Je trouve pas ma ressemblance avec Vampetta si flagrante... :blondblush1:
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor
Ah, c'est plus clair d'un coup ! C'est mon portrait craché !
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor
Nil, depuis qu'il est sous tranxen, il faut l'excuser quand il s'exprime...
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor
Kalamáta a écrit :Je suis pas sectaire, je suis même devenu totalement indifférent à ce PSG.
Que ce club soit important, je le conçois.
Mais l'argument disant qu'il doit rester parce qu'il représente la capitale, et que Paris doit absolument avoir son club en L1, ça me touche pas. Mais alors pas du tout. Rien que pour ça, je souhaiterais qu'ils descendent...
Après, d'un point de vue sportif, ça me ferait caguer de ne plus avoir la fièvre d'un "clasico". Battre le PSG au terme d'un match tendu aura toujours plus de saveur que de venir à bout de Caen ou de Metz.
Donc voilà, sentiment partagé pour moi, entre le côté purement sportif et toutes les considérations géopolitiques qui commencent à sortir...
Edit: arrêtez de flooder, vous être irrévérencieux!
Je plussoie.
J'ai le même avis que toi, et j'ai aussi réagi hier quand j'entendais Rothen dire "le PSG va se maintenir car c'est un grand club". :nono1:Mais il est bien gentil mais comme pourrait dire Guy Roux, la L1, çà se mérite. Alors bon, PSG ou pas, le Championnat et la LFP doivent montrer que tous les clubs sont bel et bien logés à la même enseigne sur une éventuelle relégation. Et même si c'est "Paris".
Deux compagnons pressés d'argent
A leur voisin Fourreur vendirent
La peau d'un Ours encor vivant,
Mais qu'ils tueraient bientôt, du moins à ce qu'ils dirent.
C'était le Roi des Ours au compte de ces gens.
Le Marchand à sa peau devait faire fortune.
Elle garantirait des froids les plus cuisants,
On en pourrait fourrer plutôt deux robes qu'une.
Dindenaut prisait moins ses Moutons qu'eux leur Ours :
Leur, à leur compte, et non à celui de la Bête.
S'offrant de la livrer au plus tard dans deux jours,
Ils conviennent de prix, et se mettent en quête,
Trouvent l'Ours qui s'avance, et vient vers eux au trot.
Voilà mes gens frappés comme d'un coup de foudre.
Le marché ne tint pas ; il fallut le résoudre :
D'intérêts contre l'Ours, on n'en dit pas un mot.
L'un des deux Compagnons grimpe au faîte d'un arbre ;
L'autre, plus froid que n'est un marbre,
Se couche sur le nez, fait le mort, tient son vent,
Ayant quelque part ouï dire
Que l'Ours s'acharne peu souvent
Sur un corps qui ne vit, ne meut, ni ne respire.
Seigneur Ours, comme un sot, donna dans ce panneau.
Il voit ce corps gisant, le croit privé de vie,
Et de peur de supercherie
Le tourne, le retourne, approche son museau,
Flaire aux passages de l'haleine.
C'est, dit-il, un cadavre ; Otons-nous, car il sent.
A ces mots, l'Ours s'en va dans la forêt prochaine.
L'un de nos deux Marchands de son arbre descend,
Court à son compagnon, lui dit que c'est merveille
Qu'il n'ait eu seulement que la peur pour tout mal.
Eh bien, ajouta-t-il, la peau de l'animal ?
Mais que t'a-t-il dit à l'oreille ?
Car il s'approchait de bien près,
Te retournant avec sa serre.
- Il m'a dit qu'il ne faut jamais.
Vendre la peau de l'Ours qu'on ne l'ait mis par terre @kodiak