22-06-2011, 10:13
(Modification du message : 23-06-2011, 06:31 par Kenneth Brylle.)
° Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789.
° Déclaration des droits de l'OM selon l'actionnaire qui le détient.
° Déclaration des droits de l'OM selon le supporter Olympien.
Article premier
° Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
° L’OM est une faiblesse du cœur qui déséquilibre l’égo de son roi. Les engambitions à deux balles ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
° L’OM est une ivresse qui demeure dans les fibres malgré quelques barbots au-dessus des lois. Les collusions mercatales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
Article II
° Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
° Le but de toute direction de l’olympique est la non conservation d’un bon pied droit synonyme d’oseille convertible pour l’OM. Le pied droit retrouvera sa liberté, le club cédera sa propriété en sureté sans résistance ou quelconque pression.
° Le but de toute direction de l’olympique est la conservation d’un bon pied droit synonyme d’échelle invisible pour l’OM. Le pied droit jouera en liberté, le club renégociera sa propriété en sureté sans insistance auprès du joueur en question.
Article III
° Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
° Le principe de toute comptabilité réside essentiellement dans la raison. Nul cador, nul parvenu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
° Le principe de toute fidélité réside essentiellement dans la passion. Nul désaccord, nul titre perdu ne peut exercer d’ambiguïté sur notre amour insolent.
Article IV
° La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société, la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
° La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas au grisbi : ainsi l’exercice des droits visuels du maillot de l’OM se saborde tant qu’elles assurent aux autres membres de nos sociétés, la jouissance de ces mêmes droits. Les bornes peuvent être dépassées mais c’est notre loi.
° La liberté consiste à pouvoir faire un virage jouli en allumant des fumis : ainsi l’exercice de chants sexuels dans le stade de l’OM n’a de bornes que celles qui ne fissurent pas le fondement de notre encanichée. Pour la jouissance de ces mêmes chants, les cornes seront portées par le gardien dans les bois.
Article V
° La Loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n’est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.
° La loi du plus fort peut défendre des actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas couillu face à la loi du plus fort ne peut être empêché, et nul peut être contraint à faire ce qu’elle ordonne.
° Notre droit est de défendre les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par notre voix ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire celui qui ne voit pas.
Article VI
° La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
° L’argent est l’expression de la volonté générale. Tous les vilains ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa dilapidation. Il doit être le même pour tous, soit s’il protège, soit s’il transfert en coulisses. Tous les vilains étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes possibilités, crasse et emplois comiques, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vices et de leurs bras longs.
° La joie est l’expression de la volonté générale, tous les ohémiens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa création. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle élève, soit qu’elle abrutisse. Tous les ohémiens étant mazots au mieux, sont également admissibles à toutes excentricités, ola ou tifo mythique, selon leur générosité, et sans autre distinction que celles de leurs venues accompagnés de chants.
Article VII
° Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout Citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance.
° Nul à l’OM ne peut être accusé, arrêté, ni détenu pour des contrats déterminés comme en bois, melon hors normes comme arthrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être affranchi ; mais tout clampin appelé ou saisi en vertu d’un passe-droit doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance.
° De nul l’OM peut être accusé, traité, si le contenu est dans les cas déterminés par la mauvaise foi, selon les formes et rites. Ceux qui crient sodomite, gandolfi, fils de brutes pour s’adresser aux décisions arbitrales doivent être blanchi ; mais tout gradin apeuré de lazzi pour José A doit obéir à l’instinct : il se rend coupable par sa connivence.
Article VIII
° La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
°° Lannoy ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit de sale gueule, et légalement appliquée.
Article IX
° Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne, doit être sévèrement réprimée par la loi.
°° l’OM étant présumé coupable jusqu’à ce qu’il ait été déclaré innocent, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur doit être nécessaire pour défendre sa personne, avant d’être sévèrement réprimée par la loi.
Article X
° Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
° Nul ne doit être inquiété pour ses ambitions, même onéreuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre logique de nos transferts en bois.
° Nul ne doit être inquiété pour ses relations, même mafieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
Article XI
° La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi.
°° La libre communication des pensées et des opinions est un droits les plus précieux de l’OM : tout olympien peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’identité de Dassier, qui attend encore impatiemment l’appel du Narfa.
