OM - FC LORIENT : pas de friture, trois points au menu
Acte I : La rentrée des classes
Demain soir, le Vélodrome rouvre ses portes. Ça sent la craie et les cahiers neufs : Aubameyang et Balerdi posent leurs cartables mais restent au fond de la classe, punis de match. Rulli, lui, a choisi l’option théâtre : présent dans le groupe, mais pas sur scène. Résultat, c’est Jeffrey De Lange qui déboule dans les cages pour sa première titularisation. Public marseillais, priez pour que ses gants collent mieux qu’une ventouse Lidl.
Acte II : Les Merlus en dépression saisonnière
Lorient, de son côté, arrive en mode “vide-grenier du dimanche”. Bamba Dieng ? Pas encore déballé. Isaak Touré ? Rangé au placard. Pantaloni, leur coach, a passé sa conf’ de presse à expliquer qu’il n’avait pas reçu les bonnes pièces du puzzle. Bref, un adversaire cabossé… et donc, typiquement, le genre d’équipe qui nous colle une sueur froide au Vél’.
Acte III : De Zerbi en prêcheur
Notre maestro italien, lui, continue son stand-up philosophique : « Je veux gagner avec mérite ». Traduction marseillaise : pas de 1-0 volé avec une défense qui transpire la panique. Il réclame du jeu, du pressing, des buts. Et il a raison : les supporters n’ont pas payé leur place pour voir une équipe en pilotage automatique.
Finale : Pas le choix, les gars !
Demain, pas d’excuses. Pas de “on construit, ça prend du temps”. Pas de cadeaux défensifs qui font passer chaque corner adverse pour un film d’horreur. On veut du sérieux, de l’intensité, et surtout une victoire. Parce qu’après Lorient, c’est pas Guingamp et Rodez qui débarquent : c’est le Real Madrid et Paris. Là, c’est la haute montagne, et si tu rates ton échauffement contre Lorient, t’arrives essoufflé avant même le départ.
Alors oui : seul le succès compte. Trois points obligatoires, un jeu qui rassure, et une défense qui arrête de faire des crises d’angoisse. Sinon, le Vélodrome va vite passer du chant au coup de gueule. Et croyez-moi, vous ne voulez pas d’un Vél’ en colère avant d’aller défier Madrid et Paris.
Allez l'OM !!!!!
L'équipe possible :
![[Image: 546688228_1387010366123613_9101928316534...e=68C8EC3E]](https://scontent-mrs2-2.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/546688228_1387010366123613_9101928316534904193_n.jpg?_nc_cat=1&ccb=1-7&_nc_sid=833d8c&_nc_ohc=dJqAzFnn_xwQ7kNvwEI1XwQ&_nc_oc=AdnlYK8pkgjZtSTIlP6ZEPuSvhaTjr-NZMwq6cyhQy1HYPR0H81qK79siIVGqffJnn9W4-cPthxFZOht9UopEUDd&_nc_zt=23&_nc_ht=scontent-mrs2-2.xx&_nc_gid=R1YOhd_RqBIdsPqy7erGdA&oh=00_AfajJm3s0-kOSb0WBrPWQP9fu0PosjlrOQiIKLjfp01ZvA&oe=68C8EC3E)
Demain soir, le Vélodrome rouvre ses portes. Ça sent la craie et les cahiers neufs : Aubameyang et Balerdi posent leurs cartables mais restent au fond de la classe, punis de match. Rulli, lui, a choisi l’option théâtre : présent dans le groupe, mais pas sur scène. Résultat, c’est Jeffrey De Lange qui déboule dans les cages pour sa première titularisation. Public marseillais, priez pour que ses gants collent mieux qu’une ventouse Lidl.
Acte II : Les Merlus en dépression saisonnière
Lorient, de son côté, arrive en mode “vide-grenier du dimanche”. Bamba Dieng ? Pas encore déballé. Isaak Touré ? Rangé au placard. Pantaloni, leur coach, a passé sa conf’ de presse à expliquer qu’il n’avait pas reçu les bonnes pièces du puzzle. Bref, un adversaire cabossé… et donc, typiquement, le genre d’équipe qui nous colle une sueur froide au Vél’.
Acte III : De Zerbi en prêcheur
Notre maestro italien, lui, continue son stand-up philosophique : « Je veux gagner avec mérite ». Traduction marseillaise : pas de 1-0 volé avec une défense qui transpire la panique. Il réclame du jeu, du pressing, des buts. Et il a raison : les supporters n’ont pas payé leur place pour voir une équipe en pilotage automatique.
Finale : Pas le choix, les gars !
Demain, pas d’excuses. Pas de “on construit, ça prend du temps”. Pas de cadeaux défensifs qui font passer chaque corner adverse pour un film d’horreur. On veut du sérieux, de l’intensité, et surtout une victoire. Parce qu’après Lorient, c’est pas Guingamp et Rodez qui débarquent : c’est le Real Madrid et Paris. Là, c’est la haute montagne, et si tu rates ton échauffement contre Lorient, t’arrives essoufflé avant même le départ.
Alors oui : seul le succès compte. Trois points obligatoires, un jeu qui rassure, et une défense qui arrête de faire des crises d’angoisse. Sinon, le Vélodrome va vite passer du chant au coup de gueule. Et croyez-moi, vous ne voulez pas d’un Vél’ en colère avant d’aller défier Madrid et Paris.
Allez l'OM !!!!!
L'équipe possible :
![[Image: opiom-restaurant-club-biarritz.jpeg]](https://opiomclub.com/wp-content/uploads/2023/07/opiom-restaurant-club-biarritz.jpeg)
