28-06-2005, 00:03
Dav_ a écrit :
J'ai vu "Au nom du père" de Sheridan ce soir. Excellent film, vraiment émouvant. Merci à Clarky de m'avoir fait découvrir ce petit chef d'oeuvre.
voué, tu peux le dire, nan pas merci mais que c'est un chef d'oeuvre, et loin d'être en peril en plus celui-là, immense Sheridan et DD Lewis :incline:
Tiens moi je m'étais refait, avant mon périple sud ouest, Mélodie en sous-sol et l'armée des ombres, pinaise que c'est bon de revoir ce cinoche là :y: :paysan:
Sinon j'avais vu tout ça quand j'étais en forme et moins sujet à la canicule :vod:
Sin city démentiel :echarpe-o , c'est violent, 'ttention Paddy 3 destins croisés, une ambiance bd alliée à du noir et blanc, grande claque dans la gueule, je regrette pas de m'être installé dans un cinoche malgré le bordel ambiant dans la salle
un long dimanche de fiançailles malgré une photographie qui laisse transparaitre une certaine froideur de l'image, on se laisse vite prendre par cette histoire de 4 condamnés à mort pour mutilations volontaires lors de la grande guerre.
Quelques analogies avec amélie poulain dans la façon de conter l'histoire, mais l'ensemble reste un très bon moment de cinoche, j'adore la qualité du détail chez jeunet, notamment dans les plus anodins genre le laguiole de dupontel quand il bouffe, c'est des petits trucs comme ça qui font qu'on y croit
36 quai des orfèvres excellent polar, je ne me suis pas emmerdé une minute, antagonisme des personnages, rancoeur, rancunes, vengeance, bref toute la panoplie de l'homo sapiens qui cherche à se fighter
auteuil une fois de plus impeccable :y:
le secret des poignards volants je me suis fait avoir, je pensais que ça allait me gaver très vite et c'est l'inverse qui s'est produit, ce film est une épopée flamboyante et un mélo asiatique sur fond d'amours impossibles.
La photographie est à tomber, tout est grandiose, les couleurs, les costumes, les chorégraphies.
Le passage dans la bambouseraie est un morceau d'anthologie à lui tout seul, comme c'est jouli :echarpe-o
Pis il y a la sublimissime zhang ziyi , pinaise sa danse de l'écho est un ravissement, c'est filmé de façon magistrale avé des étoffes qui se déploient magnifiquement aux sons endiablés des tambours
Kennedy et moi Bacri grandiose dans ce premier film de Karmann que j'ai revu avec autant de jubilation, un film sur les interrogations, les obsessions, le dégoût des autres (enfin de certains autres) qui se traduit par du je m'en foutisme complet, l'insatisfaction permanente est un régal quand Bacri s'y colle, inconditionnels de Jip ??!!?? foncez :incline: