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Version complète : Semaine cruciale pour Silvio!!
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Je voulais juste savoir s'il était possible que les transalpins opiacés comme Lorenzin', Mouss13 ou Dav par exemple, nous racontent comment sont vécues ces élections in italia??
D'éventuels liens ou autres anecdotes cathodiques sont les bienvenues si le coeur et le temps vous en dit! Je suivrais bien le débat de ce soir mais la rai ne sous-titre pas encore ses programmes...
Bref Prodi or not Prodi??Yepyep
Lorenzin' est aussi italien que mon chorizo vient d'Espagne...:langue:
Monsieur Pétugue a écrit :Lorenzin' est aussi italien que mon chorizo vient d'Espagne...:langue:
Et puis Dav_ le seul truc qu'il connait en italien c'est. Mangaro Spaghetti Tutti quanti... Et en plus çà veut rien dire du tout. CAAO8XFQ
Caligula a écrit :Et puis Dav_ le seul truc qu'il connait en italien c'est. Mangaro Spaghetti Tutti quanti... Et en plus çà veut rien dire du tout. CAAO8XFQ


:Pixie
Bon bé puisque Pétugue ne travaille qu'à la pige....


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Silvio Berlusconi et Romano Prodi
Silvio Berlusconi et Romano Prodi se sont affrontés lundi pour leur second et dernier duel télévisé, autour des impôts

Le chef du gouvernement Silvio Berlusconi, qui avait perdu son premier duel avec son rival le 14 mars, avait décidé d'être offensif pour cettre confrontation.

A six jours des législatives des 9 et 10 avril, chacun a tenté de convaincre les indécis (23% selon derniers sondages), en particulier sur les sujets économiques.
Attaqué sur sa politique fiscale, le leader du centre-gauche Romano Prodi, efficace dans ses répliques et clair dans son argumentation, a voulu rassurer les Italiens.

Il a dominé son rival mais le débat a été marqué dans les dernières secondes par un coup de théâtre de Silvio Berlusconi, qui a promis aux Italiens de supprimer la taxe foncière communale sur les nouvelles constructions.

Jusque là, M.Berlusconi a espéré tirer avantage des dissensions qui sont apparues dans l'opposition au sujet de son programme fiscal et qui ont mis en difficulté son rival Romano Prodi lors de leur premier duel télévisé.

Romano Prodi qui dirige une coalition hétéroclite rassemblant des catholiques centristes et des communistes était motivé pour essayer de détourner l'attention en instant sur la stagnation de l'économie.

Il comptait en cela sur de nouvelles statistiques publiées samedi faisant état d'une croissance plus faible et d'un déficit public plus élevé que prévu.

Sa coalition est d'ailleurs donnée gagnante par les derniers sondages rendus publics avec un avantage de 3% à 5%.

La campagne, très dure, a été marquée par les insultes et la vulgarité, chaque camp promettant l'apocalypse en cas de victoire de son adversaire.

[Image: vide.gif][Image: vide.gif][Image: vide.gif]Silvio Berlusconi promet une baisse d'impôts

