05-10-2004, 21:15
Comment aviez vous ressenti le fait de ne pas être sélectionné ?
C’est toujours difficile parce qu’on veut toujours être appelé. Lorsqu’on ne l’es pas ça ne fait logiquement pas plaisir.
Ca vous a fait douter ?
Non pas spécialement. Il y a des choix à faire. C’est vrai que ce n’est pas facile à accepter et il faut l’accepter
Quand avez-vous appris votre sélection ?
J’étais prêt pour partir en Espagne avec l’OM et ce matin à l’entraînement. Bien sûr ça m’a fait très plaisir.
C’est une satisfaction personnelle et c’est le bon moyen d’essayer de m’intégrer dans cette équipe.
Vous espérez être titulaire ?
Oui bien sûr. J’aimerai bien que ça m’arrive. C’est clair. Lorsque j’ai joué ça c’est généralement bien passé donc j’y vais et on verra bien.
C’est important à un moment où vous n’êtes pas au mieux à l’OM ?
Ca fait du bien, c’est bon pour le moral donc c’est une bonne nouvelle. C’est un plaisir d’être appelé en équipe de France et on ne pense pas au contexte. On veut toujours y aller quoi qu’il arrive.
Votre positionnement à l’OM. Vous en avez parlé avec la caution Marseillaise ?
On a commencé à en parler mais on n’a pas pu terminé. Ils sont partis en Espagne.
Je veux jouer même à gauche. On assez grand pour s’entendre et on doit discuter. En général je positive toujours. Je n’ai aucun mal à le faire. Là je recherche ma place et comment améliorer mon rendement par rapport aux autres donc je me pose des questions par rapport au jeu, j’essaye de trouver des solutions. Mais je ne déprime pas ça aurait été grave si on était vraiment très mal au classement et que tout le monde jouerait mal. Il suffit que je me retrouve un peu.
Le fait que je ne sois pas bien ça ne peut que monter. Je suis un battant je l’ai déjà prouvé. Je ne les baisserai jamais.
Des efforts pour jouer ?
Depuis le début j’en fais pour m’intégrer. Je n’aime pas parler de ça c’est entre moi et l’entraîneur. J’aime jouer au Vélodrome. Je ne pense pas qu’on ait le même jeu avec Bamogo. J’aime bien aller en profondeur mais pas autant que lui. Je ne pense pas qu’il aime décrocher comme je le fais. A partir de là il n’y a plus de question à poser. Ce n’est pas parce qu’on a à peu près le même profil physique, qu’on joue de la même manière. Je ne pense pas qu’on joue de la même manière. Sincèrement.
Tourner autour d’un pivot ?
Govou ce n’est pas un point de fixation dans l’axe mais j’arrivais à jouer avec lui. On n’a pas de point de fixation, il faut chercher une autre manière de jouer. On ne va pas chercher à jouer avec les joueurs qu’on n’a pas.
Le Péguy de Lyon ?
C’est un ensemble de chose mais si je savais ça aurait changé. En arrivant ici je savais que ça allait être difficile. C’est pas évident de se préparer avec un club et commencer la saison avec un autre. Je ne pensais pas que ça aller durer autant mais il faut laisser passer le truc.
Vous êtes bien à l’OM ?
J’ai l’air de ne pas être bien ?
Des échéances importantes arrivent vous êtes prêts à franchir le cap important qui se présente ?
On est obligé d’être prêt et de le franchir. On a des ambitions et il ne faut plus se poser de questions. Il faut avoir envie de gagner. C’est tout.
C’est toujours difficile parce qu’on veut toujours être appelé. Lorsqu’on ne l’es pas ça ne fait logiquement pas plaisir.
Ca vous a fait douter ?
Non pas spécialement. Il y a des choix à faire. C’est vrai que ce n’est pas facile à accepter et il faut l’accepter
Quand avez-vous appris votre sélection ?
J’étais prêt pour partir en Espagne avec l’OM et ce matin à l’entraînement. Bien sûr ça m’a fait très plaisir.
C’est une satisfaction personnelle et c’est le bon moyen d’essayer de m’intégrer dans cette équipe.
Vous espérez être titulaire ?
Oui bien sûr. J’aimerai bien que ça m’arrive. C’est clair. Lorsque j’ai joué ça c’est généralement bien passé donc j’y vais et on verra bien.
C’est important à un moment où vous n’êtes pas au mieux à l’OM ?
Ca fait du bien, c’est bon pour le moral donc c’est une bonne nouvelle. C’est un plaisir d’être appelé en équipe de France et on ne pense pas au contexte. On veut toujours y aller quoi qu’il arrive.
Votre positionnement à l’OM. Vous en avez parlé avec la caution Marseillaise ?
On a commencé à en parler mais on n’a pas pu terminé. Ils sont partis en Espagne.
Je veux jouer même à gauche. On assez grand pour s’entendre et on doit discuter. En général je positive toujours. Je n’ai aucun mal à le faire. Là je recherche ma place et comment améliorer mon rendement par rapport aux autres donc je me pose des questions par rapport au jeu, j’essaye de trouver des solutions. Mais je ne déprime pas ça aurait été grave si on était vraiment très mal au classement et que tout le monde jouerait mal. Il suffit que je me retrouve un peu.
Le fait que je ne sois pas bien ça ne peut que monter. Je suis un battant je l’ai déjà prouvé. Je ne les baisserai jamais.
Des efforts pour jouer ?
Depuis le début j’en fais pour m’intégrer. Je n’aime pas parler de ça c’est entre moi et l’entraîneur. J’aime jouer au Vélodrome. Je ne pense pas qu’on ait le même jeu avec Bamogo. J’aime bien aller en profondeur mais pas autant que lui. Je ne pense pas qu’il aime décrocher comme je le fais. A partir de là il n’y a plus de question à poser. Ce n’est pas parce qu’on a à peu près le même profil physique, qu’on joue de la même manière. Je ne pense pas qu’on joue de la même manière. Sincèrement.
Tourner autour d’un pivot ?
Govou ce n’est pas un point de fixation dans l’axe mais j’arrivais à jouer avec lui. On n’a pas de point de fixation, il faut chercher une autre manière de jouer. On ne va pas chercher à jouer avec les joueurs qu’on n’a pas.
Le Péguy de Lyon ?
C’est un ensemble de chose mais si je savais ça aurait changé. En arrivant ici je savais que ça allait être difficile. C’est pas évident de se préparer avec un club et commencer la saison avec un autre. Je ne pensais pas que ça aller durer autant mais il faut laisser passer le truc.
Vous êtes bien à l’OM ?
J’ai l’air de ne pas être bien ?
Des échéances importantes arrivent vous êtes prêts à franchir le cap important qui se présente ?
On est obligé d’être prêt et de le franchir. On a des ambitions et il ne faut plus se poser de questions. Il faut avoir envie de gagner. C’est tout.
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