Le Vélodrome n’a jamais été aussi calme. Trop calme.
On entre dans la soirée comme dans une scène de crime. Les projecteurs découpent la brume d’avant-match, les visages sont tendus, et dans les gradins, la ferveur semble suspendue, en attente d’un signe. Quelqu’un, quelque part, a volé la confiance de l’OM. Reste à savoir si ce soir, contre Brest, on la retrouvera… ou si elle reposera encore sous les décombres du doute.
Le commissaire De Zerbi, trench coat invisible et regard d’acier, a rassemblé ses hommes. Pavard, suspect principal de fragilité mentale, est sur la sellette. On l’a vu vaciller à Lisbonne, perdre le fil contre Bergame. Ce soir, il devra tenir la ligne, sous peine d’être rayé du dossier.
Devant, Greenwood et Vaz se préparent à l’interrogatoire : on leur demande des aveux de réalisme, pas des promesses en sursis. Et dans l’ombre, Gomes, le milieu-fantôme, doit redevenir le témoin clé capable de relier l’enquête du jeu au verdict du but.
Brest, lui, arrive sans alibi. Équipe aux faux airs tranquilles mais aux coups tordus connus : capable de s’enfermer à dix derrière, puis d’assassiner en contre. De Zerbi le sait — c’est souvent les affaires les plus ternes qui se terminent dans le sang froid d’un 0-1 malheureux.
Les premières minutes sont un interrogatoire musclé. Marseille fouille, Brest nie tout. Les minutes défilent, et les supporters sentent monter cette angoisse familière : l’affaire va-t-elle encore être classée sans suite ?
Puis, au détour d’un centre de Paixão, Greenwood surgit — témoin surprise — et balance la vérité en pleine lucarne. 1–0. La tribune explose, le commissaire De Zerbi referme son carnet d’un geste sec. Dossier classé, pour ce soir du moins.
Rulli sauvera l’ultime tir brestois à la 92e. La sirène retentit, le stade respire à nouveau.
Le crime du doute est élucidé.
Marseille peut rentrer au commissariat du sommet, avec la satisfaction glacée de ceux qui savent que la prochaine affaire commence déjà demain.
Les équipes probables :
OM : Rulli - Murillo, Pavard, Egan-Riley, Aguerd, Emerson - Vermeeren, Hojbjerg, Gomes - Greenwood, Vaz, Paixao
Brest : Majecki - Lala, Chardonnet, Coulibaly, Locko - Chotard, Tousart, Magnetti - Balde, Ajorque, Del Castillo
On entre dans la soirée comme dans une scène de crime. Les projecteurs découpent la brume d’avant-match, les visages sont tendus, et dans les gradins, la ferveur semble suspendue, en attente d’un signe. Quelqu’un, quelque part, a volé la confiance de l’OM. Reste à savoir si ce soir, contre Brest, on la retrouvera… ou si elle reposera encore sous les décombres du doute.
Le commissaire De Zerbi, trench coat invisible et regard d’acier, a rassemblé ses hommes. Pavard, suspect principal de fragilité mentale, est sur la sellette. On l’a vu vaciller à Lisbonne, perdre le fil contre Bergame. Ce soir, il devra tenir la ligne, sous peine d’être rayé du dossier.
Devant, Greenwood et Vaz se préparent à l’interrogatoire : on leur demande des aveux de réalisme, pas des promesses en sursis. Et dans l’ombre, Gomes, le milieu-fantôme, doit redevenir le témoin clé capable de relier l’enquête du jeu au verdict du but.
Brest, lui, arrive sans alibi. Équipe aux faux airs tranquilles mais aux coups tordus connus : capable de s’enfermer à dix derrière, puis d’assassiner en contre. De Zerbi le sait — c’est souvent les affaires les plus ternes qui se terminent dans le sang froid d’un 0-1 malheureux.
Les premières minutes sont un interrogatoire musclé. Marseille fouille, Brest nie tout. Les minutes défilent, et les supporters sentent monter cette angoisse familière : l’affaire va-t-elle encore être classée sans suite ?
Puis, au détour d’un centre de Paixão, Greenwood surgit — témoin surprise — et balance la vérité en pleine lucarne. 1–0. La tribune explose, le commissaire De Zerbi referme son carnet d’un geste sec. Dossier classé, pour ce soir du moins.
Rulli sauvera l’ultime tir brestois à la 92e. La sirène retentit, le stade respire à nouveau.
Le crime du doute est élucidé.
Marseille peut rentrer au commissariat du sommet, avec la satisfaction glacée de ceux qui savent que la prochaine affaire commence déjà demain.
Les équipes probables :
OM : Rulli - Murillo, Pavard, Egan-Riley, Aguerd, Emerson - Vermeeren, Hojbjerg, Gomes - Greenwood, Vaz, Paixao
Brest : Majecki - Lala, Chardonnet, Coulibaly, Locko - Chotard, Tousart, Magnetti - Balde, Ajorque, Del Castillo
Cette saison c'est pas la bonne, ou pas , je vous le dis