opiOM.net

boeuf mode a écrit : comme tu le sens...

Encore une réponse qui entrera dans les annales....

boeuf mode a écrit : comme tu le sens...

:mf_dribbl

Un suppo et au lit...
C'est ce qu'a subit le voyageur du Paris-Lyon ? :D

cetace a écrit :Un suppo et au lit...
C'est ce qu'a subit le voyageur du Paris-Lyon ? :D

un suppot......de satan.......eh oh, c'est pas à Diouf que tu parles là.

Le voyageur de Paris Lyon, il se les caille en ce moment


A la tienne quand même

cetace a écrit :Un suppo et au lit...
C'est ce qu'a subit le voyageur du Paris-Lyon ? :D

KOKOPELLI a écrit :Le voyageur de Paris Lyon, il se les caille en ce moment

Les tropiques ça rend fragile aux brusques changements de température, on le maintien au chaud sous atmosphère contôlée pour éviter tout .
:Beep

eagle 2 a écrit :Les tropiques ça rend fragile aux brusques changements de température, on le maintien au chaud sous atmosphère contôlée pour éviter tout .
:Beep

Heureusement qu'à Lyon nous sommes dans une période où le chauffage est allumé depuis déjà 15 bons jours...:Pixie

cetace a écrit :Heureusement qu'à Lyon nous sommes dans une période où le chauffage est allumé depuis déjà 15 bons jours...:Pixie

En fait on ne l'arrête jamais....:vod:

Il a eu raison Monsieur BRUN de s'expatrier au Vieux Port

RAZIBUS a écrit :Il a eu raison Monsieur BRUN de s'expatrier au Vieux Port

A qui le dis-tu...
Mais bon le froid a ses bons côtés, notamment en football ça force les joueurs à courir un peu pour se réchauffer et au final les résultats sont là...:mf_dribbl

eagle 2 a écrit :A qui le dis-tu...
Mais bon le froid a ses bons côtés, notamment en football ça force les joueurs à courir un peu pour se réchauffer et au final les résultats sont là...:mf_dribbl

Tu te rappelles pas un certain ASSE OM l'an dernier

Sacrée soirée, on a eu le droit en direct au fameux Air Ball de Nakata

Pour en revenir au titre du topic, revenons en vers de Verlaine - ca dit tout:



Chanson d'automne



Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon cour
D'une langueur
Monotone.

Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure, Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.

rpavarotti a écrit :quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure,
Feuille morte.

C'est pas quand sonne l'heure.....pour nous c'est tous les jours