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Version complète : TFC-OM, Rendez-vous rose, ou comment chercher le bon rapport. Part 1
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T
[/SIZE]he édito. L’écrit ultime sur le foot. Il est là, sous mes yeux cernés par la traversée d’une nuit blanche où la tempête neuronale fit rage; où les vents porteurs d’inspiration gonflèrent mon aile à la plume corsaire et fouettèrent mon style au sang des poètes écumeurs. Il est là vous dis-je, trempé dans des paquets d’amer, le couplet catamaran, le fendant cantique du jeu de ballon. L’édito sublime !
Il est là le pavé lancé dans le marrez-vous du Web footballistique. Là sur mon écran, couché en toutes lettres d’une belle police Times New Roman qui n’a jamais aussi bien porté son nom. Il est là le beau pamphlet, tout chaud et replet, sorti du four utérin de ma carte mère, et des moulins de mon Core Duo.
Il est là, le divin enfin !
J’en étais incontestablement à un niveau d’autosatisfaction stratosphérique. J’attrapais graduellement une melonite occipitale à ne plus passer les double-portes et l’épaississement de mes chevilles avoisinait l’éléphantiasis de foire.
Je reluquai fièrement mon texte comme la septième merveille de la planète foot et grattai une allumette pour embraser une clope avec le même contentement viril de John Wayne venant de tuer Liberty Valence. Stupeur. Une main s’abattît sur mon épaule.
Je sursautai, m’étranglai et recrachai ma clope incandescente. Catastrophe. Après un salto avant la cigarette retomba en piquet à l’aplomb exact de ma braguette et alla se loger sous moi. Attaque au napalm. Le mégot consuma instantanément mon jean et mon fauteuil tournant. Le feu m’habite, paniquai-je. Je décollai à la verticale d’un saut marsupial et me retrouvai en station debout sur mon siège. Je me mis à gifler furieusement mon entre jambe et labourer l’assise en skaï ornée en son centre d’un cratère rougeoyant qui n’en finissait pas de grandir.
Ces gesticulations intempestives eurent pour effet de lancer une rotation subite de mon fauteuil pivotant de manufacture suédoise. Après deux tours de manège à pleine vitesse le TORBJÖRN m’éjecta sans coup férir aussi sûrement que la force centrifuge possède la fâcheuse tendance à éloigner les corps du centre de giration.
L’effet de fronde m’envoya valdinguer à l’autre bout de la pièce et me ramena à la gravité douloureuse du plancher des vaches. Doublement douloureux si concurremment, vous tamponnez les tables gigognes et faites choir un cendrier en marbre, indestructible au regard de votre crâne. Un punaise de cendrier modern style en marbre d’onyx rose, refourgué par votre mère lors du premier emménagement et qui vous suivait de piaule en piaule avec la fidélité insolente des mochetés inaltérables.
J’avais mal partout, des pieds à la tête, en passant par l’entrecuisse passablement endolori depuis ma séance d’auto-flagellation. Je gisais lamentablement recroquevillé contre la plinthe nez à nez avec ce maudit cendar tout à fait intact. L’onyx rose n’avait pas une éraflure tandis qu’un œuf de pigeon grossissait inexorablement sous mon cuir chevelu. Au feu ! La mousse rembourrant l’assise en simili cuir étant hautement inflammable; mon fauteuil pivotant était en train de partir en torche.
L’incendie fût maitrisé avec le reste de café que contenait mon mug et dégagea une fumée dense et âcre, mélange de polyuréthane et de skaï fondu en suspension. Je reconnus mon pompier de service à travers les volutes noirâtres : Bouli, brandissait mon mug tel un extincteur toujours pointé vers le brasier éteint. Sans doute craignait-il un backdraft, un retour de flamme du fauteuil suédois. Allez savoir ? Il en faisait des kilotonnes le Bouli. Estimant tout danger écarté, il déposa finalement le mug et me considéra, affichant un rictus compatissant tout à fait insupportable.