Article XII
° La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
° La garantie des droits de l’OM et des Olympiens nécessite une force autocratique : cette force peut être instituée pour l’avantage de tous, mais aussi pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
° La garantie des droits de l’OM et des Olympiens nécessite une force économique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Article XIII
° Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les Citoyens, en raison de leurs facultés.
° Pour l’entretien de la force autocratique, et pour les dépenses à la con, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les supporters Olympiens, en raison de leurs places d’abonnés.
° Pour l’entretien de la force économique, et pour les dépenses des petits patapons, une dilapidation de fortune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les actionnaires Olympiens, en fonction de leurs porte-monnaie.
Article XIV
° Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
° Tous les Qatariens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leur représentants, la nécessité de racheter l’Olympique, de le faire rapidement, donner un tarif ne se refusant pas avec belins en quantité, biquette en un instant sera votre propriété.
° Tous les Olympiens ont le droit de contester, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la disposition tactique, de se sentir plus fort que Deschamps, de critiquer ses choix en ne voyant que les ratés, puis girouette, quand vient le temps des trophées.
Article XV
° La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.
° La Société a le droit de vider son compte pour tout agent qui profite d’une situation.
° L’abonné a le droit de demander compte pour des WC publics ne sentant pas le fion.
Article XVI
° Toute Société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de constitution.
° Tout kéké dans laquelle une garantie style Drogba est assurée, la décision d’un pouvoir déterminée, sera de le pousser dans l’avion.
° Tout abonné pour laquelle la qualité des matchs n’est pas assurée, ni l’occasion de pouvoir bander, n’a point de satisfaction.
Article XVII
° La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
° La propriété se vendant pour un gars bankable est sacré, nul ne peut en être privé, même lorsque la nécessité publique, sportivement constatée, l’exige évidemment, sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
° La fidélité étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité critique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition de voir le match à la télé.
A l'article de l'escalator :
Les déclarations sont habituellement faites par les bergers pour des troupeaux de moutons sentant le gasoil. Pour une fois c’est le mouton galeux qui chante sa déclaration au Berger pour le propulser tout haut vers son étoile. Pour cela pas besoin de la NASA. Un ch'tite effort pour Drogba, des chaussettes bleues pour l’équipe et sur la route des champs de nos biquettes on vous suivra.
Allez l'OM
Peace and love
° Déclaration des droits de l'OM selon l'actionnaire qui le détient.
° Déclaration des droits de l'OM selon le supporter Olympien.
Article premier
° Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
° L’OM est une faiblesse du cœur qui déséquilibre l’égo de son roi. Les engambitions à deux balles ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
° L’OM est une ivresse qui demeure dans les fibres malgré quelques barbots au-dessus des lois. Les collusions mercatales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
Article II
° Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
° Le but de toute direction de l’olympique est la non conservation d’un bon pied droit synonyme d’oseille convertible pour l’OM. Le pied droit retrouvera sa liberté, le club cédera sa propriété en sureté sans résistance ou quelconque pression.
° Le but de toute direction de l’olympique est la conservation d’un bon pied droit synonyme d’échelle invisible pour l’OM. Le pied droit jouera en liberté, le club renégociera sa propriété en sureté sans insistance auprès du joueur en question.
Article III
° Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
° Le principe de toute comptabilité réside essentiellement dans la raison. Nul cador, nul parvenu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
° Le principe de toute fidélité réside essentiellement dans la passion. Nul désaccord, nul titre perdu ne peut exercer d’ambiguïté sur notre amour insolent.
Article IV
° La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société, la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
° La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas au grisbi : ainsi l’exercice des droits visuels du maillot de l’OM se saborde tant qu’elles assurent aux autres membres de nos sociétés, la jouissance de ces mêmes droits. Les bornes peuvent être dépassées mais c’est notre loi.
° La liberté consiste à pouvoir faire un virage jouli en allumant des fumis : ainsi l’exercice de chants sexuels dans le stade de l’OM n’a de bornes que celles qui ne fissurent pas le fondement de notre encanichée. Pour la jouissance de ces mêmes chants, les cornes seront portées par le gardien dans les bois.
Article V
° La Loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n’est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.
° La loi du plus fort peut défendre des actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas couillu face à la loi du plus fort ne peut être empêché, et nul peut être contraint à faire ce qu’elle ordonne.
° Notre droit est de défendre les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par notre voix ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire celui qui ne voit pas.
