J'y serais peut etre pas l'an prochain :enlair:
punaise j'ai trop de boulot, je dois inventer un compte rendu d'une emission télé maintenant :fâché:
Dav_ a écrit :J'y serais peut etre pas l'an prochain :enlair:
punaise j'ai trop de boulot, je dois inventer un compte rendu d'une emission télé maintenant :fâché:
Ouuuuuiiiin j'aurais pas mon BAC, je vais pas aller en 2e année, t'es trop défaitiste, je t'avait dit que t'aurais ton BAC, tu l'as eu, je te dis que tu seras en 2e année et tu le seras parceque tu me dois bien ça...
Ouais mais au Bac, j'avais un 18 en philo, un 19 en Histoire Geo, un 17 et 16 en Français, là c'est plus dur :o
Meme en Littérature, je suis pas un cador :fâché:
punaise Dav, accroche toi bordel! :langur2:
Dav_ a écrit :Ouais mais au Bac, j'avais un 18 en philo, un 19 en Histoire Geo, un 17 et 16 en Français, là c'est plus dur :o
Meme en Littérature, je suis pas un cador :fâché:
Accroches toi bordel...Montres toi digne de la Sorbonne et sois digne de moi... :langur2:
C'est pas avec Geluck et son cigare mexicain, que je vais avoir une bonne note :-/
Dav_ a écrit :Ouais mais au Bac, j'avais un 18 en philo, un 19 en Histoire Geo, un 17 et 16 en Français, là c'est plus dur :o
Meme en Littérature, je suis pas un cador :fâché:
Que je sache la moyenne est à 10, t'as encore de la marge... :kpassûr:
ouais mais le reste des matieres au Bac, j'avais tout en dessous de la moyenne :enlair:
Alors là si je peine en littérature, imagine en grammaire :o
Et tu as les memes matieres qu'au bac?
Non j'ai Littérature, Grammaire, Infocom, Culture Generale en gros
Tout ce qui est grammaire , linguistique phonétique etc ... ça s'apprend, c'est pas bien sorcier, tu devrais pouvoir t'en tirer . ;)
Et c'est pas dans la continuité des matieres ou tu dechirais l'an dernier?
Bah t'inquietes, c un passage à vide, ca va revenir! ;) C'est courant pour les marseillais en ce moment! :D
J'espere, on verra bien :-/
J'aurais du choisir Deug d'Histoire, c'est d'ailleurs là ce que je ferais, si j'echoue cette année :enlair:
Voila comment on fait un devoir sur une émission télé alors que l'on a rien vu, bonjour les mythos :bienjoué:
En quête dune émission télévisée pour réaliser mon devoir en Information et Communication, jai multiplié les coups de téléphones auprès de multiples organismes. Les numéros de téléphone, je pouvais les avoir de deux manières, soit en regardant la télévision ou à la fin des émissions, on nous donne la chance dassister à lémission en proposant un numéro de téléphone, soit en allant sur le site de la chaîne en question. Jai finalement opté parmi les plusieurs possibilités qui soffrait à moi, dassister à une émission sur LCI, sintitulant « On refait le Match » avec Eugène Saccomano. Je pensais que lon allait me faire passer un rendez vous préalable pour participer à cette émission, mais il nen fut rien.
Le Lundi suivant le rendez vous, c'est-à-dire le 10 novembre, jai pu assister à lémission. Cette émission commençait à 20h et se finissait à 21h, mais elle était diffusée avec un léger différé, c'est-à-dire de 21h10 à 22h10. Jai du me rendre à la Plaine Saint Denis afin de me rendre dans les bâtiments de la chaîne LCI, que lon mavait indiqué par téléphone. On mavait avertit darriver à 19h30 dans le lieu de rendez vous.
Cette émission traitait de lactualité football avec un ton décalé, cétait pour moi, loccasion, de voir le visage qui se cache derrière la voix mythique du football français. En effet, cette émission, est diffusé depuis longtemps à la radio de 20h à 21h et maintenant on peut assister au débat sur LCI de 21h10 à 22h10. Cette émission était animée par Pascal Praud (TF1), Philipe Doucet (Canal +), Gilles Verdez (le Parisien), Dominique Grimaud (Sporever), Olivier Rey (But).
Je fus très vite installé par monsieur Chapuis, qui soccupait de lorganisation de la scène et du placement des spectateurs. Il nous faisait faire des interprétations de colère, de frénésie, de joie et nous dit que nous devrions recommencer cela lorsquil nous ferait signe au cours de lémission.
