20-04-2005, 17:10
Vous vous êtes réunis hier, cette thérapie collective était importante ?
Je pense que c’était le bon moment. Le bon moment dans le sens où nos résultats ne parlent pas en notre faveur. Il fallait absolument faire quelque chose pour qu’il y ait une réaction collective, une réaction d’orgueil de la part de l’ensemble du groupe sur les cinq derniers matchs qui nous restent à effectuer.
Ça va vous permettre de retrouver les forces pour les cinq matchs à venir ?
Je vous dirai ça samedi soir à 22 heures. C’est sûr que ces discussions là sont parties pour améliorer les choses mais alors aujourd’hui je ne peux pas vous dire si ça a été bénéfique ou pas.
Nantes c’est le match de tous les dangers ?
Ça fait partie des matchs de tous les dangers oui. Il nous reste cinq matchs à effectuer, on sait qu’on a un capital de points à prendre pour rester dans les trois équipes de tête. Si on peut les prendre un peu rapidement, ça nous permettrait de finir la saison plus facilement. Mais c’est sûr que ce match-là débouchera sur de bonnes choses si on arrive à bien le négocier.
Vous l’avez estimé ce capital de points à prendre ?
Je crois qu’il suffit de regarder les statistiques de la saison précédente. Il y a un calcul à faire, et vous saurez le nombre de points qu’on a à prendre.
Même s’ils ne sont pas au mieux, ça ne sera pas un match facile à Nantes ?
On peut constater que rien n’est facile. Samedi on a rencontré une équipe qui était à la limite de la relégation et il s’est avéré que ce match a été difficile et qu’on l’a perdu. Rien n’est facile. Surtout en ce moment pour nous.
C’est dû à quoi ?
C’est tout un ensemble de choses. Il y a beaucoup de paramètres. On a réussi à négocier très favorablement les mois de décembre et janvier. Ça nous a permis de sortir de l’anonymat du championnat et d’atteindre la deuxième place du classement. Peut-être qu’à partir de ce moment-là, ont s’est vu beau. On a pensé que la seconde place était accessible, elle l’était puisqu’on était deuxième. On pensait qu’on pouvait rester à cette place sans fournir les efforts supplémentaires. On s’est complètement trompé.
Comment expliquez-vous des erreurs comme celle vous avez commise avec Habib Beye ?
C’est un manque de communication. C’est plein de choses. Les matchs comme ça se jouent sur de petits détails. On voulait faire pencher ces détails en notre faveur et en fin de compte ils se sont retournés contre nous.
Avant ce but là, on était bien en place. Je pense qu’on avait le monopole du jeu même si on ne se créait pas d’énormes occasions, eux n’étaient pas dangereux de leur côté. Il a fallu qu’on commette cette erreur pour leur donner confiance et ça nous a mis un peu plus de doute à nous, dans nos têtes.
A Nantes, il va y avoir de la pression ?
Mais à quel moment la pression n’a pas été présente chez nous ? À Nantes elle y sera mais un moment il faudra qu’on fasse face à nos responsabilités. Les responsabilités sont présentes. Là je crois qu’on n’a plus le choix.
Si on veut rester dans ces trois équipes qui ont la possibilité de jouer la League des Champions la saison prochaine, il va falloir retrouver les valeurs et les vertus qu’on avait au mois de décembre et au mois de janvier.
Jusqu’à présent lorsque les matchs étaient importants, vous n’avez pas relevé le challenge. Qu’est-ce qui fait que ça va changer après cette réunion ?
Je ne sais pas. On va déjà essayer de retrouver les valeurs dont je viens de vous parler et jouer ce match pour le gagner et non pas pour ne pas le perdre. Je crois que ces derniers temps c’était l’état d’esprit qui était au sein de l’équipe. On voulait à tout prix jouer pour ne pas perdre, pour rester au niveau de la stabilité de cette troisième place ou de la seconde quand on l’avait. On s’est aperçu qu’à chaque fois, on n’en sortait pas vainqueur alors que chaque match qu’on a joué en ayant l’intention de le gagner, que ce soit à domicile ou à l’extérieur, on est sorti vainqueur. Il faut aussi retrouver cette mobilité d’ensemble pour qu’on arrive à retrouver le goût de la victoire.