-Suis encore arrivé à temps dis donc !, me balança sans rire mon voisin avant de me tendre une main salvatrice à l’instar du sapeur sur sa grande échelle.
-« Qu’est ce que tu fous là ?, dis-je assez peu reconnaissant. Tu aurais pu frapper ! »
-« Jamais un homme à terre !», s’esclaffa-t-il en me relevant.
Je soupirais à sa vanne pourrie tout en époussetant mes bras d’une poussière de plinthe antédiluvienne.
En même temps j’ai les clés ! », poursuivit mon voisin en brandissant un porte-clés OM en ferraille au bleu écaillé.
J’oubliais que je lui avais laissé un double pour qu’il vienne arroser mon bonsaï durant mes absences hors du territoire. Je me désolais de cette initiative et de l’état piteux de mon TORBJÖRN aux entrailles calcinées. Sans parler de mon jean qu’une palpation sommaire de l’entrecuisse échancrée diagnostiqua irrémédiablement foutu. J’exhortai Bouli à en venir vite au fait et au but de sa visite surprise.
Rien de bien surprenant, somme toute. Il avait une touche avec une certaine Dondon 27 sur son site de rencontres en ligne et il devait passer un test sous forme de quizz pour la dernière étape avant rendez-vous. Il déplia une feuille sortie du fin fond de la poche latérale d’un pantacourt type treillis militaire qui en comptait une bonne douzaine. Une page A4 froissée peu ragoutante avec en filigrane quelques auréoles de graisse. Sans nul doute les stigmates d’un concubinage forcé avec un reste de goûter aux Knaki stagnant dans son bermuda.
-Elle doit être branchée psy la meuf, me dit-il en me montrant le mail imprimé de Dondon27 destiné à PiqueNiqueur –Pseudo de Bouli. « Tu vois le genre, intello vicieuse, genre à chercher la petite bête, et j’ai peur de la boulette ».
Bouli, boulet, boulette étant une suite, on ne peut plus logique.
Je jetai un œil sur la feuille tenue d’un doigt, et le questionnaire concocté par Dondon27 à l’attention de ses prétendants.
Dondon27… Drôle d’idée lorsqu’on pense à l’épithète associé qui vient obligatoirement en tête. Fasciné au passage que 26 autres filles aient pu aussi choisir un tel pseudo.
–« Par exemple, là, doit y avoir un piège, reprit-il. J’ai répondu chatte à plusieurs reprises, et j’ne suis pas bien sûr ! » .
Question 1: « Qu’est-ce que les filles ont au milieu des jambes ? »
-Essaye genou !, suggérai-je tout en lui rendant sa feuille.
Bouli me regarda comme si je venais de découvrir le principe de la relativité générale, il arqua une moue approbative, sortit un Bic 4 couleurs d’une énième poche de son pantacourt et ratura en rouge.
-Jette un œil au reste. Hein ? On sait jamais, insista Bouli.
La purge. Je dénombrai une bonne soixantaine de questions, plus tartignoles les unes que les autres. Son quizz à la con, genre Questions pour un Pervers avait un air de déjà vu datant de la préhistoire du Web et des blagues pourries par mailing-listes. Une page entière dont je vous fais grâce. Une demi-heure plus tard :
Question 59 : « Qu’est-ce qui est plus large chez une femme mariée que chez une célibataire ? »
-Son lit., bâillai-je.
Bouli opina derechef et biffa son énième chatte.
A la dernière question : « Qui monte sur un toit brûlant? »
-Là, je ne vois pas le piège, j’aurais dit comme toi. Une chatte., conclus-je
-Ah ?, s’étonna Bouli.
Il avait en fait répondu un ramoneur.
Bon, c’est bien beau toutes ces conneries de quizz, mais j’ai un édito à poster et un fauteuil à restaurer. Faudrait voir à mettre les voiles mon petit Bouli me souffla mon for intérieur ; si fort que nous quittâmes mon bureau éditorial au trône cramoisi et mîmes le cap sur le vestibule. De plus j’étais pressé de changer mon pantalon perforé; les coutures roussies à l’entre-jambe lâchaient un peu plus à chacun de mes mouvements. Je risquai la burne out. Soit le comble absolu du ridicule. J’expliquai à Bouli l’air désolé que j’avais pas mal de trucs à faire.
