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Version complète : Milan - Barça
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Citation :7 minutes de jeu.
Gilardi a déjà prononcé 5 fois Olympique Lyonnais.

C'est vrai, il s'est calmé après. (Nos amis lyonnais seront représentés ce soir car Ludovic Giuly est natif de Lyon.) En fait il fait du commentaire TF1...

Et après, il a pas arrêter de dire: "Ronaldinhoooooo !!!

et les prises d'élan sur les coups-francs sont "junhinesque"

"et c'est un natif de lyon qui a marqué le but ici à San Siro" @Gilardi

Giuly, le natif de Lyon qui a marqué (quel cono ce gilardi, mange boules qu'on l'appele...)

Comme je vous comprend, sur le coup j'ai eu peur que personne ne relève, mais c'était trop évident!!Blush
La dernière phrase surtout juste quand le générique commence :
"Et l'on vous rappelle que ce soir c'est le natif de Lyon, Ludovic Giuly qui a marqué le but de la victoire pour Barcelone, ici à San Siro"...:hum:

Franchement t'as pas autre chose à dire?Sly
Chè pompe chibre!Ok
hansolo26 a écrit :Ce soir victoire du Milan :happy2:


Cray
Bien sur, c' est pénible toutes ces répétitions.

C' est aussi le rappel d' une défaite et l' expression d' une frustration chez certains.
On peut éprouver une certaine jubilation, une sorte de plaisir pervers et peu consensuel, mais bien présent .
[Image: degaulle.gif] .. bataille nanani pas la guerre. Ranting

suis très deçu evidemment, match très moyen avec une 2e mi temps où milan etait en dessous de tout.

déçu de la compo derrière, puisque visiblement ancelotti a considéré que Maldini et Cafu n'avaient pas 90 minutes dans les pattes. sans cafu, c'est toute l'equipe qui joue 20 mètres plus bas.

sur la 1ere, milan dicte plutot sa loi, maitrise completement tactiquement, peut mener logiquement 2-0.. d'habitude on sait tuer ce genre de grand rendez vous, suffit d'une occasion pour faire parler le réalisme et enterrer l'adversaire. j'aime beaucoup gilardino (qui n'a que 23ans) mais sur le match d'hier pippo inzaghi a cruellement manqué. le poteau sortant, puis la reprise du bout du pied sur la passe de Kaka, c'est le genre de but à l'arrache qu'il aurait mis à tout les coups. la petite différence entre les très bons attaquants et le vrai tueur qu'est inzaghi, qui liquide le match à lui tout seul.




après, c'est le but de barça, sur sa 1ere occasion, après 3 occases franches milanaises, coup de massue. sur la fin, à part ambro qui bouffe la feuille de match comme tu dis paddy, j'ai vu que du jaune fluo. belle conservation du ballon, barcelone qui continue à jouer haut et redoubler les passes, milan la tête sous l'eau. coup de bol c'est en 2 manches, nous reste une vie.
himself a écrit :--Pirlo lui, est en dessous, ça c'est clair.

'tain je pensais pas que ça se verrait à ce point hier, d'ailleurs ce fut le 1er à retourner sur le banc très tot sur le match, limite punition. aphone.

himself a écrit :Kaladze, arrière gauche reconverti, a cassé la baraque dans l'axe ces derniers mois. pourtant, je suis loin d'etre un fan. capable du meilleur (implacable dans les duels, souvent décisif dans la surface adverse, cf son but contre l'Inter ce week end) mais aussi des pires souplesses dans les marquage.. jamais été convaincu perso, c'est pas dans la tradition des grands défenseurs centraux du Milan.


quand giuly fait l'appel dans le dos de nesta j'te raconte pas le marquage.. :fou: qu'est ce qu'il branlait, 150 ans pour démarrer, giuly aurait eu le temps de faire 3 jongles avant de reprendre, kaladze etait encore dans les starts.
0/1 c'est peu flatteur mais les buts n'étaient pas loin...2 poteaux pour le Barça la qualif' aurait pu être assurée dès hier soir...
Le match retour sera à n'en pas douter meilleur...et sur tf1 avec l'esprit de guignol (né à Lyon) les sponsors quenelles ... de Lyon les coups francs juninesque, les tacles diarresques, les fautes kalounesque, et le coaching un peu à la Houllier, et puis c'est vrai que de la porta le président du Barça il ressemble tellement à Pierre Mondy...

