l'ai vécu ça me l'a fait oublier) mais torturer des insectes c'est marrant (t'as pas réagi aux divers exemples et aux différentes méthodes parfois ingénieuses et innovantes). Donc, un herisson ça vaut plus qu'un abeille parce que c'est plus mignon? Ma foi, les abeilles ça fait du bon miel pourtant :Pixie

C'était pas pour me justifier mais juste pour comprendre.

Espigoulien a écrit :J'ai pris un coup de pied dans le cuisse par Mathilde, la cantinière du deuxième service, celle qui avait des trous dans les joues, car je mettais du pain dans la soupe. Motif : je mangeais comme les paysans...

Mais mais mais :fou:

Moi j'étais comme dune, un garçon parfait :smoke1:

Jubilet a écrit :AH... je l'attendais et je voudrais donc une réponse logique à cette question. Ecraser par erreur un herisson est triste (même si vécu comme je l'ai vécu ça me l'a fait oublier) mais torturer des insectes c'est marrant (t'as pas réagi aux divers exemples et aux différentes méthodes parfois ingénieuses et innovantes). Donc, un herisson ça vaut plus qu'un abeille parce que c'est plus mignon? Ma foi, les abeilles ça fait du bon miel pourtant :Pixie

C'était pas pour me justifier mais juste pour comprendre.

C'est ton ami explosé de rire qui me fais réagir. En plus d'être bourré, il se marre de voir un hérisson écrasé au sol.
Une abeille je ne la tue pas et j'ai essayé d'inculquer a mes enfants comme je le fais moi même, de ne pas bouger ou de la chasser gentiment. il m'est arrivé peut être d'en tuer, plus par réflexe car elle m'aura piqué que pour le plaisir de voir un insecte mort.
Ton histoire me fais penser au quotidien "banal". Beaucoup d'automobiliste ne lèvent pas le pieds dans le doute, après c'est trop tard. des fois c'est un rat, des fois un hérisson, des fois un enfant.
Bon allez, on va pas se suicider non plus hein :pouce: ce topic est fait pour rigoler.
Si je dois aussi avouer un méfait de gosse, j'ai crevé les pneus de ma prof et j'ai mangé le gouté d'un ou deux élèves alors que j'étais viré d'un cours et que j'errai dans les couloirs. Les sacs avec les goutés pendus aux portes manteaux étaient tentant, et j'avais un petit creux. J'ai eu comme punition d'acheter une baguette de pain et de gonfler deux pneus dans la cour de l'école avec un pompe à pieds.

A 5 ans en mat-sup à Saint-Chamas, première mise sous les verrous :
suite à une baston, j'ai envoyé mon petit camarade à l'hôpital, et comme pour ma part je n'avais qu'un œil au beurre noir, la maîtresse m'a enfermé derrière le volet pliant de la classe jusqu'à ce que mon père horrifié vienne me libérer (sentiment bizarre, me souviens plus de "la raison de la colère" juste le vague remords de lui avoir cassé le bras).
:ange:
J'avais aussi compris comment boire gratis : sous prétexte d'aider à ranger lors des apéros, je récupérais les verres à moitié plein des invités (ils osaient rien dire et louaient même ma soi-disant serviabilité) que je vidais aussi sec à leur santé sur le chemin de la cuisine. Idem à la fin du repas. (Le plus difficile étant de dissimuler l'ébriété jubilatoire…)

A 17 ans en terminale, pour frimer devant mon amoureuse, je lui demande de partir avec moi, là, tout-de-suite. Elle s'est bien-sûr "dégonflée", mais moi je n'ai pas pu revenir en arrière. Direction Lyon pour passer en Suisse (époque de la majorité à 18 ans). Bouffe au rab des restos-U, dessins à la craie pour payer la dope. Bref, un mois après, arrêté pour "trafic de stup et vagabondage”, je cache au juge d'instruction (“le sheriff” pour ceux qui ont vu le film -contremploi historique pour Patrick Dewaere-) que je suis “un fils de bonne famille” (et surtout pour éviter le détournement de mineur à mes co-inculpés). Deuxième mise sous les verrous à Saint-Paul (Saint-Joseph ayant alors été saccagé par l'émeute des mineurs). Deux mois après, le magistrat aux chevrons comprenant que je suis en fait un bourgeois qui s'est encanaillé en fugue (suite à un courrier intercepté), je suis libéré le soir même.
(D'un naturel peu rancunier, c'est le premier et dernier homme à qui je souhaiterai du mal…)
:mf_popean
On the road again à Franckfürt avec un pote aveugle qui jouait super bien de la guitare (pieds nus et chapeau fleuri mais pas de canne blanche), on va chez un opticien pour lui faire une blague. L'angoisse qui monte comme la marée en baie se St Michel chez ce pauvre marchand de binocles, il veut l'emmener d'urgence à l'hôpital…

