pour en revenir au sujet du topic : "le sens du monde appartient il à Dieu?" 
Le réchauffement climatique (si l'homme est coupable, encore faut il le prouver) appartient donc à Dieu : "DIEU AU RAPPORT!"
 
Hellborg a écrit :Pas toutes, seulement celles venant du proche-orient (et qui reprennent toutes les légendes sumériennes, mésopotamiennes,etc...)
L'épopée de Gilgamesh, une des premières uvres littéraires connues, dans laquelle on trouve beaucoup beaucoup de choses en commun avec de nombreux mythes et/ou religions forcément plus récentes.
 
 
papaver somniferum a écrit :L'épopée de Gilgamesh, une des premières uvres littéraires connues, dans laquelle on trouve beaucoup beaucoup de choses en commun avec de nombreux mythes et/ou religions forcément plus récentes.
Ou la mythologie égyptienne, qui présente de cocasses ressemblances avec les 3 grandes religions.
 
 
tous des escrocs

 
 
Et de cinq 

 
 
que nenni 

 
 
flute 

 
 
1° Oui
2° Non
3° Peut-être.
 
3 en philo.
 
Ca dépend de la grosseur de l'oeuvre.
 
allégeance
         
       Dans           les rues de la ville il y a mon amour. Peu           importe où il         va dans le temps divisé. Il n'est plus mon amour, chacun peut         lui parler. Il ne se souvient plus ; qui au juste l'aima ? 
       Il           cherche son pareil dans le voeu des regards. L'espace qu'il parcourt           est ma fidélité. Il dessine l'espoir et léger l'éconduit.         Il est prépondérant sans qu'il y prenne part. 
       Je           vis au fond de lui comme une épave heureuse. A son insu, ma         solitude est son trésor. Dans le grand méridien où s'inscrit         son essor, ma liberté le creuse. 
       Dans           les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il         va dans le temps divisé. Il n'est plus mon amour, chacun peut         lui parler. Il ne se souvient plus ; qui au juste l'aima et l'éclaire         de loin pour qu'il ne tombe pas ? 
       ---
       rené           char 
 
Évidemment je précise pour les nOObs que dans 
ce poème René Char de déclame pas bêtement son amour à une jeune fille, mais parle du sentiment qu'il éprouve en voyant son poème, ou son uvre, "prostitué" par le lecteur, pour répondre à la question de Fanfarlo. 
 
 
Arrête ton Char !...s'il n'était pas de ta terre d'adoption l'aimerais-tu ?
Ah les gensses ! 

 
 

Moi je trouve le Char bon, et en faisant détournements mineurs ou en passant du coke à ce que l'âne aime au maître on mesure que sous vent d'ange est ce qui ne sent pas mauvais, comme, entre tacites consentis, des cadavres exquis, des canaris en cage ou des rougets de l'Isle sur Sorgues
 
 
D'ailleurs, le jeu des références n'est point irrévérence, bien au contraire. Avec respect, pas piller s'il vous plaît, certains auteurs ascétiques comme vinaigre blanc, sont même devenus rois de la jongle pour montrer leur déférence !

 
 
Cela dépend de l'hauteur de vue. Précipice élevé...Le chef d'oeuvre donne le vertige et travaille aux dérèglements de tous les sens...peut-être ou pas (être).
Nous voilà bien avancé dans un sens.
Sinon L.F. Céline dit:
"Les grandes oeuvres  sont celles qui réveillent  notre génie."
...Sans bouillir. rajouterait Desproges
			  [url="http://www.evene.fr/celebre/biographie/louis-ferdinand-celine-333.php"]
[/url]
 
Chef d'uvre, mouais.
Moi, de toutes façons, partout ou y'a des chefs, tsssssssss...