01-12-2004, 07:20
Les non-abonnés trinquent à l'OM
A MARSEILLE, on refuse de pleurer sur le sort des spectateurs non abonnés du Stade-Vélodrome qui sont ceux qui, en moyenne, paient le plus cher pour assister à un match de L 1. « Il y a un fossé entre nous, reconnaît Michel Tonini, le vice-président des Yankees, dans le virage nord. Quelque part, ces gens-là paient le prix de notre gloire.
Parce que le vrai spectacle au Vélodrome, cette saison, est donné par les supporters. Ce ne sont pas nos joueurs qui nous font, hélas, concurrence. Et, avec un peu de cynisme, on peut dire qu'en faisant payer aussi cher nos prestations aux non-abonnés, nos dirigeants se remboursent de la pression qu'on leur fait subir... » Tonini se dit pourtant fier d'avoir enrayé l'inflation dans les virages. « Les supporters marseillais ont su s'unir pour empêcher une politique d'abonnement délirant, explique-t-il. On sent bien que la mode est de faire croire qu'un abonnement est un privilège qui doit donc se payer au prix fort. Il faut résister à ça. Ici, on trouve des abonnements à partir de 120 ¤ . Et la tradition est d'amener son propre sandwich dans le virage. C'est une façon de résister. »
Ch.B.
tain ça va pas plaire à Chauvet ça
au fait, remarquez les initiales du journaliste, ça vous rapelle rien? il s'est vite recycler hein
A MARSEILLE, on refuse de pleurer sur le sort des spectateurs non abonnés du Stade-Vélodrome qui sont ceux qui, en moyenne, paient le plus cher pour assister à un match de L 1. « Il y a un fossé entre nous, reconnaît Michel Tonini, le vice-président des Yankees, dans le virage nord. Quelque part, ces gens-là paient le prix de notre gloire.
Parce que le vrai spectacle au Vélodrome, cette saison, est donné par les supporters. Ce ne sont pas nos joueurs qui nous font, hélas, concurrence. Et, avec un peu de cynisme, on peut dire qu'en faisant payer aussi cher nos prestations aux non-abonnés, nos dirigeants se remboursent de la pression qu'on leur fait subir... » Tonini se dit pourtant fier d'avoir enrayé l'inflation dans les virages. « Les supporters marseillais ont su s'unir pour empêcher une politique d'abonnement délirant, explique-t-il. On sent bien que la mode est de faire croire qu'un abonnement est un privilège qui doit donc se payer au prix fort. Il faut résister à ça. Ici, on trouve des abonnements à partir de 120 ¤ . Et la tradition est d'amener son propre sandwich dans le virage. C'est une façon de résister. »
Ch.B.
tain ça va pas plaire à Chauvet ça
au fait, remarquez les initiales du journaliste, ça vous rapelle rien? il s'est vite recycler hein