- Moi pareil, suis surbooké.
-«Allez Salut Bouli !, insistai-je en le raccompagnant sur le seuil de ma porte.
- Attends… Je t’ai pas dit la meilleure?
-T’as trouvé un job?, répondis-je en le poussant gentiment sur le pallier
-Non, non déconne pas, c’est sérieux. J’ai un autre rencart ce soir.
-Content pour toi.
- Eve2…
- Ciao !, dis-je en lui refermant la porte au nez.
-…chezEve
Je rouvris hébété et grimaçant d’incompréhension.
A mon tour je le regardai fixement comme si Bouli venait de poser le paradoxe de la relativité restreinte de mes priorités.
Eve2chezEve j’avais bien entendu !
Dilatation de l’espace temps et de mes globes oculaires, j’avais relativement perdu tout référentiel. Me revint en mémoire cet apophtegme einsteinien : Il est fort possible qu’au delà de notre bon sens, se cache des mondes insoupçonnés. Ou à peu près.
-T’as rencart avec Pé… avec Eve… avec Elle ?, balbutiai-je enfin.
-Oui à L’Eden Café. Elle voulait s’excuser pour l’autre fois… J’ai pas bien tout compris je dois dire.
Normal. Je n’avais rien dit à Bouli du quiproquo. Quand il était revenu pour le match l’autre fois, j’avais prétexté une rage de dent pour justifier l’escalope apposée sur ma joue et la tuméfaction subite de mon maxillaire gauche.
-Tu vas y aller ?, m’inquiétai-je
-Ben, je me disais que c’était pas très bon de courir deux lapines en même temps. Non ?
J’approuvais vigoureusement, exagérant un hochement de tête tel un cleps en peluche sur une plage arrière de R12.
-La proie pour l’ombre. C’est sûr !, dis-je en opinant de plus belle.
-Hein ?
-Je dis que tu as entièrement raison Bouli, confirmai-je, avec une tape amicale sur son quadriceps rembourré.
-Mais d’un autre coté, Eve2chezEve je suis sur qu’elle est b…
- STOP !, hurlais-je en en me bouchant les oreilles.
Bouli me dévisagea un instant, interloqué par ce cri étrange venu de l’intérieur. Ce hurlement primaire. Puis son visage s’illumina.
« J’ai compris… J’ai tout compris » perçus-je sur ses lèvres. Bouli secouait vers moi un doigt inquisiteur. J’ai du faire un léger pas de retrait. Et un physionomiste averti aurait sans doute distingué une rougeur poindre sur mon faciès.
Tu as compris Bouli ? Même moi, je m’y perds un peu mon vieux. Tu as compris que le mail tendre que j’avais écrit à ta place pour Eve2chezEve n’était autre qu’un copier-coller de ma correspondance amoureuse avec Pénélope. Sauf que Eve2chezEve s’avéra être…Pénélope, mon ex qui me prend donc logiquement pour Piqueniqueur, c’est à dire toi, mais pas vraiment toi, puisque du coup pour elle c’est moi et pas toi. Sur ce, Pénélope alias Eve débarque chez moi, très énervée, m’imaginant draguer en ligne avec les même mots d’amour, elle se sent doublement trahie, s’en suivent la gifle et l’escalope et… Tu as vraiment compris tout ça Bouli ?*, songeai-je un brin perplexe tout en ôtant les mains de mes oreilles me ramenant brutalement à la réalité sonore.
« C’est comme ma mémé ! », beugla Bouli.
-« Ta mémé ?, m’étonnai-je, en secouant l’auriculaire dans mon pavillon.
-Oui. Tout pareil. J’ai compris t’as des Acouphénomènes !, m’asséna-t-il sérieux comme un pape.
- Ah …? Ah oui ! Exactement… Des acouphènes!
-C’est drôle ce bazar, ça fait comment au juste ?
-Ben… Imagine un arbitre lilliputien logé dans ton conduit auditif et sifflant un pénalty contre l’OM toutes les 3 secondes. L’enfer quoi.
-T’es vraiment un obsédé avec ton OM. Pas que ça dans la vie tu sais!, m’acheva-t-il avec un sourire narquois.
-On disait quoi ?, repris-je
-Que Eve2chez Eve était une…