Vous aviez connu la situation inverse à Paris. Qu’est qui peut changer dans de pareils cas ?
Chaque saison est différente les unes des autres. Je ne ferai pas de comparaison. Je souhaite connaître simplement la même conclusion en fin de saison.
Des blessures vous ont tenu éloigné des terrains, vous êtes revenu contre Ajaccio. En observateur on en acteur, vous avez relevé les mêmes carences dans le jeu ?
Je crois que les carences sont collectives. Que ce soit les acteurs ou les personnes qui sont dans la tribune ou sur le banc de touche, il n’y en a pas une qui fera la différence individuellement. Il faut se remobiliser et retrouver tout cet allant collectif qu’on a eu au mois de décembre janvier comme je le soulignais auparavant.
Tous les résultats que nous avons obtenus, c’est par le biais du collectif. Il faut donc au retrouver tout ça pour la scène des matchs.
On a l’impression que l’OM joue trop bas, trop dans son camp. Les attaquants défendent les défenseurs n’attaquent pas. C’est votre impression ?
Ca rejoint ce que je disais tout à l’heure. On joue en ayant la sensation qu’il ne faut pas perdre le match. On a trop d’écarts entre nos lignes, on manque de certaines choses, de liens, de mobilité et de solutions pour le porteur. Ca part du premier défenseur jusqu’au dernier joueur qui est l’attaquant. Il faut retrouver une certaine force collective qui est été bénéfique pour nous à une certaine période.
C’est dans les têtes aussi ?
Oui, je pense qu’il y a aussi tout ça. On a cité en exemple le joueur de tennis qui a la balle de match et qui n’arrive pas à conclure. Nous on a cinq matchs. Il faut qu’on réussisse.
Cette mise au vert est importante ?
Disons que ça nous servira peut-être à travailler un peu plus dans la sérénité.
Oui, moi je pense que c’est une bonne chose parce qu’on va vivre ensemble pendant 72 heures. Ça va continuer à renforcer les joueurs qui sont déjà présents ça va nous faire prendre conscience qu’on a cinq fois 90 minutes.
Déjà dans un premier temps, il faut à tout prix bien négocier le match de Nantes parce que ça peut déboucher sur de bonnes choses.
Vous passez d’abord par Paris ?
Oui, je vais sur Paris.
S’il n’y avait pas un bon résultat à Nantes, la situation deviendrait embêtante pour la fin de la saison ?
Si vous me parlez de défaite, je dirais que ça serait embêtant oui. Mais ça ne serait pas dramatique non plus. Il restera quatre matchs derrière, 12 points à prendre, donc on sera toujours dans les normes fixées pour être en ligue des champions. Maintenant on n’aura plus le droit à un faut pas derrière. Si c’est un match nul, ce sera toujours un bon point de pris, mais on y va avec d’autres intentions. On verra à l’issue de ce match déjà ne serait-ce que par la performance et la prestation de l’équipe.
En début de saison vous êtes arrivé dans une équipe de l’OM qu’on disait belle, vous êtes déçus des résultats ?
En ce qui me concerne je n’ai pas l’habitude de faire des comparaisons et je ne veux surtout pas donner un bilan avant la fin. Le bilan se fera la dernière journée après Bordeaux.
Je suis venu ici en ayant des ambitions personnelles et collectives, si on atteint nos objectifs, pour moi il n’y aura pas de regrets. C’est vrai que la saison a été en dents de scie, c’est dommage. Il faudra voir dans l’avenir pour travailler plus dans la régularité.
L’ambiance est bonne dans le groupe ?
