Étape 1 : lancer "lose yourself" en mode instrumental
Étape 2 : si tu ne'est pas toqué du token, c'est pas grave, ChatGPT peut traduire
Étape 3 : Pardon Le Sud, je te "vole" un édito. Donc je l'ouvre longtemps avant, pour que tu puisses souffler...
Allez, lance le Son
Yo.
Deux clubs doyens, deux époques, deux mémoires en tension.
Le Havre monte tranquille, Marseille brûle sans raison.
L’un avance à la rame, l’autre rêve de rédemption,
comme un altcoin légendaire qui cherche sa capitalisation.
L’OM, c’est le Bitcoin des cœurs — mais avec des bugs de réseau,
des dirigeants en rodage, un coach en mode démo.
De Zerbi veut coder la victoire en open source,
mais à chaque commit, c’est le chaos qui ressource.
La Canebière s’impatiente, la mer est agitée,
les fans minent la foi sans jamais capituler.
Les arbitres ? Toujours un script louche,
des décisions floues comme un whitepaper sous-douche.
Mais ici, frère, la passion déjoue la logique,
même Satoshi aurait peur de ce feu mystique.
Il a planqué ses clés, il attend le moment,
pour punir les puissants et solder son mouvement.
Et nous, on guette pareil —
le jour où Marseille renversera le ciel.
Une équipe fragile, oui, mais chargée d’histoire,
un vestiaire d’ombres, mais des lueurs d’espoir.
Les lignes sont upgradées, le code se stabilise,
De Zerbi compile le chaos, la rage se synchronise.
Chaque match, c’est un fork de la destinée,
chaque but, une transaction validée.
Marseille, c’est pas un club, c’est un protocole d’émotions,
proof of passion, proof of explosion.
Le Fada Token ne s’échange pas, il se crie,
il se vit, il s’offre, il se boit à la 90e minute.
Alors samedi, face au Havre, pas de bug, pas d’rollback.
On redéploie la légende, on écrit le comeback.
Parce qu’ici, même la défaite a des allures de victoire,
et que la foi — oui, la foi — peut racheter l’histoire.
Marseille, c’est le chaos ordonné,
la folie programmée,
la blockchain du cœur — impossible à hacker.
Pardon, c'est un retour aux editos à l'ancienne, un peu barjots. J'ai eu envie. On poutre dans une semaine....
Étape 2 : si tu ne'est pas toqué du token, c'est pas grave, ChatGPT peut traduire
Étape 3 : Pardon Le Sud, je te "vole" un édito. Donc je l'ouvre longtemps avant, pour que tu puisses souffler...
Allez, lance le Son
Yo.
Deux clubs doyens, deux époques, deux mémoires en tension.
Le Havre monte tranquille, Marseille brûle sans raison.
L’un avance à la rame, l’autre rêve de rédemption,
comme un altcoin légendaire qui cherche sa capitalisation.
L’OM, c’est le Bitcoin des cœurs — mais avec des bugs de réseau,
des dirigeants en rodage, un coach en mode démo.
De Zerbi veut coder la victoire en open source,
mais à chaque commit, c’est le chaos qui ressource.
La Canebière s’impatiente, la mer est agitée,
les fans minent la foi sans jamais capituler.
Les arbitres ? Toujours un script louche,
des décisions floues comme un whitepaper sous-douche.
Mais ici, frère, la passion déjoue la logique,
même Satoshi aurait peur de ce feu mystique.
Il a planqué ses clés, il attend le moment,
pour punir les puissants et solder son mouvement.
Et nous, on guette pareil —
le jour où Marseille renversera le ciel.
Une équipe fragile, oui, mais chargée d’histoire,
un vestiaire d’ombres, mais des lueurs d’espoir.
Les lignes sont upgradées, le code se stabilise,
De Zerbi compile le chaos, la rage se synchronise.
Chaque match, c’est un fork de la destinée,
chaque but, une transaction validée.
Marseille, c’est pas un club, c’est un protocole d’émotions,
proof of passion, proof of explosion.
Le Fada Token ne s’échange pas, il se crie,
il se vit, il s’offre, il se boit à la 90e minute.
Alors samedi, face au Havre, pas de bug, pas d’rollback.
On redéploie la légende, on écrit le comeback.
Parce qu’ici, même la défaite a des allures de victoire,
et que la foi — oui, la foi — peut racheter l’histoire.
Marseille, c’est le chaos ordonné,
la folie programmée,
la blockchain du cœur — impossible à hacker.
Pardon, c'est un retour aux editos à l'ancienne, un peu barjots. J'ai eu envie. On poutre dans une semaine....