par Crispian Balmer
ROME (Reuters) - A moins d'une semaine des élections législatives italiennes des 9 et 10 avril, Silvio Berlusconi s'est employé à ravir la vedette à Romano Prodi lors du débat télévisé de lundi soir, en promettant de supprimer la taxe d'habitation sur les résidences principales, s'il restait aux affaires.
"Il Cavaliere" a fait cette annonce vers la fin d'un débat souvent houleux, au cours duquel ont volé des insultes, chacun accusant l'autre de tromper les électeurs.
Aucun des deux ne semble avoir mis K.O son adversaire durant ce débat très strictement encadré. L'ancien président de la commission européenne, qui porte les couleurs de la gauche, a toutefois su esquiver avec calme et assurance les attaques cinglantes de Berlusconi.
Le président du Conseil, qui espère inverser la vapeur et devenir le vainqueur surprise du prochain scrutin, a vigoureusement défendu son bilan et, brandissant une énième fois l'épouvantail communiste, a accusé son rival d'être le prête-nom d'extrémistes rouges qui, selon lui, veulent vider les poches des Italiens en relevant fortement les impôts.
Par contraste, Berlusconi a promis de supprimer la taxe d'habitation ICI que payent les Italiens sur leur résidence principale, et qui rapporte à l'Etat 2,3 milliards d'euros par an.
"Pour nous, la résidence principale est sacrée, comme la famille. Pour cette raison, nous avons décidé d'abolir l'ICI sur toutes les résidences principales. Comprenez-vous bien cela? C'est un geste courageux", a estimé le chef du gouvernement. Prodi, par la suite, s'est demandé comment le gouvernement ferait pour financer une mesure aussi coûteuse au moment où les déficits budgétaires s'aggravent.
"Peut-être compte-t-il imprimer du papier monnaie", a ironisé le chef de file du centre-gauche.
De manière générale, Prodi a accusé son rival d'avoir semé la ruine dans le système éducatif, d'avoir porté atteinte à l'image de l'Italie à l'étranger et d'avoir laissé courir les déficits.
Bien que soigneusement encadré pour éviter tout dérapage, le débat a par moments pris des allures très polémiques, Prodi estimant que Berlusconi se comportait comme "un ivrogne agrippé à un lampadaire", tandis que son adversaire voyait en lui un "idiot nécessaire".
PRODI ATTAQUE BERLUSCONI SUR LES DEFICITS PUBLICS
On considère que Berlusconi, qui d'ordinaire s'en sort très bien à la télévision lorsqu'il a toute latitude pour porter les coups, a perdu le premier débat, le 14 mars, gêné aux entournures par le cadre qui limite chaque réponse à deux minutes trente.
Lundi, il a régulièrement dépassé son temps de réponse et on a pu l'entendre grommeler hors champ pendant que Prodi s'exprimait. Mais à l'issue de cette confrontation d'une heure trente, les deux hommes semblent s'en être sortis l'un et l'autre avec les honneurs.
"L'ensemble était plus équilibré que lors du premier débat, que Berlusconi a nettement perdu. Cette fois-ci, je pense qu'il n'y a pas eu de vainqueur clair et net et je suis certain que les deux camps vont clamer victoire", a pronostiqué Lorenzo Codogno, économiste à la Bank of America.
Depuis le premier duel télévisé, Berlusconi s'est employé à reprendre l'initiative, par des attaques sans relâche contre la politique fiscale de Berlusconi, accusant son rival de gauche de projeter des hausses d'impôt qui vont miner les classes moyennes. C'est sur ce thème qu'il a attaqué Prodi lundi soir, en estimant que son programme financier manquait de crédibilité.
"Nous aurions pu faire davantage; peut-être aurions-nous pu mieux faire, mais l'Italie est une entreprise compliquée. Nous devons maintenant poursuivre notre travail; nous devons terminer le travail pour donner naissance à un Etat plus moderne, plus efficace, qui défendra nos droits, notre sécurité, notre liberté", a-t-il dit en conclusion du débat.
Berlusconi est à la traîne dans les sondages face au centre-gauche, cela depuis près de deux ans, et les derniers sondages en date rendus publics avant l'interdiction faite de les publier, voici dix jours, donnait à Prodi et à sa coalition une avance de 3,5 à 5 points sur la droite regroupée autour du président du Conseil.
Prodi a accusé de son côté Berlusconi de diviser l'Italie et de ne pas avoir bridé les déficits et la dette publique, qui ont augmenté en 2005. "Les dépenses publiques échappent à tout contrôle(...). C'est une véritable tragédie", a dit Prodi, seule personne à avoir battu Berlusconi lors d'élections législatives, quand il avait triomphé en 1996.
"L'Italie est divisée entre nous et eux, entre les riches et les pauvres, le Nord et le Sud, les jeunes et les vieux, les actifs et les chômeurs", a-t-il expliqué.
Et Prodi de conclure en ces termes : "Notre coalition propose un gouvernement uni, nous avons conclu un pacte; nous voulons donner confiance à ce pays, l'unifier pour livrer bataille afin d'amener l'Italie au niveau qu'elle mérite, pour lui rendre sa place d'acteur majeur dans les affaires du monde (...) Mais nous n'y parviendrons qu'avec la justice et l'harmonie sociale. Nous ne pouvons le faire dans un pays divisé. Nous disons donc à tous les Italiens: nous ne pouvons vivre bien que si d'autres Italiens vivent bien également.
© Reuters 2006.


[Image: blank.gif][Image: blank.gif][Image: blank.gif]Second débat télévisé entre Silvio Berlusconi et Romano Prodi, pour convaincre les indécis[Image: blank.gif]
Le président du Conseil italien Silvio Berlusconi et son adversaire Romano Prodi, candidat de la coalition de centre-gauche en tête dans les sondages, se retrouvent ce lundi soir pour un second duel télévisé avant les élections législatives des 9 et 10 avril, avec pour objectif de convaincre les nombreux électeurs encore indécis.
Ce second débat, comme celui du 14 mars qui avait été suivi par 16 millions d'Italiens, est diffusé par la première chaîne de la télévision publique italienne, RAI Uno. Il doit débuter vers 21h (19h gmt).
Mis en difficulté lors de la première rencontre, remporté "aux points" par Romano Prodi selon la presse, Silvio Berlusconi compte bien prendre sa revanche et tenter de convaincre les indécis, qui représentent autour de 20% selon les derniers sondages, accordant généralement une avance de cinq points à la coalition de centre-gauche.
Arrivé au pouvoir en 2001, Silvio Berlusconi avait promis entre autres durant sa campagne électorale de baisser les impôts et dynamiser l'économie. Mais sa popularité s'est effritée depuis, notamment en raison d'une croissance en panne et de décisions impopulaires comme son soutien à la guerre en Irak.
Il s'est en outre mis à dos les dirigeants du patronat italien, la Confindustria, en affirmant que certaines grandes entreprises voteraient à gauche pour se faire pardonner des "cadavres dans le placard"...
Lors du débat de lundi soir, Silvio Berlusconi devrait contre-attaquer sur le terrain de la fiscalité et accuser la coalition de centre-gauche de vouloir écraser les Italiens sous les taxes diverses.
Romano Prodi, ancien président de la Commission européenne et ex-chef du gouvernement italien, compte pour sa part se poser en rassembleur et, explique-t-il, lancer au pays un "message d'unité et de cohésion".
Les règles du débat, qui a lieu sans public dans les studios de la RAI, ont été fixées très précisément, avec un temps à respecter pour chaque question et l'interdiction de montrer la réaction de l'adversaire à l'écran pendant que l'autre candidat s'exprime, sans notes. Silvio Berlusconi, avant le premier débat, avait réclamé des conditions moins strictes qui, affirme-t-il, l'ont désavantagé.
Mais le chef du gouvernement se dit confiant. "Oui, je suis un caïman", prêt à dévorer tout cru ses adversaires, a-t-il lancé lors d'une récente réunion publique.
Il faisait là allusion au dernier film du cinéaste italien Nanni Moretti, qui dresse le portrait d'un riche empereur des médias cherchant à se faire élire pour échapper à la prison. Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait purement fortuite... AP


Quand Silvio Berlusconi craque --par Frances d'Emilio--
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ROME (AP) -- Homme le plus riche d'Italie, le président du Conseil italien Silvio Berlusconi aime à se comparer à ceux qui ont fait l'histoire, comme Winston Churchill, Napoléon ou Jésus-Christ. Mais, à l'approche des élections législatives du 9-10 avril, il semble de plus en plus nerveux.
Dans sa haine viscérale pour la gauche, le magnat de la presse italienne s'est comparé au légendaire Premier ministre britannique en affirmant: "Je combats le communisme comme Churchill a combattu le nazisme". Concentrant sa campagne sur ce que son gouvernement avait accompli en cinq ans, il a observé: "Seul Napoléon a fait mieux".
Après s'être mis en scène pendant des années comme une victime des médias et de la justice, il a récemment déclaré lors d'un dîner d'hommes d'affaires qu'il était "le Jésus-Christ" de la politique, patient et prêt à tous les sacrifices. Il aurait pu ajouter souffrant... Sa coalition conservatrice est devancée par un bloc de centre-gauche rassemblant jusqu'aux communistes. Et la perspective d'une défaite semble mettre dans tous ses états cet homme habitué à être le patron à la tête de son empire médiatique et industriel.
Le 12 mars, le "Cavaliere" a claqué la porte d'une émission de la chaîne publique italienne RAI, reprochant à la journaliste qui l'interviewait ses présumées opinions politiques de gauche.
Lors d'un forum d'industriels, Berlusconi, qui pourtant souffrait du dos, a bondi sur ses pieds pour s'en prendre verbalement à Diego Della Valle, patron du fabricant de chaussures de luxe Tod's. Les deux hommes, tous deux propriétaires d'un club de football, se sont querellés ces derniers mois sur les droits télévisés du championnat italien. Et ce alors que le patronat, son principal soutien lors des élections de 2001, se plaint que celui qui est l'un des siens l'ait abandonné.
Cette semaine, un journaliste britannique lui a demandé comment il se sentait, au vu des informations circulant dans la presse selon lesquelles il avait "un peu pété les plombs". Berlusconi a sauté sur la question pour attribuer la responsabilité de sa mauvaise image à la gauche, la comparant aux anciens communistes d'Europe de l'Est, "qui faisaient passer leur adversaire pour fou et le placer dans un asile". Un dépit hargneux qui contraste avec sa flamboyance d'antan.
"C'est un brillant démagogue", observe John Harper, professeur d'études européennes à l'Université Johns Hopkins de Bologne. "Mais cela ne marche plus. Il sait qu'il a des ennuis".
Depuis son arrivée en politique en 1994 et la création de son parti, Forza Italia, Silvio Berlusconi a été poursuivi par les accusations de conflit d'intérêt et les ennuis judiciaires. Lors du premier débat télévisé contre son adversaire Romano Prodi, il a tenté de rassurer les téléspectateurs en affirmant que les affaires quotidiennes de son empire étaient gérées par ses enfants. Le second débat est prévu lundi soir.
Enregistrant un talk-show vendredi, il a fait savoir que s'il perdait les élections, il ne reprendrait pas les rênes de son empire. "J'ai un rêve caché, qui est de construire des hôpitaux dans le monde", a-t-il déclaré.
Quant à ses ennuis judiciaires, leur début a coïncidé, et pas par hasard, glisse-t-il, avec son entrée en politique. Ses adversaires répliquent que son gouvernement aura passé la majeure partie de son temps à préparer des lois destinées à le protéger des poursuites... Ces textes "l'ont discrédité", constate John Harper. "Ils ont pris beaucoup de temps et gaspillé du capital politique".
Berlusconi a subi un sérieux revers lorsque le parquet de Milan a réclamé son inculpation pour corruption. L'intéressé dément les faits qui lui sont reprochés. Les auditions pourraient débuter dès le mois de juin. AP