Oui ça se passe bien.
Avec l’entraîneur ça se passe bien aussi ?
Oui très bien.
Votre saison personnelle est positive à l’OM ? Vous vous êtes imposé auprès des supporteurs et dans l’équipe ?
Lorsque j’ai signé ici je savais que ça allait être difficile dans le sens ou en venant du club rival, il fallait réussir à s’imposer. Maintenant je pars du principe qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. C’est à la personne concernée à faire changer les avis. On peut le faire par des prestations. Moi j’essaye de faire mon travail du mieux possible Si les gens m’ont adopté, c’est qu’ils pensent que je fais bien mon travail. Mon but ce n’était pas d’être applaudi ou apprécié. Quelque part c’est une bonne chose, mais pour moi ce qui est le plus important, c’est qu’on arrive aux objectifs communs. Après, tout le monde en tire des choses bénéfiques.
Si vous aviez à donner un conseil à un parisien qui vient à Marseille, vous lui diriez "garde confiance" ?
Que ce soit un joueur de Paris qui vienne à Marseille, ou un autre joueur d’une autre équipe qui aille jouer ailleurs, il faut qu’il ait confiance en ses capacités et ses qualités. On ne fait pas le challenge de venir jouer dans un club comme celui de Marseille ou un autre, sans garder confiance en soi et exploiter ses qualités du mieux possible.
Qu’attendez-vous de votre réunion de demain à Paris ?
Rien de spécial. Je n’ai pas à ne pas être confiant. Il s’est passé des choses, j’assume les faits et j’en assumerai les conséquences. Il pas de conséquences là-dessus.
Vous allez défendre votre coéquipier ?
Je vais défendre ma cause dans un premier temps parce que mon nom est cité dans le rapport. Je pense que Fabien a les personnes appropriées pour défendre la sienne. Je ne vois pas pourquoi je partirai là-bas méfiant.
L’arbitre ne sera pas là c’est en votre faveur ?
Je vous laisse juge.
Vous craignez une sanction ?
Non.
Je pense que c’était le bon moment. Le bon moment dans le sens où nos résultats ne parlent pas en notre faveur. Il fallait absolument faire quelque chose pour qu’il y ait une réaction collective, une réaction d’orgueil de la part de l’ensemble du groupe sur les cinq derniers matchs qui nous restent à effectuer.
Ça va vous permettre de retrouver les forces pour les cinq matchs à venir ?
Je vous dirai ça samedi soir à 22 heures. C’est sûr que ces discussions là sont parties pour améliorer les choses mais alors aujourd’hui je ne peux pas vous dire si ça a été bénéfique ou pas.
Nantes c’est le match de tous les dangers ?
Ça fait partie des matchs de tous les dangers oui. Il nous reste cinq matchs à effectuer, on sait qu’on a un capital de points à prendre pour rester dans les trois équipes de tête. Si on peut les prendre un peu rapidement, ça nous permettrait de finir la saison plus facilement. Mais c’est sûr que ce match-là débouchera sur de bonnes choses si on arrive à bien le négocier.
Vous l’avez estimé ce capital de points à prendre ?
Je crois qu’il suffit de regarder les statistiques de la saison précédente. Il y a un calcul à faire, et vous saurez le nombre de points qu’on a à prendre.
Même s’ils ne sont pas au mieux, ça ne sera pas un match facile à Nantes ?
On peut constater que rien n’est facile. Samedi on a rencontré une équipe qui était à la limite de la relégation et il s’est avéré que ce match a été difficile et qu’on l’a perdu. Rien n’est facile. Surtout en ce moment pour nous.
C’est dû à quoi ?
C’est tout un ensemble de choses. Il y a beaucoup de paramètres. On a réussi à négocier très favorablement les mois de décembre et janvier. Ça nous a permis de sortir de l’anonymat du championnat et d’atteindre la deuxième place du classement. Peut-être qu’à partir de ce moment-là, ont s’est vu beau. On a pensé que la seconde place était accessible, elle l’était puisqu’on était deuxième. On pensait qu’on pouvait rester à cette place sans fournir les efforts supplémentaires. On s’est complètement trompé.
