Aujourd’hui, 09:37
Rideau.
Mercredi, sur la scène lisboète, nos héros vêtus de bleu se sont pris les pieds dans le tapis vert. Le Sporting a sifflé la fin de la farce, et l’OM, penaud, a quitté la scène la tête basse. On a vu des visages fermés, des gestes avortés, des ballons filant comme des répliques mal dites. Le maestro De Zerbi, lui, a gardé le ton calme du metteur en scène qui sait qu’un mauvais acte ne fait pas une mauvaise pièce.
Car voici venu le temps du rebond, le deuxième acte, ce soir à Lens. Le théâtre de Bollaert, drapé de sang et d’or, attend nos comédiens marseillais pour une représentation sans tremblement. Plus question d’improvisation hasardeuse : il faut de la justesse, du rythme, et ce grain de folie méditerranéenne qui fait lever les foules et vibrer les gradins.
Le scénario est clair : on veut voir des passes cousues main, des accélérations qui claquent comme des tirades, et un final digne des plus belles soirées du Vieux-Port. La tragédie de Lisbonne doit devenir le tremplin d’une épopée. On ne joue plus la peur, mais la passion ; plus la retenue, mais le panache.
Les masques sont tombés : Vermeeren doit redevenir le fil conducteur, O’Riley l’écho inspiré, et Balerdi, ce soldat parfois maladroit, doit se muer en roc antique. L’orchestre des Olympiens doit retrouver son harmonie, et rappeler au PSG qu’à Marseille, la musique se joue fort et avec le cœur.
Alors ce soir, sous les projecteurs de Bollaert, que la Commedia s’écrive autrement :
que le drame de mercredi devienne farce,
que la farce devienne triomphe,
et que la victoire, enfin, retrouve son accent du Sud.
“Et si le rideau se lève à Lens, que ce soit pour applaudir les artistes.”
Allez l'OM et 3 points pis c'est tout ...
Mercredi, sur la scène lisboète, nos héros vêtus de bleu se sont pris les pieds dans le tapis vert. Le Sporting a sifflé la fin de la farce, et l’OM, penaud, a quitté la scène la tête basse. On a vu des visages fermés, des gestes avortés, des ballons filant comme des répliques mal dites. Le maestro De Zerbi, lui, a gardé le ton calme du metteur en scène qui sait qu’un mauvais acte ne fait pas une mauvaise pièce.
Car voici venu le temps du rebond, le deuxième acte, ce soir à Lens. Le théâtre de Bollaert, drapé de sang et d’or, attend nos comédiens marseillais pour une représentation sans tremblement. Plus question d’improvisation hasardeuse : il faut de la justesse, du rythme, et ce grain de folie méditerranéenne qui fait lever les foules et vibrer les gradins.
Le scénario est clair : on veut voir des passes cousues main, des accélérations qui claquent comme des tirades, et un final digne des plus belles soirées du Vieux-Port. La tragédie de Lisbonne doit devenir le tremplin d’une épopée. On ne joue plus la peur, mais la passion ; plus la retenue, mais le panache.
Les masques sont tombés : Vermeeren doit redevenir le fil conducteur, O’Riley l’écho inspiré, et Balerdi, ce soldat parfois maladroit, doit se muer en roc antique. L’orchestre des Olympiens doit retrouver son harmonie, et rappeler au PSG qu’à Marseille, la musique se joue fort et avec le cœur.
Alors ce soir, sous les projecteurs de Bollaert, que la Commedia s’écrive autrement :
que le drame de mercredi devienne farce,
que la farce devienne triomphe,
et que la victoire, enfin, retrouve son accent du Sud.
“Et si le rideau se lève à Lens, que ce soit pour applaudir les artistes.”
Allez l'OM et 3 points pis c'est tout ...
Cette saison c'est pas la bonne, ou pas , je vous le dis