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Version complète : Pape Diouf : « Elle est préoccupante, mais ça ne va pas au-delà. »
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Il tousse

Tu as le rhume ?
Oui, un rhume qui n’arrive pas à s’envoler.

Comment tu juges la prestation de ton équipe après une nuit de recul ?
Je n’ai pas fondamentalement changé dans l’appréciation que j’ai faite hier après le match. Nous avons anormalement subi l’emprise d’un adversaire qui avait pourtant joué un match intense en coupe d’Europe dans la semaine. Cela m’a apparu comme étant la résultante d’un renoncement de la part de notre équipe. Une espèce de crispation que rien ne justifiait puisque de mon point de vue, si, en parlant football évidemment on pense technique, tactique et même diététique, je pense qu’il n’est pas inutile parfois de revenir à des choses simples. Ces choses-là je les appelle la détermination, je les appelle la volonté, je les appelle l’énergie, je les appelle le refus de capituler devant la moindre difficulté et j’aime assez rappeler aux joueurs et à mon entourage que, ce que j’envie le plus à l’Olympique Lyonnais, ce n’est pas Cris, Juninho, Malouda, c’est cette haine de la défaite que Lyon s’est cultivé et a su élever à ses niveaux. Voilà. C’est plus cette analyse-là à laquelle je me livre encore ce matin qu’à une autre analyse.

Comment expliquer ces mauvaises prestations ?
Les raisons sont multiples. Si on arrivait à les identifier ça voudrait dire aussi que le problème serait réglé de lui-même. Il y a eu un enchaînement d’évènements parfois malheureux qui n’ont pas joué en notre faveur, j’ai daté dans un récent entretien au match de Lens le début de nos difficultés, du fait de la frustration née ce soir-là, on nous a privé d’une victoire qui nous tendait logiquement les mains, ensuite il y a eu ce moment de ressac qui nous avons connu et qui s’est prolongé, qui nous a valu de dégringoler au classement. Je suis de ceux qui pensent que nous n’avons pas ce rythme à la lyonnaise qui était le nôtre en tout début de championnat, mais aussi la période que nous avons connue, que j’ai appelé période de dégringolade, ne reflète pas non plus notre valeur. Nous étions beaucoup plus proche de cette valeur-là lorsque dans les 4 derniers matchs nous en avons perdu un, gagné deux et fait match nul, ce qui est un parcours plutôt honorable, un parcours tout à fait susceptible de conduire l’équipe en haut du classement. Donc j’avais espéré après le match contre Monaco, qu’au moins devant Nancy on aurait une autre tenue de route que celle qui a été la nôtre. Donc les explications sont légions mais c’est un peu notre rôle aussi, celui de l’entraîneur et de ses assistants, du directeur sportif et du Président que je suis d’essayer de réfléchir ensemble pour redresser les choses. Je reste aussi acquis à cette idée que quoi qu’il en soit nous vivons un championnat très nivelé, on l’a vu encore avec les résultats enregistrés hier soir puis qu’avec cette défaite, on pouvait redouter d’être complètement largué, mais voilà que la plupart de nos principaux rivaux ont calé eux aussi. C’est la preuve en tout cas que si une équipe comme celle de l’OM fini par jouer un peu dans la constance, il est tout à fait raisonnable de penser qu’on peut, à la faveur d’une bonne série, revenir complètement dans nos objectifs et dans nos ambitions.


