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Lorsqu’il s’agit de rencontrer le FC ouin-ouin
A Lyon, c’est toujours le même refrain,
contre l’OM, ça pleure, ça tire dans les coins,
sur l’ouvrage, son président y met de la peine.
Il montre contre nous, encore toute sa haine,
dans la guerre qu’il a déclenché à l’OM.

Une fois les fesses de ses joueurs bien léchés,
ceux de son staff et de son entraineur lubrifiés,
il nous gratifie sans vergogne de sa défense
« C’est le président qui fera la différence » 
On peut lui faire confiance, au fumier,
Tellement, il est dans les petits papiers.

Il devait prendre du recul se mettre à l’écart,
Juninho devait assurer devant les médias,
Mais dans son club c’est pas le panard. 
Après le plantage Silvinho, le revoilà,
Chasse le naturel, il revient au galop
Il recommence à sucer les micros

« C’est pas normal, je veux jouer jeudi en coupe »
 Oui-ouin, ce sera mercredi, tais-toi et bas ta coulpe. 

En invoquant sans sourciller, le fair play financier,
Il appelle la DNCG pour nous sortir du podium.
Or de nos habitudes de sombrer sans guerroyer
Il oublie que les supporters d’ailleurs et d’opiOM
Lui crie haut et fort, « on va tout casser chez toi »
Du bord de la Saône, il aura beau nous faire un doigt
La trique de l’OM que l’on croyait à jamais perdue
Au final, c’est bien Oui-ouin qui l’aura dans le cul