Pour la troisième mise sous les verrous ou "comment je suis devenu faussaire diplômé de l'université fleurie", c'est une autre histoire…

On a trouvé notre leader là :pouce:

Allez m'en vais vous en conter quelques belle que l'on me doit... :camion

- En primaire (CP), on avait une haie au fond de la cour derriere laquelle on pouvait se cacher. Un midi, y'avait du Pamplemousse à la cantine donc on s'est caché et on a loupé le repas. V'la la raclée quand ma Maman l'a appris...

- Toujours en CP, on avait un souffre douleur dans la classe, une fille bien à sa maman. On trouvait rien de mieux que de lui mettre des bouts de tuillats dans la culotte. :blondblush1: On a jamais eu de problemes avec ca, me demande encore comment.

- Pour pas resté en cours le samedi matin (en primaire), je simulais un gros mal de ventre et ma maman venait me chercher :).

- Lorsque j'avais 10 ans environ, je me levais le soir pour allé taper un foot avec mon frere dans sa chambre. Quand mon pere arrivait, je me cachait sous l'armoire. On s'est jamais fait capter.

- Une fois on a été chez un ami de ma mere en campagne. On a fait une bataille de bouse et on a tartiné sa voiture. On s'est fait tartiner apres evidemment...

Il y a 7-8 ans , je suis rentré dans l'école primaire, par effraction bien sûr, pour me ballader parce que je ne savais pas quoi faire ce soir là.

Résultat, les stocks de patafix ou de peinture ont disparus
J'ai longtemps hésité devant le PC tout neuf du dirlo ...

Oc! a écrit :Ho les petits saloupiauds! Godfather t'as pas fait ca quand même!

Non ce n'était pas celle là,car j'ai bien précisé:"la propriétaire".

-les sorties scolairesau musée où avec tes potes tu dragues toutes les anglaises,espagnoles,italiennes.Au bout d'un moment,les prof de ces gentilles écolières viennent se plaindre à ta prof et là tu finis la sortie à l'acceuil

-squatter la piscine des voisins pendant qu'ils sont en vacances

-au catéchisme,j'ai quasiment collé mes fesses au nez de celle qui s'occupait de nous avant de fuir en sautant par la fenêtre

-quand il y'avait un nouveau au village,on l'emmenait faire un tour en vélo dans la forêt et on lui disait"accélère,tu vas voir c'est marrant",mais eux ne savaient pas qu'à un endroit donné il y'avait une grosse bosse qui donnait directe dans ...un chêne,ils s'explosaient la gueule

-un soir de 14 jullet,tout le village tait au banquet,on en a profité pour faire exploser toutes les boites aux lettres de la rue principale(classique)

En classe de neige (j'avais 9 ans), comme je savais pas skier, je me suis vautré dans une flaque boueuse. Le moniteur voulait que je recommence et je lui dis que c'est pas possible parce que je suis mouillé. Ultimatum : si tu en refais pas maintenant, tu n'en referas de la classe de neige (1er des 15 jours). Je persiste.

Le lendemain, je suis donc exclu et laissé en bas des remontés mécaniques avec un paire de ski. Comme j'avais rien à faire, je me suis amusé à tester la résistance de ces skis (assurés sans doute par l'école) contre les rochers en les balançant quelques mètres plus bas.

Résultat : je me suis fait virer de la classe de neige et ma mère a du venir me chercher dans le Vercors (depuis Marseille)

A coté de certains, je suis un ange :ange: