The joke of the day

[stinc3]

http://video.vividas.com/CDN1/4325_Pepsi/web/index.html

Et dire qu'ils sont payés pour ça.

[MooM]

Et dire qu'ils sont payés pour ça.

Assez affligeant je te l'accorde, serais curieux de connaître le montant de leur chèque reçu après 10 minutes de tournage pour ce spot

[imerle]

Yo Paddy !
saurais tu me dire où tu as trouvé ces images?

Facile, clic droit, afficher l' image

http://img302.imageshack.us/img302/2827/1animals4ln.jpg

[macbou]

Facile, clic droit, afficher l' image

http://img302.imageshack.us/img302/2827/1animals4ln.jpg

c'est un site pour héberger des photos http://imageshack.us/ , ça dit rien sur la provenance des photos....

[imerle]

c'est un site pour héberger des photos http://imageshack.us/ , ça dit rien sur la provenance des photos....

La "vraie" provenance, c' est bien autre chose, c' est vrai !:blondblush1:

Tè, je me flagelle !:Beep

[MacCorbac]

Parcequ'il s'agit en fait du travail réalisé par un ami et je me demande donc comment Paddy les a découvertes.

[goalgot.13]

Pour ne plus s'emmerder à épucher les pommes de terres:

http://www.koreus.com/media/eplucher-pom...terre.html

[goalgot.13]

http://www.koreus.com/media/cafe-dessin.html

[LedZepelin]

Utile!!

[paddy]

Ames sensibles, s'abstenir : impressionnant accident de F1

[goalgot.13]

Ames sensibles, s'abstenir : impressionnant accident de F1

Quel déconneur Paddy.

[le_filtre]

Hé ben !!!!


:Beep

[Kodiak]

Hé ben !!!!


:Beep

Trop fort Merci Le Filtre :y:

[Droopy]

DÉCIDÉMENT, c’est plus
fort que lui.Jérôme Rothen ne
peut se retenir de chambrer.
Ce vendredi après-midi, à la
sortie de l’entraînement, le milieu
de terrain du PSG taquine
Bonaventure Kalou, dont il
moque le peu de clinquant du
véhicule, toujours immatriculé
en Bourgogne. « Tu peux laisser
les clés dessus, personne ne
te la volera », se marre l’international.
Détendu et affable,
Rothen, diamant dans l’oreille
gauche et chaussures de tennis
jaune criant, s’ouvre ensuite
près d’une heure.L’heure de la
mise au point du nouveau malaimé
du public français.

La large victoire contre
La Duchère (3-0) en Coupe
de France vous a-t-elle
rassuré?

C’est un grand mot.Qu’importe
le niveau de l’adversaire,
connaître les joies de la victoire
est plaisant. En championnat,
depuis huit matches, ce
n’est plus le cas.Avec nos nuls,
on n’avance pas.Vu notre calendrier
à venir (Monaco,Bordeaux,
Lens et Lyon), si on ne
bat pas Auxerre, on pourra
dire adieu à la Ligue des
Champions. Il faut mettre les
ego de côté et réagir en équipe,
comme à Nancy la semaine
dernière (1-1). En début de
saison, nous étions maîtres au
Parc.Depuis peu,on y manque
de confiance, le jeu n’est pas
bon et le public exprime son
mécontentement. C’est un
cercle vicieux.On doit soigner
nos entames de rencontre
pour mettre les spectateurs
dans notre poche.

Hormis Pauleta,personne
ne semble au niveau.

Chacun, je dis bien chacun,
évolue en dessous de ses performances
au niveau individuel.
On en est conscient. On
ne souhaitait pas revivre les
mêmes galères que l’an dernier,
on est en plein dedans.Le
groupe doit s’en sortir ensemble.
Quant à Pedro, il n’a
pas marqué ses seize buts tout
seul.

Personnellement, vous vivez
une drôle de saison.

Cela fait dix-huit mois que je
suis à Paris et, à cause de pépins
physiques, j’ai manqué six
ou sept mois de compétition.
C’est pénible. En CFA, je suis
invaincu (0-0 contre Dieppe)!
J’ai disputé le match en entier,
essayant d’aider les jeunes.
D’ailleurs, le coach de Dieppe,
au coup de sifflet final, m’a
glissé: « Chapeau pour ton
professionnalisme, accrochetoi.
» C’est ma victoire.

