21-11-2025, 12:52
En l’an vingt-cent-vingt-cinq de l’Ère du Ballon Rond, alors que les ombres s’allongeaient sur la Côte d’Azur et que les Aiglons de Nice piaillaient au sommet de leurs tribunes, une rumeur grondait de la Méditerranée jusqu’aux confins du Vieux Port :
l’Olympique de Marseille se tenait prêt pour une quête que nul ne pouvait refuser.
Dans la salle du Conseil de la Commanderie, au cœur du fief marseillais, les sages s’étaient réunis.
Kondogbia le Gris, tout juste revenu de sa blessure, reprit la parole comme Gandalf retrouvant son bâton :
— « Le chantier est rouvert… »
Les jeunes apprentis — Vaz, Bakola, M’Nadi — l’écoutaient, écarquillant les yeux tels des hobbits découvrant la Légende de Drogba l’Ancien.
Greenwood brandissait déjà son crampon, luminescent comme l’épée Andúril, prête à frapper dès que les Aiglons approcheraient.
Car ce soir, sous les lumières blanches de l’Allianz Riviera — forteresse réputée imprenable, même par les touristes de juillet — se jouerait le Derby du Destin.
Les Aiglons, peuple volatile et orgueilleux, fêtaient leurs quarante ans d’Ultraïsme.
Ils se croyaient forts, nombreux, bruyants.
Mais qu’est-ce qu’un Aiglon face à un Olympien ?
— « Ce ne sont pas de simples hommes… », murmurait un supporter.
— « Ce sont des Marseillais. »
La Prophétie des Points
Les anciens parchemins — conservés au Stade Vélodrome sous un tas de banderoles défraîchies — l’avaient prédit :
« Si l’OM ne conquiert point les Trois Points du Derby, les Bleus et Blancs seront condamnés à errer dans le ventre mou, ce territoire brumeux où les rêves se perdent et où Lens parle encore de C1. »
Aucun Marseillais ne pouvait accepter ce funeste destin.
Le Chemin vers l’Allianz
Le voyage fut rude.
Les blessures tombaient comme des Trolls de Ligues Mineures.
La défense ressemblait parfois au Gouffre de Helm avant le renfort de Gandalf.
Et pourtant, l’espoir tenait bon.
Les supporters, tels des Rohirrim, se préparaient à chevaucher jusqu'à Nice, criant :
« À jamais les premiers ! Même quand on ne l’est pas ! »
La Bataille du Soir
Dans l’arène, les tambours ultras résonneront tels les tambours de Moria : BOUM… BOUM…
Les Aiglons déploieront leurs ailes.
Mais l’OM, tel un phénix bleu surgissant du Vieux Port, étendra les siennes.
Et lorsque Greenwood lancera sa flèche,
Lorsque Kondogbia le Gris tiendra la ligne du milieu comme Aragorn au Pelennor,
Lorsque les jeunes Vaz, Bakola et M’Nadi bondiront comme des elfes en pleine Forme Olympienne,
Alors oui… la lumière renaîtra.
Et le dénouement ?
Il est écrit.
Il est connu.
Il est impératif.
L’OM doit gagner.
Car sans victoire, point de sommet.
Sans trois points, point de quête achevée.
Et sans la quête… point d’espoir.
Le classement est un anneau de pouvoir :
— « Un point pour tous les plonger dans le doute,
Deux points pour s’en rapprocher,
Mais trois points pour les dominer tous
Et dans la Lumière les hisser ! »
Ce soir, en terre niçoise, les Olympiens devront conquérir l’Anneau des Trois Points.
Car la Ligue 1 appartient à ceux qui n’ont pas peur d’y mettre l’intensité… et du combat.
Allez l'OM !!!!
Les équipes probables :
OGC Nice : Diouf - Mendy, Bah, Oppong - Clauss, Vanhoutte, Abdel Samed, Bard (cap) - Diop, Moffi, Cho.
