26-09-2025, 14:42
Amis marseillais, on respire encore les effluves de la victoire contre Paris. Avouons-le : voir Marquinhos lever les yeux au ciel et le Vélodrome vibrer comme un volcan en fusion, ça avait un parfum de légende. On s’est dit : “Ça y est, l’OM est reparti pour écrire un nouveau chapitre.”
Mais attention. Le football, ce n’est pas Netflix : pas d’épisodes garantis happy end à la suite. Ce soir à la Meinau, c’est le fameux piège alsacien. Strasbourg, ce n’est plus l’équipe qu’on venait gifler pour se refaire la santé. Avec Rosenior sur le banc, ils ont troqué le choucroute-football pour du pressing moderne, des pistons qui cavalent et une Meinau où même les corbeaux ont du mal à repartir avec leurs ailes entières.
Alors oui, De Zerbi a remis du liant, Greenwood s’amuse sur un côté, Weah court partout comme s’il avait signé un contrat avec EDF, et Gouiri a décidé que son pied gauche servait à marquer plus qu’à décorer. Mais face à Strasbourg, il ne suffira pas d’être beaux : il faudra être constants. Parce que les Alsaciens n’ont perdu qu’une fois cette saison, et surtout… ils sentent le coup de prestige venir.
Un petit détail pimente encore plus l’histoire : les ultras du Racing ont décidé la grève des encouragements. Ambiance étrange : un stade de la Meinau sans ses chants, c’est comme une bière sans mousse. Mais méfiance : le silence peut parfois peser encore plus lourd que les décibels. Et si les Strasbourgeois se mettent à courir, ce n’est pas le public qui va les arrêter.
Bref, on a la confiance du Classico, mais on ne part pas en balade. Gagner ce soir, c’est transformer l’exploit en dynamique, et envoyer un message clair : l’OM ne se contente plus de taper Paris, l’OM veut tout rafler. Perdre, en revanche, et les doutes reviendront frapper à la porte plus vite qu’une alerte Mistral.
Alors messieurs, on a rigolé lundi, on a chanté, on a pleuré de joie. Ce soir, on serre la ceinture, on sort le bleu de chauffe, et on montre que battre Paris n’était pas un accident, mais une promesse.
Allez l’OM.
Equipes possibles :
RC Strasbourg : Penders - Högsberg, M. Sarr, Doukouré - Doué, Luis, Barco, Moreira - Lemaréchal - Emegha (cap), Panichelli.
OM : Rulli - Murillo, Balerdi (cap), Aguerd, Medina - Højbjerg, O'Riley - Greenwood, Gomes, Weah - Aubameyang.
Mais attention. Le football, ce n’est pas Netflix : pas d’épisodes garantis happy end à la suite. Ce soir à la Meinau, c’est le fameux piège alsacien. Strasbourg, ce n’est plus l’équipe qu’on venait gifler pour se refaire la santé. Avec Rosenior sur le banc, ils ont troqué le choucroute-football pour du pressing moderne, des pistons qui cavalent et une Meinau où même les corbeaux ont du mal à repartir avec leurs ailes entières.
Alors oui, De Zerbi a remis du liant, Greenwood s’amuse sur un côté, Weah court partout comme s’il avait signé un contrat avec EDF, et Gouiri a décidé que son pied gauche servait à marquer plus qu’à décorer. Mais face à Strasbourg, il ne suffira pas d’être beaux : il faudra être constants. Parce que les Alsaciens n’ont perdu qu’une fois cette saison, et surtout… ils sentent le coup de prestige venir.
Un petit détail pimente encore plus l’histoire : les ultras du Racing ont décidé la grève des encouragements. Ambiance étrange : un stade de la Meinau sans ses chants, c’est comme une bière sans mousse. Mais méfiance : le silence peut parfois peser encore plus lourd que les décibels. Et si les Strasbourgeois se mettent à courir, ce n’est pas le public qui va les arrêter.
Bref, on a la confiance du Classico, mais on ne part pas en balade. Gagner ce soir, c’est transformer l’exploit en dynamique, et envoyer un message clair : l’OM ne se contente plus de taper Paris, l’OM veut tout rafler. Perdre, en revanche, et les doutes reviendront frapper à la porte plus vite qu’une alerte Mistral.
Alors messieurs, on a rigolé lundi, on a chanté, on a pleuré de joie. Ce soir, on serre la ceinture, on sort le bleu de chauffe, et on montre que battre Paris n’était pas un accident, mais une promesse.
Allez l’OM.
Equipes possibles :
RC Strasbourg : Penders - Högsberg, M. Sarr, Doukouré - Doué, Luis, Barco, Moreira - Lemaréchal - Emegha (cap), Panichelli.
OM : Rulli - Murillo, Balerdi (cap), Aguerd, Medina - Højbjerg, O'Riley - Greenwood, Gomes, Weah - Aubameyang.
![[Image: opiom-restaurant-club-biarritz.jpeg]](https://opiomclub.com/wp-content/uploads/2023/07/opiom-restaurant-club-biarritz.jpeg)