-Non ! On disait qu’elle m’a l’air super aussi la gr… euh Dondon trucmuche. T’as tout juste à son Quizz. Crois moi c’est du tout cuit cette affaire !
-Yep … surtout qu’on a un point commun qui tue. Un truc de Ouf. Elle adore les Knaki Balls!
-Alors là Bouli. C’est imparable. Y a pas à hésiter une seconde, dis-je en l’empoignant virilement par les deux épaules cette fois.
-Oui mais quand même, elle a l’air canon Eve2chezEve.
-Et la beauté intérieure ?, soulignai-je.
-Je vois pas le rapport, en plus suis pas très déco tu sais.
-Et si elle déteste les Knaki Balls ton canon ?, lançai-je à bout d’argument.
Bouli se gratta la tête et les coroñes devant ce choix cornélien.
-Tu veux pas me rendre un service ?, dit-il.
-Non.
- Si… Tu pourrais y aller à ma place ?
Dans la tête de Bouli, il s’agissait de me faire passer pour PiqueNiqueur et de jauger la beauté extérieure d’Eve en même temps que son penchant éventuel pour la charcuterie industrielle. Si Eve2chezEve était bonne –je cite, il la réattaquerait sur le site sous un autre pseudo.
Dans les faits, Bouli me proposait d’aller à un rendez-vous qui m’était destiné et de me faire passer pour moi.
Elle était bien bonne en effet.
-Il est à quelle heure mon… ton rencart ?, demandai-je dans un faux soupir.
J’avais une heure devant moi.
Pas de temps à perdre donc. Je partis fissa me déodoriser les aisselles, me gargarisant d’une solution buccale mentholée, tout en me mirant dans le recto grossissant du miroir double-face. Je ne voulais négliger aucun détail. J’avais un poil sur le pif de la longueur d’une liane de forêt tropicale et le sourcil hirsute. Aucune pince à épiler n’habitait plus mon appartement depuis le départ de Pénélope. Fouille frénétique de ma boîte à outils famélique. J’avais eu la vision de la pince à écharde incorporée au couteau suisse de mon père. Vieux rêve, cette dernière s’était volatilisée depuis belle lurette et les mini-ciseaux tordus s’avérèrent inutilisables. J’essayai avec la pince à dénuder pour écourter ma pilosité récalcitrante. Pas longtemps, je manquai d’un poil de me pincer jusqu’au sang. Finalement je me rabattis sur la lame du canif helvétique coincée à l’équerre en guise de coupe-chou.
Résultat des courses : appendice nasal écarlate et desquamé.
Gommage illico à la crème hydratante exfoliante qui sentait le rance doublé d’un contour des yeux effet glaçon qui ne mange pas de pain. Ensuite, direction le dressing, constitué par deux planches en contreplaqué aux horizontales cintrées et un portant surchargé. J’hésitai devant une chemise grise anthracite à col mao ou la noire à fines rayures ivoire de chez TopMan. La noire, évidemment. Je ressortis la veste à double poches passepoilées du remariage de ma mère pas si poilant, l’enfilai par dessus un jean sans trou au cul et chaussai mes bottines en agneau retourné dernier cri. Œillade finale au miroir. Après mûre réflexion, je décidai de garder ma barbe de 3 jours, histoire de faire genre. Fin prêt. Flûte ! J’allais oublier. Indispensable : Brumisation faciale avec le reste d’Ô d’Issey, cadeau d’anniversaire de Pénélope.
Bon cette fois c’est bon, me voilà habillé, crémé, coiffé, poudré, lotionné tel un Mignon de Cour. Un Métrosexuel comme on dirait aujourd’hui, histoire de substituer un néologisme au ridicule. Métro, c’est trop. De toutes les manières, j’aurais beau faire le beau, j’étais au max de ma bogossitude (soit une magnitude miséreuse sur l’échelle de Clooney). Ne pas insister, me chuchota la voix de la raison. C’est sur cet éclair de lucidité que je sortis et dévalai les escaliers en sifflotant, faisant pianoter mes doigts sur la rampe cirée.
J’étais en avance. En route vers l’Eden. J’avais rendez-vous avec Pénélope. Excité comme une puce adolescente sur le point de sauter sur son premier bichon.
Je n’étais décidément qu’un incorrigible con.