Comment expliquez-vous des erreurs comme celle vous avez commise avec Habib Beye ?
C’est un manque de communication. C’est plein de choses. Les matchs comme ça se jouent sur de petits détails. On voulait faire pencher ces détails en notre faveur et en fin de compte ils se sont retournés contre nous.
Avant ce but là, on était bien en place. Je pense qu’on avait le monopole du jeu même si on ne se créait pas d’énormes occasions, eux n’étaient pas dangereux de leur côté. Il a fallu qu’on commette cette erreur pour leur donner confiance et ça nous a mis un peu plus de doute à nous, dans nos têtes.
A Nantes, il va y avoir de la pression ?
Mais à quel moment la pression n’a pas été présente chez nous ? À Nantes elle y sera mais un moment il faudra qu’on fasse face à nos responsabilités. Les responsabilités sont présentes. Là je crois qu’on n’a plus le choix.
Si on veut rester dans ces trois équipes qui ont la possibilité de jouer la League des Champions la saison prochaine, il va falloir retrouver les valeurs et les vertus qu’on avait au mois de décembre et au mois de janvier.
Jusqu’à présent lorsque les matchs étaient importants, vous n’avez pas relevé le challenge. Qu’est-ce qui fait que ça va changer après cette réunion ?
Je ne sais pas. On va déjà essayer de retrouver les valeurs dont je viens de vous parler et jouer ce match pour le gagner et non pas pour ne pas le perdre. Je crois que ces derniers temps c’était l’état d’esprit qui était au sein de l’équipe. On voulait à tout prix jouer pour ne pas perdre, pour rester au niveau de la stabilité de cette troisième place ou de la seconde quand on l’avait. On s’est aperçu qu’à chaque fois, on n’en sortait pas vainqueur alors que chaque match qu’on a joué en ayant l’intention de le gagner, que ce soit à domicile ou à l’extérieur, on est sorti vainqueur. Il faut aussi retrouver cette mobilité d’ensemble pour qu’on arrive à retrouver le goût de la victoire.
Vous aviez connu la situation inverse à Paris. Qu’est qui peut changer dans de pareils cas ?
Chaque saison est différente les unes des autres. Je ne ferai pas de comparaison. Je souhaite connaître simplement la même conclusion en fin de saison.
Des blessures vous ont tenu éloigné des terrains, vous êtes revenu contre Ajaccio. En observateur on en acteur, vous avez relevé les mêmes carences dans le jeu ?
Je crois que les carences sont collectives. Que ce soit les acteurs ou les personnes qui sont dans la tribune ou sur le banc de touche, il n’y en a pas une qui fera la différence individuellement. Il faut se remobiliser et retrouver tout cet allant collectif qu’on a eu au mois de décembre janvier comme je le soulignais auparavant.
Tous les résultats que nous avons obtenus, c’est par le biais du collectif. Il faut donc au retrouver tout ça pour la scène des matchs.
On a l’impression que l’OM joue trop bas, trop dans son camp. Les attaquants défendent les défenseurs n’attaquent pas. C’est votre impression ?
Ca rejoint ce que je disais tout à l’heure. On joue en ayant la sensation qu’il ne faut pas perdre le match. On a trop d’écarts entre nos lignes, on manque de certaines choses, de liens, de mobilité et de solutions pour le porteur. Ca part du premier défenseur jusqu’au dernier joueur qui est l’attaquant. Il faut retrouver une certaine force collective qui est été bénéfique pour nous à une certaine période.
C’est dans les têtes aussi ?
Oui, je pense qu’il y a aussi tout ça. On a cité en exemple le joueur de tennis qui a la balle de match et qui n’arrive pas à conclure. Nous on a cinq matchs. Il faut qu’on réussisse.