Gilardi me rappele le commentateur de pes5 "il doit être déçu de pas avoir marqué"...
codaing a écrit :0/1 c'est peu flatteur mais les buts n'étaient pas loin...2 poteaux pour le Barça la qualif' aurait pu être assurée dès hier soir...
Le match retour sera à n'en pas douter meilleur...et sur tf1 avec l'esprit de guignol (né à Lyon) les sponsors quenelles ... de Lyon les coups francs juninesque, les tacles diarresques, les fautes kalounesque, et le coaching un peu à la Houllier, et puis c'est vrai que de la porta le président du Barça il ressemble tellement à Pierre Mondy...

Gilardi me rappele le commentateur de pes5 "il doit être déçu de pas avoir marqué"...

Les tacles diarrhéiques oui!!Prop
himself a écrit :'tain je pensais pas que ça se verrait à ce point hier, d'ailleurs ce fut le 1er à retourner sur le banc très tot sur le match, limite punition. aphone.




quand giuly fait l'appel dans le dos de nesta j'te raconte pas le marquage.. :fou: qu'est ce qu'il branlait, 150 ans pour démarrer, giuly aurait eu le temps de faire 3 jongles avant de reprendre, kaladze etait encore dans les starts.

C'est vrai ça on le voit bien sur le ralenti...y s'est fait bouffer au sprint...faut dire ce Giuly il a des accélérations riberesques!!Crylol
Nanalyse toute simple du match du Barça : il faut savoir déja que, quand Barcelone joue un match aller à l'extérieur, ils n'ont qu'un seul et unique objectif, c'est marquer au moins un but.

En réalité ils s'en tapent de faire 1-1 ou de perdre par un but d'écart, ils savent que tout se jouera au retour, et ils ne cherchent jamais le 0-0, donc faire nul 1-1 ou plus, voire perdre par un but d'écart ne les dérange pas il me semble.

Ils ont clairement laissé venir en première mi-temps, sachant pertinnement qu'ils auraient la faculté de confisquer le ballon en seconde période, puisque Milan allait tenter un jeu plus direct pour soit prendre l'avantage, soit le creuser. Et une fois que le Barça met le pied sur le ballon, je dirais pas que le match est plié d'avance mais presque.

Personnellement, toujours sans esprit partisan, j'ai senti le Barça, à part dans le dernier quart d'heure de la première période, maîtriser son match sur le plan tactique et jouant à sa main, amenant le Milan à jouer de la manière dont eux voulainet qu'ils jouent.

Rijkaard est un maître tacticien, il sait toujours exactement où il veut en venir quand il met son équipe en place, à l'heure actuelle c'est un es tous meilleurs stratèges en Europe, c'est incontestable.

Sinon, Ronaldinho est un vrai artiste, un coup de patte et hop, le match est plié, sans occulter la belle reprise du gauche de Giuly qui ne se pose pas de questions et qui réussit parfaitement son geste, merci Dida de ne pas avoir couvert le premier poteau et efrmé l'angle... Whistling

La dernière demi-heure fut une démonstration collective, privation de ballon un peu comme Lyon contre le Péseugué dimanche soir, à un autre degré.

Plus le temps passe, plus la tactique de Rijkaard est atypique, il devient difficile de distinguer qui joue à quel poste, Gio tantôt latéral ou milieu, Iniesta est partout sur le terrain, Puyol intronisé ombre de Sheva, etc.