Article VI
° La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
° L’argent est l’expression de la volonté générale. Tous les vilains ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa dilapidation. Il doit être le même pour tous, soit s’il protège, soit s’il transfert en coulisses. Tous les vilains étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes possibilités, crasse et emplois comiques, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vices et de leurs bras longs.
° La joie est l’expression de la volonté générale, tous les ohémiens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa création. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle élève, soit qu’elle abrutisse. Tous les ohémiens étant mazots au mieux, sont également admissibles à toutes excentricités, ola ou tifo mythique, selon leur générosité, et sans autre distinction que celles de leurs venues accompagnés de chants.
Article VII
° Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout Citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance.
° Nul à l’OM ne peut être accusé, arrêté, ni détenu pour des contrats déterminés comme en bois, melon hors normes comme arthrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être affranchi ; mais tout clampin appelé ou saisi en vertu d’un passe-droit doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance.
° De nul l’OM peut être accusé, traité, si le contenu est dans les cas déterminés par la mauvaise foi, selon les formes et rites. Ceux qui crient sodomite, gandolfi, fils de brutes pour s’adresser aux décisions arbitrales doivent être blanchi ; mais tout gradin apeuré de lazzi pour José A doit obéir à l’instinct : il se rend coupable par sa connivence.
Article VIII
° La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
°° Lannoy ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit de sale gueule, et légalement appliquée.
Article IX
° Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne, doit être sévèrement réprimée par la loi.
°° l’OM étant présumé coupable jusqu’à ce qu’il ait été déclaré innocent, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur doit être nécessaire pour défendre sa personne, avant d’être sévèrement réprimée par la loi.
Article X
° Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
° Nul ne doit être inquiété pour ses ambitions, même onéreuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre logique de nos transferts en bois.
° Nul ne doit être inquiété pour ses relations, même mafieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
Article XI
° La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi.
°° La libre communication des pensées et des opinions est un droits les plus précieux de l’OM : tout olympien peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’identité de Dassier, qui attend encore impatiemment l’appel du Narfa.
Article XII
° La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
° La garantie des droits de l’OM et des Olympiens nécessite une force autocratique : cette force peut être instituée pour l’avantage de tous, mais aussi pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
° La garantie des droits de l’OM et des Olympiens nécessite une force économique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Article XIII
° Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les Citoyens, en raison de leurs facultés.
° Pour l’entretien de la force autocratique, et pour les dépenses à la con, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les supporters Olympiens, en raison de leurs places d’abonnés.
° Pour l’entretien de la force économique, et pour les dépenses des petits patapons, une dilapidation de fortune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les actionnaires Olympiens, en fonction de leurs porte-monnaie.
Article XIV
° Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
° Tous les Qatariens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leur représentants, la nécessité de racheter l’Olympique, de le faire rapidement, donner un tarif ne se refusant pas avec belins en quantité, biquette en un instant sera votre propriété.
° Tous les Olympiens ont le droit de contester, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la disposition tactique, de se sentir plus fort que Deschamps, de critiquer ses choix en ne voyant que les ratés, puis girouette, quand vient le temps des trophées.
Article XV
° La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.
° La Société a le droit de vider son compte pour tout agent qui profite d’une situation.
° L’abonné a le droit de demander compte pour des WC publics ne sentant pas le fion.
Article XVI
° Toute Société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de constitution.
° Tout kéké dans laquelle une garantie style Drogba est assurée, la décision d’un pouvoir déterminée, sera de le pousser dans l’avion.
° Tout abonné pour laquelle la qualité des matchs n’est pas assurée, ni l’occasion de pouvoir bander, n’a point de satisfaction.
Article XVII
° La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
° La propriété se vendant pour un gars bankable est sacré, nul ne peut en être privé, même lorsque la nécessité publique, sportivement constatée, l’exige évidemment, sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
° La fidélité étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité critique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition de voir le match à la télé.
A l'article de l'escalator :
Les déclarations sont habituellement faites par les bergers pour des troupeaux de moutons sentant le gasoil. Pour une fois c’est le mouton galeux qui chante sa déclaration au Berger pour le propulser tout haut vers son étoile. Pour cela pas besoin de la NASA. Un ch'tite effort pour Drogba, des chaussettes bleues pour l’équipe et sur la route des champs de nos biquettes on vous suivra.
Allez l'OM
Peace and love