Un quart des Italiens encore indécis avant les législatives
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par Crispian Palmer

ROME (Reuters) - A un peu plus d'une semaine des élections législatives, près d'un quart des Italiens ne savent pas encore s'ils vont aller voter, et pour qui.
La participation à un scrutin majeur est traditionnellement élevée dans la péninsule. Avec un taux de 81%, elle se situait dans la fourchette basse lors de la précédente consultation de ce type en 2001.
Dans une campagne marquée par une bipolarisation croissante, droite et gauche cherchent moins à gagner à leur cause les indécis chroniques qu'à inciter leurs sympathisants traditionnels à ne pas négliger leur devoir électoral.
Pour ce faire, les candidats n'hésitent plus à avoir recours à une vieille ficelle politique: la perspective d'une apocalypse dans l'hypothèse d'une victoire de l'autre camp.
Il n'est pas surprenant que dans cet exercice, le Premier ministre sortant Silvio Berlusconi, donné battu dans les sondages, ait donné le ton en mettant en garde contre le retour du "communisme".
Chaque jour, il répète à satiété que le centre-gauche augmentera les impôts, que les communistes ont dans le passé mangé des nouveaux-nés, que les petits propriétaires seront ruinés si ses adversaires l'emportent.
Le chef du gouvernement se laisse aussi entraîner sur le terrain de l'immigration, en affirmant que "nous ne voulons pas d'une Italie multiethnique et multiculturelle".
"Aujourd'hui, nous vendons de la peur? C'est vrai, mais c'est parce que la gauche fait peur au peuple", assure-t-il.
"C'est triste à dire, mais en Italie, on ne vote pas pour quelque chose, mais contre quelqu'un", note un médecin très connu de Bologne, Aldo Martelli.
"Ce qui unit la gauche, c'est la haine de Berlusconi. Ce qui cimente la droite, c'est la haine du communisme", ajoute-t-il.
LA STRATEGIE DE LA TENSION
Dans ces conditions, le débat sur le fond s'est réduit à peu de choses. Le programme de la droite tient en dix points très brefs, dont huit commencent par "Nous continuerons à...". Quant à celui de la gauche, il est aussi long (281 pages) que pauvre en mesures concrètes.
Il est vrai que le corps électoral en Italie fait preuve d'une stabilité étonnante. "Très peu d'électeurs sont prêts, même une fois dans leur vie, à changer de camp", observe le politologue Andrea Vanucci.
Silvio Berlusconi est persuadé que sa stratégie de la tension sera payante. A ses yeux, une forte participation, à hauteur d'au moins 82%, lui permettrait de conserver, même de peu, la majorité.
Les experts sont sceptiques et ne voient aucun lien entre un taux élevé de votants et une victoire de la droite. Selon eux, les indécis ne sont pas nécessairement proches de Berlusconi.
"En fait, la majorité d'entre eux laissent entendre qu'ils penchent plutôt pour le centre-gauche", juge l'institut de sondage Abascus.
Selon une autre étude effectuée par l'institut TNS, les sympathisants de droite hésitent car ils sont déçus par les performances du gouvernement en matière économique.
Les indécis de gauche s'interrogent quant à eux sur la capacité de Romani Prodi, chef de file de l'opposition, à contrôler une fois au pouvoir une coalition hétéroclite allant des centristes catholiques aux communistes bon teint.
Pour d'autres, l'atmosphère empoisonnée du débat les a découragés de s'intéresser à la suite des évènements.
Un sondage publié cette semaine dans le quotidien Il Sole 24 Ore montre que dans ce pays pourtant passionné par la politique, 17,8% des Italiens ignorent la date du scrutin.
"La campagne a été horrible, avec ces gens qui ne cessent de se traiter les uns les autres d'imbéciles. Je ne sais toujours pas pour qui je vais voter. Peut-être vais-je simplement écrire quelques jurons sur mon bulletin de vote et le déposer ainsi dans l'urne", dit Arnaldo Zotti, un retraité de 68 ans.
Ben disons simplement que si nos (mes) cousins italiens sont aussi peu malins que nous, ils réélisent Berluscono pour l'empêcher d'aller en zonzon. CAAO8XFQ