Cette mise au vert est importante ?
Disons que ça nous servira peut-être à travailler un peu plus dans la sérénité.
Oui, moi je pense que c’est une bonne chose parce qu’on va vivre ensemble pendant 72 heures. Ça va continuer à renforcer les joueurs qui sont déjà présents ça va nous faire prendre conscience qu’on a cinq fois 90 minutes.
Déjà dans un premier temps, il faut à tout prix bien négocier le match de Nantes parce que ça peut déboucher sur de bonnes choses.
Vous passez d’abord par Paris ?
Oui, je vais sur Paris.
S’il n’y avait pas un bon résultat à Nantes, la situation deviendrait embêtante pour la fin de la saison ?
Si vous me parlez de défaite, je dirais que ça serait embêtant oui. Mais ça ne serait pas dramatique non plus. Il restera quatre matchs derrière, 12 points à prendre, donc on sera toujours dans les normes fixées pour être en ligue des champions. Maintenant on n’aura plus le droit à un faut pas derrière. Si c’est un match nul, ce sera toujours un bon point de pris, mais on y va avec d’autres intentions. On verra à l’issue de ce match déjà ne serait-ce que par la performance et la prestation de l’équipe.
En début de saison vous êtes arrivé dans une équipe de l’OM qu’on disait belle, vous êtes déçus des résultats ?
En ce qui me concerne je n’ai pas l’habitude de faire des comparaisons et je ne veux surtout pas donner un bilan avant la fin. Le bilan se fera la dernière journée après Bordeaux.
Je suis venu ici en ayant des ambitions personnelles et collectives, si on atteint nos objectifs, pour moi il n’y aura pas de regrets. C’est vrai que la saison a été en dents de scie, c’est dommage. Il faudra voir dans l’avenir pour travailler plus dans la régularité.
L’ambiance est bonne dans le groupe ?
Oui ça se passe bien.
Avec l’entraîneur ça se passe bien aussi ?
Oui très bien.
Votre saison personnelle est positive à l’OM ? Vous vous êtes imposé auprès des supporteurs et dans l’équipe ?
Lorsque j’ai signé ici je savais que ça allait être difficile dans le sens ou en venant du club rival, il fallait réussir à s’imposer. Maintenant je pars du principe qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. C’est à la personne concernée à faire changer les avis. On peut le faire par des prestations. Moi j’essaye de faire mon travail du mieux possible Si les gens m’ont adopté, c’est qu’ils pensent que je fais bien mon travail. Mon but ce n’était pas d’être applaudi ou apprécié. Quelque part c’est une bonne chose, mais pour moi ce qui est le plus important, c’est qu’on arrive aux objectifs communs. Après, tout le monde en tire des choses bénéfiques.
Si vous aviez à donner un conseil à un parisien qui vient à Marseille, vous lui diriez "garde confiance" ?
Que ce soit un joueur de Paris qui vienne à Marseille, ou un autre joueur d’une autre équipe qui aille jouer ailleurs, il faut qu’il ait confiance en ses capacités et ses qualités. On ne fait pas le challenge de venir jouer dans un club comme celui de Marseille ou un autre, sans garder confiance en soi et exploiter ses qualités du mieux possible.
Qu’attendez-vous de votre réunion de demain à Paris ?
Rien de spécial. Je n’ai pas à ne pas être confiant. Il s’est passé des choses, j’assume les faits et j’en assumerai les conséquences. Il pas de conséquences là-dessus.
Vous allez défendre votre coéquipier ?
Je vais défendre ma cause dans un premier temps parce que mon nom est cité dans le rapport. Je pense que Fabien a les personnes appropriées pour défendre la sienne. Je ne vois pas pourquoi je partirai là-bas méfiant.
L’arbitre ne sera pas là c’est en votre faveur ?
Je vous laisse juge.
Vous craignez une sanction ?
Non.
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