Ce Barça est un véritable bijou de maîtrise, d'intelligence tactique, de sang froid, et de talent. On mélange le tout, et on obtient l'équipe la plus séduisante de ces dix dernières années au niveau européen. Conjuguer ainsi vista, technique, solidité défensive, conservation de balle et réalisme, c'est du quasi jamais vu à un tel niveau, seules les équipes estampillées Cruyff (Ajax 74 et Barça 92-95) avaient réussi un tel amalgame, mais rarement à un tel point.
Ben voila, je pense tout comme Wiss, mais il le dit si bien que je vais pas le repeter....Rock
[Image: fcbacm2.jpg]

Équipes probables :
FC Barcelone: Valdés; Belletti, Puyol, Márquez, Van Bronckhorst, Edmilson, Iniesta, Deco, Giuly, Ronaldinho et Eto'o.
AC Milan: Dida; Cafú, Nesta, Kaladze, Serginho; Gattuso, Pirlo, Seedord; Kaká; Shevchenko et Inzaghi.
Arbitre: Markus Merk (Allemagne).

http://www.fcbarcelonaclan.com/news,rona...,3261.html



[Image: c1.png]Ronaldinho, c'est ton soir!La victoire, si elle arrive, sera l'oeuvre de toute l'équipe. Mais s'il y en a un qu'il sait gagner ce type de match, c'est Ronnie...

Tous les yeux du monde du football seront rivés cette nuit sur le Camp Nou. Pour beaucoup ce ne sera pas le match du siècle, mais pour le FC Barcelone si, parcequ'il se joue le fait d'être ou de ne pas être dans sa cinquième finale de Coupe d'Europe, assurément la compétition la plus prestigieuse du Vieux Continent.
Un Barça-Milan est un des meilleurs duels dont on peut être témoin de nos jours, par l'histoire des deux clubs, par les joueurs qu'il y aura sur le terrain de jeu et pour l'enjeu représenté par ce match : être à Paris le 17 mai. Le Barça a toutpen sa faveur. Il joue à la maison, devant son public qui l'encouragera jusqu'à l'exténuation, il commence avec l'avantage d'avoir gagné 0-1 à l'aller à San Siro et, compte dans ses rangs l'indiscutable meilleur joueur du monde : Ronaldinho.
[Image: foto_155091_CAS.jpg]Ronaldinho peut montrer ce soir qu'il est le meilleur joueur du monde
L'astre de Porto Alegre, qui dépasse déja David Beckham en revenus (salaire plus contrats publicitaires), est toujours l'arme secrète, le facteur incontrôlé, parce que s'il veut, si c'est sa nuit -bien qu'il lui suffise simplement d'un moment, d'un instant- il n'existe pas de tactique collective ni de marquage à l'homme qui puisse l'arrêter. Comme cela est arrivé à Milan la semaine passée, où il a sorti de sa manche une passe orgueilleuse en profondeur que Giuly a transformé en but et tout le travail dessiné dans l'ardoise par Ancelotti a été anéanti à cause de la créativité infinie de Ronaldinho. Après, au contrecoup, le poteau a évité le deuxième but et que l'éliminatoire semble définitivement jugé en Italie.
Ces coups de classe, de talent, ne sont pas la fleur d'un jour. Ce sont des coups communs dans le 'livre de style' de Ronnie.
Préparé pour un autre récital
Il est clair que Ronaldinho seul ne pourrait pas avoir gagné tous les matchs du Barça, mais il y en a eu quelques-uns pour lesquels oui, sa magie a été déterminante pour le triomphe de l'équipe. La grande vertu de Ronnie est que sa magie augmente dans ce type de rencontres. Quand il y a le plus d'enjeu, quand il y a autant de nerfs et d'adrénaline courant dans les veines, il se prépare mieux. Il l'a démontré dans les trois saisons qu'il a joué à Barcelone, mais c'est quelque chose qu'il faisait déjà en temps voulu quand il jouait au Gremio de Porto Alegre, au Paris Saint Germain ou en sélection brésilienne. Depuis très jeune il a su transformer la pression en résultat, la responsabilité en spectacle.
Les matchs qu'il a disputés devant le Reial Madrid ou Chelsea sont encore dans notre esprit. Comme le dit le défenseur central et capitaine de l'équipe londonienne, Terry, "Ronaldinho, quand il est bien, on ne peut l'arrêter que par des coups". Parfois, cela ne suffit même pas. Le Barça a un grand rendez-vous cette nuit. Et le meilleur du monde s'habille d'azulgrana.
Source : Sport.es




[Image: c1.png]Vers la 5ème finale !Berne, Seville, Londres, Athènes et ... Paris ? C'est le souhait des supporters et d'une équipe qui a le plus 'faim de titres'.

