31-10-2011, 12:14
Comme un compte à rebours
On passe à l’heure d’hiver
La nuit entame le jour
Comme un beau fruit le ver…
On est contre, on est pour
Les avis sont divers…
Certains sont à la bourre
Sortant les pull-overs…
D’autres plus troubadour
A l’âme un peu trouvère
Pianotent leur tambour
Comptant les pieds des vers…
Pendules remisent à l’heurt
Iznogoud le vizir
Soudain d’un haut-le-cœur
Fait vaciller l’Empire…
Labrune a des sueurs
Margarita chavire
Et les médias moqueurs
Attendent que ça vire…
On vante l’artilleur
Et son parler sabir
Exprimant sa rancœur
Sans jamais s’attiédir…
On soutient le labeur
Du coach et le plaisir
Inondant tous nos cœurs
Quand les titres ressurgirent…
Las pour les chroniqueurs
Trois victoires sans faillir
Font taire les rancœurs
Et les rumeurs expirent…
L’arsenal tapageur
N’est plus qu’un souvenir
Perdu le pleurnicheur
Oubliée la satire…
Par la grâce des joueurs
Qui ont bu l’élixir
On redevient vainqueur
On ne peut plus haïr…
L’esprit devient flambeur
Les ordres sont des désirs
Et tel un bookmaker
C’est l’heure de s’enhardir…
La folie des glandeurs
N’est qu’un lointain délire
Notre équipe de braqueur
Va se désengourdir…
Arsène l’entraineur
En perdra son Shakespeare
L’arrosé arroseur
Va tous nous rafraichir…
Cetace
On passe à l’heure d’hiver
La nuit entame le jour
Comme un beau fruit le ver…
On est contre, on est pour
Les avis sont divers…
Certains sont à la bourre
Sortant les pull-overs…
D’autres plus troubadour
A l’âme un peu trouvère
Pianotent leur tambour
Comptant les pieds des vers…
Pendules remisent à l’heurt
Iznogoud le vizir
Soudain d’un haut-le-cœur
Fait vaciller l’Empire…
Labrune a des sueurs
Margarita chavire
Et les médias moqueurs
Attendent que ça vire…
On vante l’artilleur
Et son parler sabir
Exprimant sa rancœur
Sans jamais s’attiédir…
On soutient le labeur
Du coach et le plaisir
Inondant tous nos cœurs
Quand les titres ressurgirent…
Las pour les chroniqueurs
Trois victoires sans faillir
Font taire les rancœurs
Et les rumeurs expirent…
L’arsenal tapageur
N’est plus qu’un souvenir
Perdu le pleurnicheur
Oubliée la satire…
Par la grâce des joueurs
Qui ont bu l’élixir
On redevient vainqueur
On ne peut plus haïr…
L’esprit devient flambeur
Les ordres sont des désirs
Et tel un bookmaker
C’est l’heure de s’enhardir…
La folie des glandeurs
N’est qu’un lointain délire
Notre équipe de braqueur
Va se désengourdir…
Arsène l’entraineur
En perdra son Shakespeare
L’arrosé arroseur
Va tous nous rafraichir…
Cetace