Olympique de Marseille : Rulli - Weah, Pavard, Balerdi (cap) Emerson Palmieri - Vermeeren, Kondogbia - Greenwood, Gomes (ou O’Riley), Paixao - Aubameyang.
l’Olympique de Marseille se tenait prêt pour une quête que nul ne pouvait refuser.
Dans la salle du Conseil de la Commanderie, au cœur du fief marseillais, les sages s’étaient réunis.
Kondogbia le Gris, tout juste revenu de sa blessure, reprit la parole comme Gandalf retrouvant son bâton :
— « Le chantier est rouvert… »
Les jeunes apprentis — Vaz, Bakola, M’Nadi — l’écoutaient, écarquillant les yeux tels des hobbits découvrant la Légende de Drogba l’Ancien.
Greenwood brandissait déjà son crampon, luminescent comme l’épée Andúril, prête à frapper dès que les Aiglons approcheraient.
Car ce soir, sous les lumières blanches de l’Allianz Riviera — forteresse réputée imprenable, même par les touristes de juillet — se jouerait le Derby du Destin.
Les Aiglons, peuple volatile et orgueilleux, fêtaient leurs quarante ans d’Ultraïsme.
Ils se croyaient forts, nombreux, bruyants.
Mais qu’est-ce qu’un Aiglon face à un Olympien ?
— « Ce ne sont pas de simples hommes… », murmurait un supporter.
— « Ce sont des Marseillais. »
La Prophétie des Points
Les anciens parchemins — conservés au Stade Vélodrome sous un tas de banderoles défraîchies — l’avaient prédit :
« Si l’OM ne conquiert point les Trois Points du Derby, les Bleus et Blancs seront condamnés à errer dans le ventre mou, ce territoire brumeux où les rêves se perdent et où Lens parle encore de C1. »
Aucun Marseillais ne pouvait accepter ce funeste destin.
Le Chemin vers l’Allianz
Le voyage fut rude.
Les blessures tombaient comme des Trolls de Ligues Mineures.
La défense ressemblait parfois au Gouffre de Helm avant le renfort de Gandalf.
Et pourtant, l’espoir tenait bon.
Les supporters, tels des Rohirrim, se préparaient à chevaucher jusqu'à Nice, criant :
« À jamais les premiers ! Même quand on ne l’est pas ! »
La Bataille du Soir
Dans l’arène, les tambours ultras résonneront tels les tambours de Moria : BOUM… BOUM…
Les Aiglons déploieront leurs ailes.
Mais l’OM, tel un phénix bleu surgissant du Vieux Port, étendra les siennes.
Et lorsque Greenwood lancera sa flèche,
Lorsque Kondogbia le Gris tiendra la ligne du milieu comme Aragorn au Pelennor,
Lorsque les jeunes Vaz, Bakola et M’Nadi bondiront comme des elfes en pleine Forme Olympienne,
Alors oui… la lumière renaîtra.
Et le dénouement ?
Il est écrit.
Il est connu.
Il est impératif.
L’OM doit gagner.
Car sans victoire, point de sommet.
Sans trois points, point de quête achevée.
Et sans la quête… point d’espoir.
Le classement est un anneau de pouvoir :
— « Un point pour tous les plonger dans le doute,
Deux points pour s’en rapprocher,
Mais trois points pour les dominer tous
Et dans la Lumière les hisser ! »
Ce soir, en terre niçoise, les Olympiens devront conquérir l’Anneau des Trois Points.
Car la Ligue 1 appartient à ceux qui n’ont pas peur d’y mettre l’intensité… et du combat.
Allez l'OM !!!!
Les équipes probables :
OGC Nice : Diouf - Mendy, Bah, Oppong - Clauss, Vanhoutte, Abdel Samed, Bard (cap) - Diop, Moffi, Cho.
Olympique de Marseille : Rulli - Weah, Pavard, Balerdi (cap) Emerson Palmieri - Vermeeren, Kondogbia - Greenwood, Gomes (ou O’Riley), Paixao - Aubameyang.
