01-09-2012, 10:47
Il y a pire que la peur de la page blanche, c'est la peur du topic blanc. Au moins avec une page blanche, on peut faire un avion ou allumer un barbecue. C'est déjà assez dur de trouver un truc à dire, mais c'est encore plus dur de broder autour pour présenter un match.
Pourtant les thèmes ne manquent pas en ce moment.
Nous pourrions parler de la fin du mercato, de l'influence de twitter sur le mercato, de l'arrivée de Barton, du départ de Sabo, de l'aller-retour en avion privé Marseille-Londres pour Barton et M'bia payé par Skysport, de la ressemblance flagrante du directeur sportif avec Vic Mackay, équipe de choc à l'appui, de l'éphémère première place au classement, du maillot third, de la nécessité d'avoir de l'orange dans les couleurs du club, des résultats de la réserve, des concurrents qu'on rencontre dimanche après dimanche, de Paris qui fait signer Van Der Wiel, de Van Der Wiel qui chante moins bien que Capedevielle, de Rennes, d'Antonetti, qui comme tout corse qui se respecte, se respecte, de la niouze RMC qui nous raconte qu'Ibra a tout raté, du compte twitter de Bernard Pivot, d'Andrade qui attend toujours son prince charmant, tel un laidron abandonné qui se voit offrir sa première danse vers 5 heures du mat par un mec qui hésitera entre l'embrasser ou lui vomir dans le cou.
On pourrait parler un peu des jeux paralympiques, et faire le rapprochement entre le cécifoot et Tiraspol, mais ça nous ramènerait forcément sur le niveau de jeu de l'OM en ce début de saison et la présumée force des adversaire que l'on a rencontré.
On pourrait faire 3 pages en comparant Deschamps et Baup, argumentant qu'un porte le chapeau quand l'autre préfère la casquette.
On pourrait, mais on fait pas. Non, on réfléchit à un truc à dire pour présenter un match que seuls les abonnés à rojadirecta pourront voir. Alors on se dit qu'on va faire une analyse approfondie sur l'apport du 4-2-3-1 par rapport au 4-1-3-2, mais ça nous occuperait tout juste le temps d'un tweet de 140 lignes.
Le mieux c'est encore de rien dire quand c'est comme ça !
Pourtant les thèmes ne manquent pas en ce moment.
Nous pourrions parler de la fin du mercato, de l'influence de twitter sur le mercato, de l'arrivée de Barton, du départ de Sabo, de l'aller-retour en avion privé Marseille-Londres pour Barton et M'bia payé par Skysport, de la ressemblance flagrante du directeur sportif avec Vic Mackay, équipe de choc à l'appui, de l'éphémère première place au classement, du maillot third, de la nécessité d'avoir de l'orange dans les couleurs du club, des résultats de la réserve, des concurrents qu'on rencontre dimanche après dimanche, de Paris qui fait signer Van Der Wiel, de Van Der Wiel qui chante moins bien que Capedevielle, de Rennes, d'Antonetti, qui comme tout corse qui se respecte, se respecte, de la niouze RMC qui nous raconte qu'Ibra a tout raté, du compte twitter de Bernard Pivot, d'Andrade qui attend toujours son prince charmant, tel un laidron abandonné qui se voit offrir sa première danse vers 5 heures du mat par un mec qui hésitera entre l'embrasser ou lui vomir dans le cou.
On pourrait parler un peu des jeux paralympiques, et faire le rapprochement entre le cécifoot et Tiraspol, mais ça nous ramènerait forcément sur le niveau de jeu de l'OM en ce début de saison et la présumée force des adversaire que l'on a rencontré.
On pourrait faire 3 pages en comparant Deschamps et Baup, argumentant qu'un porte le chapeau quand l'autre préfère la casquette.
On pourrait, mais on fait pas. Non, on réfléchit à un truc à dire pour présenter un match que seuls les abonnés à rojadirecta pourront voir. Alors on se dit qu'on va faire une analyse approfondie sur l'apport du 4-2-3-1 par rapport au 4-1-3-2, mais ça nous occuperait tout juste le temps d'un tweet de 140 lignes.
Le mieux c'est encore de rien dire quand c'est comme ça !
Il ne manque plus que notre Barton, anti-lope par nature...
merci El chi 
Mais, je pense un peu comme lui : ce n'est pas un match facile. Il faut cependant négocier ce premier mini-tournant correctement et assurer une 4ème victoire, peu importe la manière.