Quand Guy Lacombe
vous a expédié en CFA,
avez-vous songé à quitter
le club?

Jamais.Contre LeMans, je suis
rentré directement au vestiaire
quand l’entraîneur m’a sorti.
J’ai fait une erreur,même si je
ne suis ni le premier, ni le dernier
à agir ainsi. J’ai été sanctionné,
je l’ai accepté. J’aurais
préféré que cela se passe plus
discrètement.Mais que ce soit
clair: au PSG, je n’ai jamais eu
de passe-droit. Je ne réclame
rien et, comme le dit l’entraîneur,
je ne représente qu’un
vingt-huitième du groupe.

En début d’année, vous
paraissiez mal dans votre
peau.

Je n’avais pas
l’habitude de
traverser une
telle période
de creux. Et
puis je prends
les choses très
à coeur, trop
sans doute.
Dans mon approche
de la
compétition, je m’estime irréprochable,
sur l’hygiène de vie
par exemple. J’ennuie
d’ailleurs ma femme là-dessus.
Lorsque la récompense de tes
efforts ne survient pas en match,
tu te poses des questions.
En octobre, on parlait de «Rothen-
dépendance ». Deux
mois plus tard, j’étais bon à jeter
à la poubelle. Je l’ai mal
vécu, je me suis renfermé. A
part dans le vestiaire, je ne parlais
plus à grand monde.

Cela fait quoi d’être « le
joueur le moins aimé de la
Ligue 1 », selon un sondage
de But?

(il rigole) J’aurais au moins
remporté un trophée cette année…
Ceci dit,demander à des
joueurs,de façon
anonyme,
de désigner
celui qu’ils aiment
le moins
est ridicule.
Quand j’ai été
interrogé
pour donner
un nom, j’ai
refusé. Cela
va à l’encontre
de ma philosophie du
football. C’est de la pure méchanceté.

Comment expliquer les
sifflets qui accompagnent
chacune de vos sorties, y
compris en Bleu?

Depuis que je suis à Paris, on
véhicule une mauvaise image
de moi.C’est vrai, je suis chambreur.
Mais pas sur le terrain.
Je ne comprends pas ce qu’on
me reproche, je ne me suis jamais
mal conduit.Un reportage,
cet été, laissait croire que
j’étais contre le retour de Zizou
en Bleu, ce qui est faux.
Avant, je parlais beaucoup à la
presse et je n’avais pas ma
langue dans ma poche. J’ai
donc freiné, mais ça ne change
rien. Cela a fait boule-de-neige
et les gens ne savent même
plus pourquoi ils m’en veulent.
ça m’embête car je ne suis pas
une tête de con!

Ne seriez-vous pas victime
du syndrome Ginola,
votre idole d’adolescence?

J’en prends le chemin. Je pourrais
prétendre que ça ne me
touche pas mais c’est faux.
Moi, je pratique le foot pour le
plaisir, pour faire rêver les gamins.
J’ai envie de jouer comme
Ronaldinho, avec le sourire.
Que je sois bousculé à Marseille,
soit. Mais pourquoi aussi
à Nancy dès que je touchais le
ballon? Je ne demande pas à
ce qu’on m’acclame, mais
qu’au moins on arrête de me
siffler systématiquement. Ou
qu’on m’explique pourquoi
tant de haine.

Et si vous vous teigniez en
brun?

Ah,ma gueule, mon style… Je
ne passe pas inaperçu dans ce
milieu. Si ça gêne, c’est grave.
Et si je dois partir à l’étranger
pour que ça cesse, j’aviserais.
Car je ne compte pas changer.

N’avez-vous pas trop
idéalisé Paris?

Exactement. Je suis né à Châtenay-
Malabry, j’ai grandi à
Meudon.Gamin, je supportais
Susic, puis plus tard Ginola,
Rai, Weah. Quand Paris s’est
manifesté, je n’ai pas réfléchi.
Comme souvent, j’ai foncé.
Pourtant, beaucoup, dont Didier
Deschamps, m’incitaient à
prendre mon temps avant de
me décider. J’avais des
oeillères. Désormais, je ferai
moins de sentiment. Quand
j’ai signé en 2004, je sortais
d’une finale de Ligue des
Champions, je partais pour
l’Euro. J’y croyais fort. Je rêvais
même de gagner le titre de
champion à moi seul, tellement
j’étais heureux de rejoindre
Paris.Jamais je n’aurais
pensé que ça se passerait ainsi.
Mais je ne regrette rien.Ne pas
connaître le PSG dans ma carrière
m’aurait frustré.