Emon parle d’un match test contre Saint-Etienne. L’OM est attendu ?
C’est vrai qu’on est attendu mais attendu nous le somme toujours. Ce que j’ai essayé de rappeler aux joueurs, sans déflorer évidemment le secret des délibérations internes, je dirais simplement que quand on est à l’OM on est dans une entité particulière. Pourquoi parce que déjà, certains d’entre eux le savent, l’ont vécu, quand on joue dans une équipe autre qu’à l’OM, il n’est pas rare qu’à l’extérieur, on joue, je ne vais pas dire devant des banquettes vides, mais dans un stade plein à moitié, au tiers ou au trois quarts. Contre l’OM toujours, ou que nous nous rendions, le stade est plein. C’est à guichets fermés, c’est les recettes battues, ça veut donc dire au départ qu’on ne joue pas tout à fait le même championnat que tout le monde. Où que nous allions, il suffit de le regarder, de l’observer pour en être persuadé, nous jouons toujours devant des équipes super remontées qui se servent de notre venue soit pour se relancer, soit pour essayer d’écarter un rival mais toujours avec cette énergie qui est décuplée. Cette énergie qui fait qu’on ne joue pas à 100% contre l’OM mais à 110 % contre l’OM. Ce sont des éléments dont il faut parler, sans plus que cela leur donner une autre valeur que celle de rappeler aux joueurs qu’à Marseille, on ne peut pas, si on veut obtenir des résultats, jouer un match normal face à des équipes qui ne jouent pas un match normal contre nous. Il faut toujours être, j’allais dire sur son 31. Il faut toujours être complètement prêt à livrer combat. C’est un peu le propre de l’OM de susciter, où que l’équipe aille, cette forme de mobilisation contre nous, c’est vrai à Sochaux, en faisant l’inventaire des matchs depuis le début de la saison, on s’aperçoit que, là où nous avons été et où Lyon a été, nous avons nous suscité plus d’engouement que Lyon. C’est quand même une raison, subjective peut-être, mais dont il n’est pas inutile de parler.

Donc il y a des interrogations pour les joueurs alignés hier ?
Ça c’est toujours une manière aussi de biaiser les explications. Moi je ne pense pas qu’il faille se demander si les joueurs alignés sont les joueurs, sur le plan mental, requis pour jouer à l’OM ? Est-ce que les joueurs qu’on a amenés sont ceux qu’il fallait pour jouer à l’OM ? Non, le problème n’est pas là. On sait parfaitement qu’un joueur, on ne le recrute jamais, contrairement à ce qui peut-être dit, de manière à tenir compte de tous ces éléments-là globalement. On pense parfois connaître un joueur puisqu’on a discuté avec lui, puisqu’on s’est renseigné un peu, mais seule la relation directe, la relation au quotidien vous renseigne sur la nature profonde de chaque joueur. Il y a des joueurs dont on pensait qu’ils seraient peut-être fragiles dans un climat donné et, à la fin, ils se sont plutôt montrés très forts. On a aussi connu l’effet contraire. Il faut se mettre en tête l’idée que quand on prend un joueur, quand on le recrute, quand on l’aligne pour répondre à cette question, quand on prend un joueur, on le prend en fonction du profil qu’on a dessiné et dont on a besoin. Quand je dis manquer de puissance, de technique ou simplement de charge dans un secteur bien donné, je dessine un profil et j’essaye de trouver ce joueur-là. Mais le portrait robot parfait du joueur en question, je pense qu’il est illusoire de penser qu’on peut y arriver.

Comment vous jugez la situation ?
Elle est préoccupante, mais ça ne va pas au-delà. Je l’ai dit tout à l’heure lorsqu’on regarde le déroulement de ce championnat, il n’y a pas lieu pour des gens qui ne baisse pas les bras, pour des gens qui se veulent fort, de rameuter déjà l’inquiétude. Il n’y a pas lieu de crier au loup. Mais il faut savoir remettre les choses en place, d’essayer de remettre les pendules à l’heure. Mais il n’y a pas besoin d’appeler aujourd’hui l’inquiétude.

Saint-Etienne est imprégné d’une charge importante ?
De toute façon, les matchs de l’OM sont toujours chargés que ce soit à domicile ou à l’extérieur. Je l’ai expliqué tout à l’heure. Que nous soyons en tête du classement ou dans le ventre mou, les matchs sont toujours chargés d’une manière ou d’une autre. Ou à certains moments parce que notre position est avantageuse, il faut impérativement gagner pour maintenant cette position. Des fois, ça va moins bien il faut gagner pour éviter la crise qui, paraît-il, est tapie derrière la porte. Il y a tellement de chose qu’on peut dire quand l’OM joue, que je ne vais pas me perdre en conjecture…

Mais sur le plan comptable ?
Tout a fait. Evidemment. Pour nous il est essentiel que nous abordions ce match dans les meilleures conditions, dans les meilleures dispositions et que nous fassions tout pour le gagner.