…A Suivre
Part 2 au prochain Edito - Match Spartak-OM
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* Cf, édito Chelsea – OM.


[b]
[SIZE=4]Apostille d’Origine Contrôlée


Vous l’ignorez peut-être, chers membres de la Fumerie, mais chaque Edito avant d’être mis en ligne est supervisé par le CSO. La lettre « O » ne renvoie pas ici à OpiOM, comme on aurait pu le penser de prime abord, mais à Oc !
Comité de Surveillance d’Oc, donc.
Et de fait, je me dois de vous faire part en post-scriptum de ses remarques avisées sur cet édito.
Extraits de tchat:
OC : -Je ne félicite pas. Là, on est dans le grand n’importe quoi Fly. Avec tes conneries on risque une chute drastique de connexions. Aucun rapport avec le match. Rien, que dalle. Rien sur le foot. On a l’habitude certes. Mais tu aurais pu ad minima te fendre d’une allusion régionaliste. Toulouse, Le Capitole, la Ville Rose, Nougaro, la Saucisse, que sais-je ?
Votre Serviteur : – Pour la saucisse… Il y a le passage sur les Knaki !
OC –Ô Cheval ! C’est Strasbourg les Knaki.
VS – Ah ? Alors non c’est vrai, aucun rapport. Je peux titrer « Que le vil rose capitule, ou Comment l’important c’est la poutre. »
OC –Pas compris.
VS –C’est que c’est pas bon alors.
OC –Je vois qu’il y 2 éditos à suivre. Diantre ! Et la suite est du même tonneau ?
VS –C’est à dire…?
OC –Je veux dire, je ne suis pas cité. Rien.
VS –Je le crains.
OC –Je te confirme que ça craint. Pourtant cela ne pourrait qu’aider, ajouter un plus dans mon rapport en somme.
VS –Ajouter plus de langue d’Oc en somme si je saisis bien le rapport…
OC –Parfaitement. Je dirais même Plus que Parfaitement. Bon, il faut que je te laisse et déconnecte l’I-Pad 3G, mon caddie vient de retrouver ma balle dans une décapotable garée à 150 m du green… en plus c’est ma bagnole. Je dois droper ou défoncer le pare-brise … J’hésite. J’en suis déjà à 12 coups sur un Par 3. Faut dire que tu m’as sacrément contrarié avec ton édito.
VS –Désolé…
OC –Et bien sûr pas un mot sur cette anecdote golfique.
VS –Cela va sans dire.
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Fly&Stone
plus ça va plus les édito sont long Ohmy

Merci Fly, je lirais après la réunion Bye2
Fly a encore rdv avec la plume. Merci beaucoup monsieur, encore du grand art !
Olorin a écrit :plus ça va plus les édito sont long Ohmy

Merci Fly, je lirais après la réunion Bye2
Laugh
Love2
Je n'ai que deux mots à dire :
LA SUITE !Bave
La suite, on la connait.