Vu l'appareil médiatique dont dispose le doux Che Wicked ça ne fait pas de mal de voir certains trublions comme Moretti ou Benigni s'en prendre assez violemment à Silvio. Plus une bonne dose de Viva Zapatero...

En conclusion : espérons que Silvio gagne ce soir mais perde en le week-end prochain. Biggrin2
Le Doux Che:incline: en demi de la champion's...
Pis en tauuuuuuuuule aprés!!!!:lpouletda
Caligula a écrit :Et puis Dav_ le seul truc qu'il connait en italien c'est. Mangaro Spaghetti Tutti quanti... Et en plus çà veut rien dire du tout. CAAO8XFQ

Crylol

Je sais aussi dire "stamp di merda" et chanter la traviata, ne l'oublions pas non plus :ange:

Non mais j'espère vraiment que ce mafieux va jarter, je me demande comment un pays comme l'Italie a pu accepter ce type aussi longtemps. Raciste, incompétent, magouilleur, il est la risée du pays...
Cool
Dav_ a écrit :Non mais j'espère vraiment que ce mafieux va jarter, je me demande comment un pays comme l'Italie a pu accepter ce type aussi longtemps. Raciste, incompétent, magouilleur, il est la risée du pays...

Chacun son Chirac... pas de jaloux !
La comparaison est vraiment mal choisie Ermm
Dav_ a écrit :La comparaison est vraiment mal choisie Ermm

Je ne crois pas non... Entre "le bruit et l'odeur" et la gestion de la mairie de Paris, les preuves sont là. Doctor Après, que ça fasse encore Pschitt à tes yeux ou que ça te paraissse Abracadabrantesque... Shades
[SIZE="7"] f[COLOR="Black"]o[/COLOR]rz[COLOR="Red"]a M[/COLOR]ILAN [/SIZE]
Tongue sans eaux, cela va de soit...
avé l'accent carbonara Bye1


[Image: senzo.gif]
C'est vrai que je t'ai zappé dans ma liste de transalpins!! Scusi'!
D'un autre côté, j'ai appris depuis que c'étaient pas des vrais...Biggrin2
vi vi Happy parce que j'suis aussi transalpin que toi sarkoziste hein.. Beer
:lpouletda Et j'ai donc ma réponse...

Il faudrait donc que tu esspliques à mon nouveau pote d'obédiance panaméenne avec le pseudo d'un célébre joueur brésilien, que l'on peut suivre le Milan sans être nécessairement pro-Berluscono! Et juste amateur de ballon...Prop
Kr1Deg1 a écrit ::lpouletda Et j'ai donc ma réponse...

Il faudrait donc que tu esspliques à mon nouveau pote d'obédiance panaméenne avec le pseudo d'un célébre joueur brésilien, que l'on peut suivre le Milan sans être nécessairement pro-Berluscono! Et juste amateur de ballon...Prop
Et va falloir être bon !
Alors là, ya méprise! Je parlais de NilazihnouDu9.2!!:ange:
ah pardon, le problème avec les Bisounours, c'est leur égocentrisme...

Désolé
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