Le thème de ce soir était la domination de lOlympique de Marseille sur le football hexagonal. Le débat partait souvent pugilat verbal entre les différents protagonistes qui nétaient pas toujours du même avis. Surtout au sujet de laffaire Perrin, certains réclamaient sa démission, dautres le voyait comme le messie quil faut garder pour assurer la pérennité du club. Il y avait de multiplies allusions à un site nommé opiOM.net pour étayer les débats.
Le fait que lémission soit diffusée en direct à la radio, obligeait les diffuseurs à ne pouvoir couper ou modifier la teneur initiale. Je trouvais cet aspect positif car il permettait de garder une certaine authenticité des débats. Mais durant les courtes pauses publicitaires (4 au totale durant lémission), jai pu mapercevoir que des personnes de la chaîne donnait des directives à apporter au débat.
Jai souvent vu le directeur technique de LCI, monsieur Claude Jacquet, qui sassurait du bon déroulement de lenregistrement.
A la fin de lémission, Monsieur Saccomano eu quelques mots pour les spectateurs et nous remercia dêtre venu. Malheureusement nous ne pûmes lui parler, car il avait encore une émission à faire sur RTL. Jai été admirablement surpris de pouvoir toucher de près lunivers audiovisuelle et cest plein démoi que je suis rentré chez moi.
MDR :p t'as oublié de parler de l'huissier et de son picrate !!! :allvert:
Au fait, t'as du sang rital ou c'est juste un phantasme ??? :D
Ouais mais bon c'etait abusé si je parlais de l'huissier :langur2:
Ben oui je suis Italien de sang mais pas juridiquement. Disons que pour dire vrai, je suis 1/4 Italien. Mais pour moi ce quart compte triple :bienjoué:
Et un compte rendu du musée de la radio, merci Google :bienjoué:
Le Musée de Radio France organise chaque année une matinée de rencontres, ouvertes au public, autour de plusieurs thèmes ayant trait à la radio ou à la télévision. Pour cette édition, le 10 novembre, le succès était au rendez-vous : pas moins de 200 personnes se pressaient sur les gradins du studio Charles Trenet qui accueillait la manifestation.
Il faut préciser que la Maison de Radio France, conçue par Henry Bernard et inaugurée le 14 décembre 1963 par le Général Charles de Gaulle, abrite un musée qui retrace l'histoire de la radio, de la télévision et de l'enregistrement du son des origines à nos jours.
Des appareils constituant une des plus belles collections d'Europe, mais aussi des documents d'archives sonores et audiovisuelles, des photographies, des manuscrits et la reconstitution de laboratoires ou studios, illustrent cette évocation des hommes et des techniques qui, en un peu plus d'un siècle, ont bouleversé le monde de la communication. Je me suis particulièrement intéresser à cette matinée de rencontres ou tout lunivers de la maison de la radio semblait réuni.
Le programme des trois conférences était très varié. Retour aux pionniers de laudiovisuel dabord, grâce à Michel Amoudry, auteur dune biographie de René Barthélémy. Après un bref rappel des débuts de ce brillant ingénieur auprès du Général Ferrié, véritable promoteur de la radio militaire, le public a pu revivre le parcours de celui qui fut à la base du développement de la télévision en France à partir de la fin des années 20. Animé dune véritable fièvre des brevets (il en déposa plus de 300 au cours de sa vie !), lhomme a essentiellement travaillé sur la «télévision mécanique», dont le dispositif analyseur dimage (30 puis 60 lignes) était un disque tournant rapidement, percé de trous disposés en spirale : le disque de Nipkow. Barthélémy a également lintuition du balayage horizontal (à linverse de son concurrent écossais, Beard) et des signaux de synchronisation négatifs alors que lanalyse de limage, elle, correspond à une tension positive. Deux concepts toujours de rigueur aujourdhui ! Grâce à René Barthélémy, la télévision sort des laboratoires en 1935, et des magasins commercialisent des produits sous sa marque, Emy-Visor. Le Front Populaire puis la seconde guerre mondiale brisent lélan de Barthélémy, à qui lÉtat préfère Henri de France pour doter le pays de la télévision. Barthélémy meurt en 1954. Son nom, attribué un temps au Centre de Production des Buttes-Chaumont, nest plus conservé par le Service Public. Cest bien dommage !
