13-09-2009, 23:12
Milan ou faux rapide ?
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Roberto Galliani se gratte le menton. Les quelques poils qui lui servent de polisité mentonal, se trouvent chamboulés devant cette agitation soudaine, habile combinaison mouvementale de son pouce et de son index. Ceux qui ne le connaissent pas y reconnaitrait là volontiers un signe dinquiétude, mais non, Roberto se demande juste si ladresse du stade de lOM, le Vélodrome, existe sur son GPS. Puis, malicieusement, la main de celui quon appelle Monsieur Galiani dans les couloirs blancs du Milanlab, glisse de son menton vers son crâne où labsence de cheveux nest pas sans nous rappeler une nuit de pleine lune sans nuage ou José la caution Marseillaise. Alors, on lit dans la plissure de ses yeux la réflexion qui amène aux souvenirs, la clarté dune flamme qui se ravive. 1991 et la vollée de langlais de lOM. 1993, et la tête du Basile de lOM. Finalement, le début de rictus qu il affichait lorsque le mileu de terrain espagnol a sorti la boule dans laquelle le papier qui désignerait son futur adversaire contenait les 20 lettres formant le mot dOlympique de Marseille, fut balayés comme si un coup de vent, quécris-je, de mistral était venu tout balayer. Ses yeux plissés se rapprochent, finalement on y lit un prémice de début dinquiétude, LOM ne lui a pas laissé de bons souvenirs. Pire, son Milan est bien malade en ce début de saison. Il na pas digéré le départ de son Kaka. Alors les clefs du jeu seront confiées à Ronaldinho, encore jeune, et pourtant si vieux, victime alambiquée de la nuit nocturne, plus habitué à la mise en boîte, de nuit
Real et thé chaud
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Florentino Perez se gratte le menton. Il se dit que les 250 M investis cet été pour construire une équipe qui ressemble à un gratte ciel, peut paraître beaucoup face au recrutement de cet entraîneur finaliste de la compétition en 2004. Mais on est pas la chef de la première compagnie de BTP en Espagne pour rien, alors en grand professionnel du bâtiment quil est, il se dit quavant darriver sur le toit de lEurope, il faut commencer par les bases. Faire rêver les gens passent aussi par des moments où il faut savoir mélanger lhumilité, la dignité et ce petit grain de folie qui fait que les gens, en vous voyant, se retourneront après votre passage, en vous lançant de leur plus belle voix des « ahhhhh » marqués par le respect. Alors ses stars iront là bas. Finalement, Florentino resserre le col de sa cravate, qui laisse entrapercevoir labandon de lattachement du dernier bouton de sa chemise, signe de décontraction maitrisée du guerrier qui est sûr de ses armes quand le combat sannonce. Puis aller à Marseille, ça permettra à son conseiller, natif de la ville, de venir tester ses nouvelles lunettes de soleil, offertes gracieusement par son sponsor oculaire.
FC Zurich Hunter
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Ancillo Canepa le président du FC Zurich se gratte le menton. Il assume parfaitement son rôle de petit poucet et promet à ses adversaires quil ne sera pas lours dont la peau sera vendue. Il pense que cette double confrontation qui sannonce a du bon. Elle permettra à son équipe de faire un tour dans le Sud, denfin pouvoir visiter les calanques. Et elle permettra à lOM de venir acheter du Toblerone au pays. Puis sa main touche son oreille, signe ostensible, quun autre joueur de poker aurait forcément pris pour une tentative de bluff. Voyant quon le regarde et quon comprend son petit manège, il abandonne son idée dinviter la délégation marseillaise à visiter une fabrique demmental.
Comme une bulle de swingOM
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Jean Claude Dassier se gratte le menton. Il se demande comment il va annoncer la chose à Didier Deschamps, oubliant que celui-ci est devant sa télé. La manière dont il enlève ses lunettes, pour les essuyer dun geste délicat de son revers de veste siglée OM, en dit long sur son inquiétude. Pourtant, après que José la caution Marseillaise lui eut glissé quelques mots à loreille, son regard sillumine. Ce groupe est lassurance de voir 3 grands matchs au Vélodrome. Chance pour les marseillais, il commence à domicile, contre le Milan qui est actuellement en plein doute. Et comme le disait si justement Pape Diouf : Ce nest pas en buvant du vinaigre à la paille quon noie des chauves-souris, un bon coup de baton fera l'affaire. Il va falloir, pour se lancer vers le premier objectif de la saison, prendre les 3 points. LOM na gardé que des bons souvenirs de ses confrontations contre Milan.
Soyons sur que nous auront droit, au long de la semaine au dossier spécial : OM/Milan quel match avez-vous préféré ?