Un TFC pas franchement transcendant mais qui voudra accrocher le champion en titre devant son public, un Tabanou et un Sissoko on fire, un Santander et un Tafer qui attendaient cette rencontre pour se réveiller, un OM poussif, craintif et finalement dépassé malgré les appels au réveil lancés durant la semaine par certains joueurs. Ah oui, et j'oubliais un Gignac tarabusté et provoqué par ses anciens partenaires, qui finira par péter un plomb en taclant par derrière Didot, après avoir manqué l'immanquable seul face au but 5min auparavant.

Merci quand même, Fly Bounce
[COLOR="DeepSkyBlue"][SIZE="7"]Magnifique ![/SIZE]
1 coup pour le drop

[SIZE="6"]Magnifique ![/SIZE]
1 coup de recentrage (oups, bunker !)

[SIZE="5"]Magnifique ![/SIZE]
2 airshots

[SIZE="4"]Magnifique ![/SIZE]
1 coup pour trouver le rough

[SIZE="3"]Magnifique ![/SIZE]
et chip in !

[SIZE="2"]Magnifique ![/SIZE]
0 put

[SIZE="1"]Magnifique, 18 sur un par trois...[/SIZE][/COLOR]


En dehors de cela, l'Édito parle assez peu de golf, consternation. Doctor

Pas une lettre en trop Bowdown
Merci Fly !!! Excellentissime ! BounceClap

Bon, bah reste le match à gagner !!! Si on titularisait Brandao, Fly (c'est à Toulouse qu'il a été le plus performant l'an dernier non ?) ? Tongue
Quelle régalade Fly Mf_cupid

J'ai dégusté ça comme un bon et moelleux Savane de Papy brossard au p'tit gouté !

Vivement la suite... Comme quoi quand c'est bon c'est jamais trop long@Bouli Clap
Merci FlyMf_cupid, toujours du grand art, vivement la suite... que ce soit avec 3 points de plus dans la musetteBave.
Je comprends pourquoi tu voulais le faire en deux partiesHappy, quoique c' est tellement bien écrisBave.



P.S: T' aurais du mettre la chemise col mao@E-Bird:lol:.
mathildien a écrit :Merci Fly !!! Excellentissime ! BounceClap

Bon, bah reste le match à gagner !!! Si on titularisait Brandao, Fly (c'est à Toulouse qu'il a été le plus performant l'an dernier non ?) ? Tongue

Oui mais en coupe de la ligue Bye1

Sinon ayé j'ai lu l'édito et comme d'hab avec Fly c'est excellentissime Mf_cupid
On devrait gagner avec un édito pareil...

hé dîtes > Et sinon l'édito ultime il est où ?
rooh le Fly, trop bon, et merci ! . "Le feu m’habite, paniquai-je", c'est goutu [SIZE=3] :happy2:[/SIZE] [SIZE=3] [/SIZE]
[SIZE=3]

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Si Gignac pouvait se souvenir de son ancien jardin.....

Bravo Fly ;)
Enorme Fly, qu'est-ce que je la kiffe PénélopeBaveBaveBaveBaveBave


Bon sinon, Diarra en remet une couche, il me fatigue lui...

Question 6, au mercato hivernal la seule affaire à faire pour moi c'est du côté du Réal, Lassana est en train de rater le train bleu, un prêt est possible.
Y a qu'un truc que j'ai bien tout compris : c'est quand Oc parle dans le chat Vghgbg
Merci Fly Clap
On s'y croirait... Merci Fly!

Vivement mardi pour savoir si tu TéFéCé Pénélope... Whip:punk1:
Excellentissime, merci ! Mf_cupid
flyBounce
merkiBowdown
BounceOuh pitain ! Je viens juste de comprendre pour la peine de mort : c'est pas Dougue, Bouli. Impossible, il a fait faux bond à cetace. Et sur l'échelle de Clooney, comment reconnaître un oxymore, what else ? Comme disait Cali, des excès lents… Bave
La Pénélope elle est de Toulouse, c'est bien ca le rapport? Unsure
(en tout cas elle m'y fait penser.. Dry Rolleyes )

Merci Fly!
ClapClapClap

Allons poutrer la violette toulousaine!! Bave
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