Le Barça s'est mis en tête de continuer à battre des records et l'objectif d'arriver à la cinquième finale dans la compétition maximale continentale a été fixé. L'équipe passe par un excellent moment de forme et de résultats et veut en profiter pour continuer à écrire des pages historiques, de façon consécutive. Si la saison passée la Liga est tombée, on peut déja compter cette année la Supercoupe d'Espagne et la revalidation du titre d'ici les prochains matchs. La Champion's serait donc la cerise sur le gateau pour une saison qui s'écrirait en lettres d'or dans les résumés de l'entité.
Rattraper le déficit
Depuis qu'il arracha la Coupe d'Europe en 1955 (la compétition a changé de nom en 1992 et est devenu la ligue des champions), le FC Barcelone a pu passer quatre finales et seule une de celles ci a eu une couleur blaugrana. Cela fait donc pour le moment 1-3. Arriver à la finale du 17 mai prochain, et la gagner, signifierait équilibrer la balance des derniers rendez-vous. L'objectif, est donc de pouvoir remonter à 2-3 dans le compteur personnel de l'équipe catalane dans le palmarès des finales de la Coupe d'Europe. [Image: foto_155081_CAS.jpg]
La première occasion a été une mauvaise expérience. Le Barça, bien que tenant une superbe équipe et luttant de toutes ses forces, n'a pas pu réussir à cause du facteur malchance. Toute la presse internationale a reconnu que la Coupe aurait dû voyager à Barcelone, mais l'a fait à Lisbonne. Le Benfica fut le grand bénéficiaire de cette dramatique finale pour les intérêts du club catalan.
Vingt-cinq ans après, le rattrapage à Séville. Tout laissait penser au triomphe du Barça devant une équipe, le Steaua, qui avait très peu de poids dans le football européen. Mais une fois encore la malchance, maintenant dans les tirs au buts, ont privé l'équipe de la gloire européenne.
En 1992, le Barça a enfin réglé son compte avec la compétition. L'histoire, connue de tout le monde, est de celles qui jamais ne s'effaceront de la rétine de ceux qui ont eu l'occasion de la vivre ou de la suivre sur le petit écran.
Deux ans après, en 1994, trois jours après avoir fêté une Liga gagnée avec le style "Hitchcock" (remontée contre le FC Séville au Camp Nou et match nul du Depor face à Valence au Riazor avec un penalty manqué à la dernière minute par l'équipe locale), le Barça a été balayé sans palliatifs par un Milan qui, comme l'a dit Johan Cruyff, "jouait à 200%"
1961: La malchance s'est liée aux Catalans
Tout le monde a reconnu que l'équipe d'Orizaola méritait plus de lever la Coupe d'Europe que celle de Gutmann, mais l'infortune (quatre ballons ont touché les poteaux du portier portugais) s'est liée avec les Catalans, qui ont joué avec Ramallets, Foncho, Gensana, Gràcia, Vergés, Garay, Kubala, Kocsis, Evaristo, Suárez et Czibor.
Kocsis a marqué le 0-1(m. 20), Aguas a égalisé(m. 30), Ramallets s'est marqué un but contre son camp(m. 31), Coluna a mis le 3-1 (min. 55) et enfin Czibor (m. 75) a fermé le compteur (3-2).
1986: Le but n'a pas voulu venir, même aux penalties
La deuxième finale disputée par l'équipe catalane a aussi été propice. Le Barça, dirigé alors par Terry Venables, est venu au Ramón Sánchez Pizjuán avec la conviction de s'enlever l'épine de l'année 1961, mais il n'en a pas été ainsi. Le temps réglementaire s'est fini par un match nul à 0-0, de même à la prolongation. Finalement, les penalties (2-0 pour le Steaua) ont donné le triomphe aux Roumains. Urruti, Gerardo, Migueli, Julio Alberto, Víctor, Alexanko, Carrasco, Schuster (Moratalla 85'), Pedraza, Archibald (Pichi 110') et Marcos ont joué.
1992: Koeman a soldé une dette historique
C'était la minute 21 de la prolongation quand une faute d'Invernizzi hors de la surface, qui en plus de renverser Eusebio a retenu le ballon, a été sanctionnée par l'arbitre Allemand Aron Schmidhuber. La position était idéale pour qu'un spécialiste comme Koeman frappe. Ainsi il l'a fait. Stoichkov a dévié le ballon pour Bakero, qui a arrêté le ballon avec la semelle. C'est alors qu'est apparue la frappe du droit gagnante du Hollandais, qui a incrusté le ballon au fond du filet de Pagliuca. Ç'a été le délire. À Londres, à Barcelone et en n'importe quel endroit où le sentiment barcelonista vivait. Les héros de cette nuit du 20 mai 1992 ont été Zubizarreta, Nando, Ferrer, Koeman, Juan Carlos, Bakero, Salinas (Goikoetxea 65'), Stoichkov, Laudrup, Guardiola (Alexanko 112') et Eusebio. Sur le banc son restés sans pouvoir intervenir Busquets, Nadal et Begiristain. Le Barça, après 31 longues années, avait soldé une dette historique avec la Coupe de l'Europe.
1994: Dure punition pour la Dream Team
Le train de la dream team qu'avait armé Cruyff s'est arrêté à Athènes. Là, à cette station, sont descendus plusieurs composants de cette équipe qui avait enchaîné quatre Liga consécutives (record dans l'histoire du club) et avait donné la première Coupe d'Europe à l'entité. Ce fut une finale très dure pour les champions, qui ont reçu toute une correction de la part de Milan. Zubizarreta, Ferrer, Guardiola, Koeman, Nadal, Bakero, Sergi (Quique 72'), Stoichkov, Amor, Romario et Txiki (Eusebio 45') ont participé.
Source : Sport.es
Ronaldinho allez il y a du Ribery en toi!!
Vous auriez tort de penser que le Barça est déja qualifié. Si Nesta est au top de sa forme, nul ne passera Diablo