Avez-vous encore des
ambitions à Paris?

Bien sûr. Le foot va vite. L’an
dernier, les internautes du
PSG m’ont désigné dans
l’équipe-type de l’histoire du
club. Je suis fier de laisser cette
trace. Aujourd’hui, on me
taille, on dit que je ne suis plus
qu’une bouse. Même si je n’ai
pas reproduit ce que je faisais à
Monaco, mon talent n’a pas
disparu. En fin de saison dernière,
j’ai délivré cinq passes
décisives en cinq rencontres.
Et j’ai retrouvé les Bleus
contre la Hongrie.

Les retrouverez-vous pour
la Coupe du monde?

J’ai d’abord envie de tout casser
avec le PSG.Une sélection
en découlerait.L’espoir m’anime
encore. Il y a quatre mois,
j’étais bien parti, j’avais fait le
déplacement aux Antilles.Aujourd’hui,
c’est différent.Mais
rater la Coupe du monde
m’emmerderait. Je n’ai pas réservé
mes vacances pour cet
été: cela porterait la guigne.

Le Journal du Dimanche

[goalgot.13]

Vous croyez qu'il a eu mal????

http://www.koreus.com/media/voiture-roule-moto.html

[goalgot.13]

Quand on veut jouer les yamakasi.....

http://www.koreus.com/media/immeuble-saut-rate.html

[mimini]

Comment expliquer les

sifflets qui accompagnent
chacune de vos sorties, y
compris en Bleu?

Depuis que je suis à Paris, on

véhicule une mauvaise image
de moi.C’est vrai, je suis chambreur.
Mais pas sur le terrain.
Je ne comprends pas ce qu’on
me reproche, je ne me suis jamais
mal conduit.Un reportage,
cet été, laissait croire que
j’étais contre le retour de Zizou
en Bleu, ce qui est faux.
Avant, je parlais beaucoup à la
presse et je n’avais pas ma
langue dans ma poche. J’ai
donc freiné, mais ça ne change
rien. Cela a fait boule-de-neige
et les gens ne savent même
plus pourquoi ils m’en veulent.
ça m’embête car je ne suis pas
une tête de con!

Et si vous vous teigniez en

brun?

Ah,ma gueule, mon style… Je

ne passe pas inaperçu dans ce
milieu. Si ça gêne, c’est grave.
Et si je dois partir à l’étranger
pour que ça cesse, j’aviserais.
Car je ne compte pas changer.

Pourtant ?
Rejoindre Guily sur le banc du Barça?

[goalgot.13]

http://www.abrutis.com/video.php?id=1345

[ToxPolyCarb]

N°1 du top 50 Teuton, attention à vos oreilles...

http://www.chilloutzone.de/files/06030604.html

[Mano Steer]

Si cette blague a déja été proposée... je ne l'ai pas vu !!
dans ce cas, mille excuses messires...

Dans le compartiment d'un wagon se trouvent un marseillais (avé son écharpe de l'OM, :echarpe-o) ,une norvégienne (90-59-90) et un Parisien (avec son écharpe du PSG, le con !)
Le train passe alors dans un tunnel. On entend un bruit de bisou assez appuyé sitôt suivi du bruit d'une formidable baffe.
A la sortie du tunnel, le marseillais et la Norvégienne sont assis tranquillement comme si rien ne s'était passé. Par contre le Parisien se tient la tête à deux mains, visiblement atteint et fortement secoué. :mf_bluesb
Le parisien se dit : "Le marseillais a dû essayer d'embrasser la norvégienne, elle a cru que c'était moi, et elle m'a collé un pain."
La norvégienne se dit : "Le parisien a voulu m'embrasser. Il s'est trompé et a embrassé le marseillais qui n'a pas apprécié. Celui-ci lui a collé un pain."
Le marseillais se dit : "Au prochain tunnel, je recommence le bruit du bisou, et je recolle une baigne à ce punaise de parigot !":boxe:

anti parisianisme primaire et stérile...je le concéde ! mais ca fait du bien d'en rire de temps en temps ... @yankee

:vodevill :vodevill :vodevill