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Roberto Galliani se gratte le menton. Les quelques poils qui lui servent de polisité mentonal, se trouvent chamboulés devant cette agitation soudaine, habile combinaison mouvementale de son pouce et de son index. Ceux qui ne le connaissent pas y reconnaitrait là volontiers un signe dinquiétude, mais non, Roberto se demande juste si ladresse du stade de lOM, le Vélodrome, existe sur son GPS. Puis, malicieusement, la main de celui quon appelle Monsieur Galiani dans les couloirs blancs du Milanlab, glisse de son menton vers son crâne où labsence de cheveux nest pas sans nous rappeler une nuit de pleine lune sans nuage ou José la caution Marseillaise. Alors, on lit dans la plissure de ses yeux la réflexion qui amène aux souvenirs, la clarté dune flamme qui se ravive. 1991 et la vollée de langlais de lOM. 1993, et la tête du Basile de lOM. Finalement, le début de rictus qu il affichait lorsque le mileu de terrain espagnol a sorti la boule dans laquelle le papier qui désignerait son futur adversaire contenait les 20 lettres formant le mot dOlympique de Marseille, fut balayés comme si un coup de vent, quécris-je, de mistral était venu tout balayer. Ses yeux plissés se rapprochent, finalement on y lit un prémice de début dinquiétude, LOM ne lui a pas laissé de bons souvenirs. Pire, son Milan est bien malade en ce début de saison. Il na pas digéré le départ de son Kaka. Alors les clefs du jeu seront confiées à Ronaldinho, encore jeune, et pourtant si vieux, victime alambiquée de la nuit nocturne, plus habitué à la mise en boîte, de nuit
Real et thé chaud
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Florentino Perez se gratte le menton. Il se dit que les 250 M investis cet été pour construire une équipe qui ressemble à un gratte ciel, peut paraître beaucoup face au recrutement de cet entraîneur finaliste de la compétition en 2004. Mais on est pas la chef de la première compagnie de BTP en Espagne pour rien, alors en grand professionnel du bâtiment quil est, il se dit quavant darriver sur le toit de lEurope, il faut commencer par les bases. Faire rêver les gens passent aussi par des moments où il faut savoir mélanger lhumilité, la dignité et ce petit grain de folie qui fait que les gens, en vous voyant, se retourneront après votre passage, en vous lançant de leur plus belle voix des « ahhhhh » marqués par le respect. Alors ses stars iront là bas. Finalement, Florentino resserre le col de sa cravate, qui laisse entrapercevoir labandon de lattachement du dernier bouton de sa chemise, signe de décontraction maitrisée du guerrier qui est sûr de ses armes quand le combat sannonce. Puis aller à Marseille, ça permettra à son conseiller, natif de la ville, de venir tester ses nouvelles lunettes de soleil, offertes gracieusement par son sponsor oculaire.
FC Zurich Hunter
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Ancillo Canepa le président du FC Zurich se gratte le menton. Il assume parfaitement son rôle de petit poucet et promet à ses adversaires quil ne sera pas lours dont la peau sera vendue. Il pense que cette double confrontation qui sannonce a du bon. Elle permettra à son équipe de faire un tour dans le Sud, denfin pouvoir visiter les calanques. Et elle permettra à lOM de venir acheter du Toblerone au pays. Puis sa main touche son oreille, signe ostensible, quun autre joueur de poker aurait forcément pris pour une tentative de bluff. Voyant quon le regarde et quon comprend son petit manège, il abandonne son idée dinviter la délégation marseillaise à visiter une fabrique demmental.
Comme une bulle de swingOM
Quand le Barcelonais Xavi, sacré meilleur milieu de terrain de club, tire la boule contenant le nom de l'Olympique de Marseille, Jean Claude Dassier se gratte le menton. Il se demande comment il va annoncer la chose à Didier Deschamps, oubliant que celui-ci est devant sa télé. La manière dont il enlève ses lunettes, pour les essuyer dun geste délicat de son revers de veste siglée OM, en dit long sur son inquiétude. Pourtant, après que José la caution Marseillaise lui eut glissé quelques mots à loreille, son regard sillumine. Ce groupe est lassurance de voir 3 grands matchs au Vélodrome. Chance pour les marseillais, il commence à domicile, contre le Milan qui est actuellement en plein doute. Et comme le disait si justement Pape Diouf : Ce nest pas en buvant du vinaigre à la paille quon noie des chauves-souris, un bon coup de baton fera l'affaire. Il va falloir, pour se lancer vers le premier objectif de la saison, prendre les 3 points. LOM na gardé que des bons souvenirs de ses confrontations contre Milan.
Soyons sur que nous auront droit, au long de la semaine au dossier spécial : OM/Milan quel match avez-vous préféré ?