Milan ! Milan Solo Conte ! :echarpe-o
Milan Merci pour Lyon mais maintenant on reprend les bonnes habitudes...

Milan!! Milan!! va fan culo!! :)
Dav_ a écrit :Vous auriez tort de penser que le Barça est déja qualifié. Si Nesta est au top de sa forme, nul ne passera Diablo

Milan ! Milan Solo Conte ! :echarpe-o
sauf Castor et Eto'o, naturellement Whistling
Dav_ a écrit :Vous auriez tort de penser que le Barça est déja qualifié. Si Nesta est au top de sa forme, nul ne passera Diablo

Milan ! Milan Solo Conte ! :echarpe-o
tiens donc ... Intox ? Sleeping
sports.fr a écrit :Milan: Nesta forfait à Barcelone

Coup dur pour le Milan AC. A moins d'un renversement de situation de dernière minute, Alessandro Nesta, le défenseur du Milan AC, est forfait pour la demi-finale retour de la Ligue des Champions contre Barcelone, ce mercredi soir au Camp Nou. Carlo Ancelotti devrait titulariser en défense centrale Alessandro Costacurta, aux côtés du Géorgien Kakha Kaladze. Paolo Maldini restera quant à lui sur le banc de touche.
Johnny Rothen a écrit :sauf Castor et Eto'o, naturellement Whistling

Ouais, ils se seront déja fait casser par Gennaro Crylol

[Image: gattuso.jpg]
LadyKillers a écrit :tiens donc ... Intox ? Sleeping

Il etait touché aux adducteurs mais il devait jouer normalement. On verra bien. Bye2
Dav_ a écrit :Ouais, ils se seront déja fait casser par Gennaro Crylol

[Image: gattuso.jpg]

:nono1:, vont trop vite, beaucoup trop vite ...
Gennaro il a pas besoin d'aller vite, quand il tacle, il chope toujours quelque chose, tibia, cuisse, voir plus haut Shades
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