On se retrouvait au début des années 80 pour la deuxième conférence, où Marc Martin revenait sur labandon du monopole de la radiodiffusion &endash; qui remonte aux débuts de la radiodiffusion civile, dans les années 20. Certes, stations détat et radios privées coexistaient alors, mais au prix dacrobatiques prolongations de dérogations provisoires, fruit du lobbying intensif des acteurs économiques concernés. À la fin de la seconde guerre mondiale, les organisations issues de la Résistance affirment le monopole détat sur les ondes hertziennes en révoquant toutes les autorisations démettre. Poste, train, gaz, électricité... relèvent alors tous de lÉtat, et le monopole de la RTF constitue le meilleur moyen de préserver la radio de toute «mauvaise» influence commerciale et économique. À cette époque, même les socialistes souscrivent à ce point de vue.
Cest à partir de 1958 que la radio dEtat devient, sous de Gaulle, la Voix de la France, et le contenu des journaux soumis à lecture/révision systématique par le Ministère de lInformation. Europe 1 apporte alors un vrai sang neuf, alternative à lordre moral gaulliste. Vers 1975, les progrès techniques rendent abordables lachat et la mise en uvre démetteurs FM pirates compacts &endash; ce dont profiteront immédiatement de nombreuses radios libres clandestines, brouillant délibérément les émissions autorisées pour se faire connaître. Les syndicats qui les animent réagissent violemment aux interpellations et aux confiscations du matériel, conséquences des plaintes déposées notamment par TDF. Ces affaires sont très médiatisées : François Mitterrand comprend alors que son parti peut apparaître comme le champion des libertés sil se prononce pour labolition du monopole, une position pourtant peu répandue chez ses compagnons socialistes... Il va jusquà se faire impliquer lui-même dans la saisie de Radio Riposte à Paris. Après son élection en 1981, tout ira très vite : loi provisoire fin 81, définitive en 82, mise en conformité en 1983. Plusieurs milliers de stations émettaient alors en France... Lois économiques aidant, la situation sapure très rapidement, les réseaux se mettent en place, rachètent les fréquences, les projets les polus généreux seffondrent faute de financement, et on aboutit à la situation actuelle...
Pour conclure, Philippe Manach posait la question : La radio illustrée, quelles offres, quelle demande ?. Une radio «illustrée» appelle un récepteur muni dun écran &endash; où consulter les données associées (image ou texte) autorisées par le numérique. Toutefois, le son reste prépondérant : les données associées ne constituent quun enrichissement, on doit pouvoir continuer à écouter la radio pour elle-même. Sous cette forme «son seul», après 75 ans dexistence, la santé de la bonne vieille radio semble insolente : rien quen France, on dénombre plus de 130 millions de récepteurs, toutes catégories confondues, du radio-réveil au tuner hi-fi (soit plus de 6 par foyer !). Toutefois, ce média atteint ses limites. Financières, dabord : largent de la redevance nest pas élastique, et le marché publicitaire reste fragile et convoité. Réglementaires, ensuite : le législateur a interdit à un même groupe datteindre plus de 150 millions dauditeurs potentiels. La «pénurie» avérée de fréquences sur la bande FM pourrait être palliée par de nouvelles formes de radio. Lécoute via le câble ou sur Internet reste encore très minoritaire, mais ce que proposent certains players Web (Philippe Manach présentait celui de funradio.fr) est assez proche dun concept de radio illustrée, avec données associées, diaporama, webcam dans le studio
La marge devient alors étroite entre radio «illustrée» et télévision. Des essais antérieurs (jumelage de radio FM et du Minitel dès 1986, Walkman FM Sony DARC dix ans plus tard avec écran LCD de 150 x 100 pixels) ont connu léchec, et le RDS a mis longtemps à simposer, personne nutilisant réellement toutes les capacités de ce système. Le DAB reste la forme la plus prometteuse de radio illustrée, mais la lenteur de son démarrage, le manque de support commercial des revendeurs français, les inconnues sur la norme DAB elle-même et les prix encore prohibitifs rendent tout pronostic hasardeux ! Il semble que la radio telle que nous la connaissons restera encore longtemps un phénomène de masse, la radio illustrée voyant, au mieux, se créer pour elle un marché de niche
Me suis ncore fait bannir d'omlive avec que j'ai rien fais :enlair:
Ca doit être la cinquième fois ...
:D heu spomoi m'sieur
t'as dis des conneries ? ou t'as fais de la pub pour opiom ? :allvert:
Pixie a écrit ::D heu spomoi m'sieur
t'as dis des conneries ? ou t'as fais de la pub pour opiom ? :allvert:
C'est fini ca ! J'ai murrit moa !
Et puis c'est de la faute à Boeuf si j'ai pubbé. Il te manipule comme personne celui là. Mais même la fois où j'ai pubbé me suis pas fait bannir alors que là j'ai rien fait.