Film sur l'OM le 24 mai sur France 3

[boeuf mode]

Ce documentaire fait revivre les grands moments de la Finale du 26 mai 1993, le jour où l’OM a vaincu le Milan AC en Ligue des Champions, mais aussi comment, à partir de ce jour-là Marseille a basculé. C’est surtout un film qui s’adresse aux millions de supporters de l’OM, en donnant la parole à près de cinquante témoins, connus ou anonymes, qui nous raconte leur passion pour leur club .

Claire Maltot
[SIZE=2]Assistante chargée de production[/SIZE]
TREIZE AU SUD - 3, rue Elie Pelas - 13016 Marseille
http://www.13ausud.com

L’odyssée de l’OM : le jour où Marseille a basculé », et qui sera diffusé le samedi 24 mai à 15h50 sur France 3 Méditerranée et à 0h40 sur France 3.

http://www.dailymotion.com:80/treizeausud

[codaing]

:boxe:

ça va jazzer dans les HLM et les chaumières...

Merci du tuyau l'ure de la butte Sainte Anne...

[boeuf mode]

http://www.dailymotion.com/treizeausud/v...nce2_sport

[Olorin]

sur FR3 !!! c'est génial




Hop programmation de le freebox pour moi

[boeuf mode]

http://www.dailymotion.com/treizeausud/v...film_sport

[Peñiscola]

J'en ai déjà la chair de poule, une des plus belles années de ma vie....


Pire j'en ai les larmes aux yeux, punaise les plus jeunes, j'espère qu'un jour vous pourrez vivre ça....

[Gamba]

Moi je ne me souviens pas de grand chose, j'avais à peine 10 ans, mais je me rappelle clairement avoir vu mon père tomber à genoux à la fin du match et se mettre à pleurer

[Mars]

Merci pour l'info, boeuf :y: (par contre on dit "France 3" depuis septembre 1992 )

Moi je ne me souviens pas de grand chose, j'avais à peine 10 ans, mais je me rappelle clairement avoir vu mon père tomber à genoux à la fin du match et se mettre à pleurer

J'suis déçu, c'est pas un vrai Dr House

[boeuf mode]

Merci pour l'info, boeuf :y: (par contre on dit "France 3" depuis septembre 1992 )




J'suis déçu, c'est pas un vrai Dr House

Arf c'est vrai... :Beep koko aurait dit ORTF ;)

[cetace]

Même RTF...

[O sole mio]

formidable souvenir !...mais la finale de bari, m'a laissé plus de traces émotionnelles...c'est dingue allez savoir pourquoi !

[Godfather]

J'avais 4 ans donc aucun souvenir.Et avec les bruits qui court sur l'OM de cette époque là,je sais pas trop quoi en penser

[dune]

J'avais 10 ans, ça devait faire 3-4 ans que je suivais de loin ce club à part et j'ai sauté comme un taré sur le but de Boli

C'est quand même bon d'avoir un peu connu cette période même si j'en n'ai pas des souvenirs très vivaces mis à part les Papinades que tout le monde connaissait

[Kalamáta]

Moi j'étais fan, je disais que je voulais devenir JPP et vivre à Martigues (qui jouait en L1 à l'époque) parce que Marseille, c'était trop grand...

J'avais reçu au Noël précédent un maillot de Van Basten (mon grand-père n'a jamais rien pigé à mes goûts!). Je me rappelle être parti en courant au garage après le but de Basilou pour amener le maillot dans le salon puis l'avoir piétiné comme un fou!

J'avais 10 ans.

[Le sud]

J'avais 20 ans. On a passé la soirée chez un pote puis après le coup de sifflet final direction Canebière où je me suis fait piquer mes papiers GENIAL !!!
Ce fut vraiment un moment formidable avec baignade dans la fontaine cours etienne d'orves.

[Mars]

Puisque c'est la séquence nostalgie : j'avais 8 ans (8 ans et demi, voire même presque 9 :happy2:) donc je me souviens de pas grand chose, si ce n'est à la fin du match en regardant par la fenêtre y'avait beaucoup de monde, j'avais dit à mon père "papa, on peut y aller nous aussi ?" mais il n'avait pas voulu, la peur de me perdre dans la foule sans doute.

[Kenneth Brylle]

Merci Bœuf trop méchant.

Kikiki des opiOManes était à Munich ce soir la pour lancer des projectiles sur Enrico Macias et se vautrer pleins de bières sur les pelouses jouxtant le stade ?


J’y étais en corail aux plumes avec des amis de mon quartier, j’avais presque 20 ans et c’était fabuleux.

C’était la première fois que j’ai fait un capot avec 8 atouts dans les mains à la contrée, c'était dans le train, ça partait bien.

Les Milanais des brigate rossonere branchés dans la ville, les amis qui se nasquent pendant des heures avec de la bière sans alcool avant de se rendre compte, La Marseillaise impressionnante avant le match dans les gradins comme à Bari, le french cancan a la mi-temps pour nous et on fait les fous, pareil sur le volare pour les Italiens, la classe de Barthez, La méga-giga boulette trouver dans les gradins, l’altercation Papin Di méco, Queen, les Milanaises énervés dans le métro qui veulent nous rendre Papin, le retour de folie dans toutes les gares, je pourrais vous en parler des heures.

Tellement nous étions fatigués au retour, que aucun du quartier présent à Munich n’est partis au Vel pour faire la fête.:happy2:

[Ouissem]

Moi j'avais 4 ans, sur les épaules de mon padre.

Pourquoi je ne suis pas né en 1970 ...

[26 Mai 93]

génial un film sur moi...:pouce:

J'avais 16 ans et je me rappelle avoir fait le tour de chez moi après le but de boli et crier à en perdre la voix

[boeuf mode]

Bah moi c'était ça... je l'avais écrit pour OMplanète il ya un certain temps comme dirait Fernand Raynaud... :Beep

OM-Milan A.C 1993 : Mille ans sans Raymond ...

Dans le baba à Lisboa, fort marri à Bari, je refusais désormais toute panique à Munich. Une mise en bière dans la cité de la chose me paraissait caduque. C'est donc de bonne bonne bonne, bonne humeur, ce matin-là que je me levais du pied gauche en ce 26 mai 1993. Y'a des matins comme çà. Je me rappelais encore comment le vieux natif de Molenbeek avait enrhumé le grand Milan en 1991, le tenant en échec sur sa pelouse fétiche de San Siro puis comment il avait renvoyé les stars rossoneri à leurs chères études au retour dans une ambiance plus qu'électrique, si vous voyez ce que je veux dire.

Ainsi donc la journée se déroulait de manière fort classique. Le midi, je dévorais une escalope milanaise arrosée d'un vieux chianti pas piqué des hannetons. Après avoir traîné ma peau dans quelques rades à matelots du cœur de Nantes et siroté des glass avec les filles afin de tuer le temps qui me séparait de l'heure H, je réintégrais au crépuscule mon home sweet home. Ma femme qui n'a jamais supporté le moindre ballon rond, s'apprêtait à sortir pour une soirée entre amies…

C'est donc seul avec mon basset-hound et quelques fioles de houblon fermenté, en survet viet importé de Hanoï, mes pieds bien engoncés dans des charentaises old style que j'assistais au sacre de l'Olympe et à la montée de Phocée sur le toit de l'Europe. La suite fut plus délicate. Mille ans sans Raymond, c'est difficile à vivre…