07-07-2005, 11:35
Vi, bernal est excellentissime, punaise j'ai encore en mémoire son rôle dans la mauvaise éducation, un très bon almodovar d'ailleurs
huhu, son pote le toubib est réellement un déconneur et un baiseur proclamé, y'a de l'émotion dans ces carnets là, et j'ai d'autant plus apprécié le fait qu'on n'évoque que très peu l'idéal politique qui ne se dessine qu'à la fin du périple avec les trajectoires historiques qu'on connait depuis sur cette pépite qu'est cuba, mais tant que castro restera fidèle à lui même ben sont pas prêts de sortir de ce méandre...
vi le coup de la léproserie est touchant, même si c'est le moment du fillm qui m'a un peu laissé distant, trop de clichés et de pathos à mon sens, notamment quand il se frappe la traversée du fleuve le soir de son annif pour rejoindre la rive interdite et retrouver ses amis d'infortune, mais bon faut toujours que je cherche la petite bête et que je fasse mon casse-coroñes
Le coup qui m'a bien fait marrer est quand ils se retrouvent au pérou et que le jeune péruvien nestor lui explique la différence entre la pose de pierres des conquistadors espagnols et celle des incas dans la construction d'édifices, pinaise entre quechua et coca, ce film donne vraiment envie de filer au machu picchu
huhu, son pote le toubib est réellement un déconneur et un baiseur proclamé, y'a de l'émotion dans ces carnets là, et j'ai d'autant plus apprécié le fait qu'on n'évoque que très peu l'idéal politique qui ne se dessine qu'à la fin du périple avec les trajectoires historiques qu'on connait depuis sur cette pépite qu'est cuba, mais tant que castro restera fidèle à lui même ben sont pas prêts de sortir de ce méandre...
vi le coup de la léproserie est touchant, même si c'est le moment du fillm qui m'a un peu laissé distant, trop de clichés et de pathos à mon sens, notamment quand il se frappe la traversée du fleuve le soir de son annif pour rejoindre la rive interdite et retrouver ses amis d'infortune, mais bon faut toujours que je cherche la petite bête et que je fasse mon casse-coroñes
Le coup qui m'a bien fait marrer est quand ils se retrouvent au pérou et que le jeune péruvien nestor lui explique la différence entre la pose de pierres des conquistadors espagnols et celle des incas dans la construction d'édifices, pinaise entre quechua et coca, ce film donne vraiment envie de filer au machu picchu