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Une idée comme une autre....
7 pieds par vers (voir même 8: c'est de la chanson de troubadour, pas de la poësie...l'important est que ca sonne, afin de pouvoir la chantonner sur le thème de "mon ami à mon avis" des Fabulous...),
un quatrain chacun...à tour de rôle
Anam, braves gins...
Que dirais-tu, ô cetacée
De pouvoir enfin demontrer
Ta pertinence par quelques vers
Face à face, et pas de travers?
Oc ! a écrit :Une idée comme une autre....
7 pieds par vers
(afin de pouvoir la chantonner sur le thème de "mon ami à mon avis des Fabulous...),
un quatrain chacun...à tour de rôle
Anam, braves gins...
Que dirais-tu, ô cetacée
De pouvoir enfin demontrer
Ta pertinence par quelques vers
Face à face, et pas de travers?
Une belle idée as-tu eue,
Mais comme un pied écris-tu,
Quand pour sept pieds j'en vois huit,
Je te corrige aussi vite !
:y:
Oc ! a écrit :7 pieds par vers ??????
Que dirais-tu, ô cetacée
De pouvoir enfin demontrer
Ta pertinence par quelques vers
Face à face, et pas de travers?
Ca ne me pose aucun problème
Hormis le fait qu'à Cétacé
Tu mets un E dans ton poème
Ca je ne peux pas l'acquiescer !
Six, Sept, huit, neuf ou même dix,
Tant que ca echange comme un tennis...
Et puis mon pieds, l'aurait-tu cru,
Il finira sur ton cul...:happy2:
Oc ! a écrit :Six, Sept, huit, neuf ou même dix,
Tant que ca echange comme un tennis...
Et puis mon pieds, l'aurait-tu cru,
Il finira sur ton cul...:happy2:
Il y a des règles à respecter
Des fleurets à bien moucheter
Tu prends ton pied comme tu l'entends
Mais pas question dans mon céant !
Que sur mon cul ton pied finisse
Et ton portrait sera plus lisse
Car c'est mon poing sur ta figure
Qui finira je te le jure
Aïe ! Non pas sur la tête
:helpsmili
Ta figure et toi, ton céant,
Pour moi ce n'est rien que du vent,
Car tout ce qui compte ici bas,
C'est encore bien l'humour courtoit!
Une rumeur court sur les toits
Que la Fumerie s'en prend à toi,
Gillou, Cétacé, et moi,
ça reste beaucoup plus fort que toi !
Poussez vous, place place,
et ce malgré que ça agace.
Jaillit, surgit, un lointain chinois
qui mine de rien, reste aux abois.
Vous n'êtes que de grandes bouches,
Car quand je vise, moi je touche,
Je suis le maître de l'escrime,
Mes vers flottent dans les cîmes...
Nous ne sommes que de grandes bouches
Qui quand elles parlent te touchent
Nos mots chez toi feront mouche
Et t’allongeront sur ta couche !
Ma couche je peux y rester,
Mais la tienne, va la laver,
Il reste un tas qui s'amoncelle,
Va donc laver tes selles.
Parler de selles c'est cavalier
Tu comptes nous désarçonner
Pour le moulon on est liés
On est quatre hein! On va t'sonner
Mes selles sont virtuelles
Les tiennes sont naturelles
Si les miennes ne sentent rien
Les tiennes embaument le purin
Ça part en vrille...
:fou:
Sonnez, sonnez bandes de cloches!
Mais en tout cas, moi je m'accroche!
Le pauvre son de vos clochette,
Est du niveau de la biquette!
Oser à Oc! vous en prendre,
je trouve cela deplacé,
lui qui ne sait se defendre,
malgré qu'il s'y soit preparé.
Cadom, nous parlions de couches,
Et puis te voilà, tu fais mouche!
Même si je doute de ta défense,
Tu panses au moins leurs offences.
Ta cloche semble bien fêlée
Autant que ton langage chattié
Tu ferais mieux de t'éduquer
Des lacunes tu as accumulé...
Les lacunes, je les accumule,
Mais les poêtes, je les accules,
Le dos au mur, le regard bas,
Mes vers les rendent baba!
Baba on ne restera pas
Et encore moins devant toi
Qui te prend pour le Messie
Et confond lanterne et vessie
:D
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