Vous avez poussé un coup de gueule ?
Je n’ai pas eu un coup de gueule moi. On m’a posé des questions, si on ne me pose pas de question, on ne saurait pas ce que je pense. Vous me posez des questions, je réponds, vous appelez ça un coup de gueule. Moi je n’ai jamais poussé un coup de gueule. J’ai donné des explications.

Mais on peut s’attendre à entendre à des réactions ?
Mais je pense que les joueurs eux-mêmes ont des réactions. Forcément mais ça c’est la vie de groupe. Elle implique de la part de ses acteurs, un minimum d’implication. Chacun s’implique à son niveau, selon ses fonctions, selon ses compétences, c’est ce que nous allons faire. C’est ça que j’appelle faire en sorte que les choses soient en bonne place.

Tu sens qu’il y a capacité de réaction ?
Je souhaite qu’il y ait réaction. Sentir en football ce qu’on sent.

Hier soir, on a vu des suffisances, comment on peut en arriver là. Remplir les stades ça doit motiver au contraire ?
Moi, peut-être c’est ce souci que j’ai un peu du respect de certains mots dans leur signification. Le mot suffisance ne me convient pas. Je pense simplement qu’il nous a manqué cette application-là, cette réaction qu’il eut fallu avoir pour répondre à la situation telle qu’elle était. C’est peut-être ça qui nous a manqué. Il faut savoir que les choses dans une équipe, c’est d’une fragilité extrême dont on ne mesure pas toujours les conséquences. Il suffit d’un grain pour complètement dérégler la machine. Nous sommes aujourd’hui une équipe qui n’est pas complètement en situation de confiance, d’assurance. Le moindre petit grain peut dérégler la machine et donner cette impression parfois, qu’on peut appeler suffisance, renoncement ou autrement. Mais moi j’ai simplement parlé d’absence, de capacité de réaction, maintenant il faut évidemment analyser tout ça à froid, avec le plus de cohérence possible pour essayer de faire avancer la machine. C’est ça que je crois.

Le mercato vous y travaillez ?
On a parlé de renoncement. On renoncerait véritablement à nos attributions si, tout au long de la saison, on ne réfléchissait pas à toutes les échéances. Forcément on réfléchit à tout. On l’a fait la saison dernière, on l’a fait la saison d’avant, on est en train de faire ça cette saison. Cela va de pair avec les fonctions qui sont les nôtres. Réfléchir oui, après il n’est pas dit que parce que le mercato pointe son nez que des décisions sont arrêtées que des profils sont dessinés. Ça c’est la part d’une décision globale, d’une occasion réelle ou pas de pouvoir améliorer ce qui existe. Mais comme je l’ai dit une fois, nous n’avions pas de plan mercato, ce qui est très différent de ce que j’ai pu lire que nous n’avons pas de plan pour le mercato. J’ai dit que nous n’avions pas un plan mercato. Ça veut dire que rien n’est dessiné même si la tension reste vive chez nous, la réflexion reste intense.

Vous avez les moyens financiers ?
On verra. Les moyens parfois il faut se les créer. Il ne faut jamais exclure l’idée que certains garçons, du fait du manque d’un temps de jeu, peuvent être amené à voir à aller ailleurs. Dans ce cas-là, on l’écouterait.

Maoulida ?
Et d’autres…

Certains sont venus vous voir ?
Non pas encore.

Vous réfléchissez ?
Je l’ai dit. On réfléchit tout le temps. Tout est fonction des joueurs qui nous quitteraient ou pas. On a parlé de moyens, les moyens, je ne les trouve pas derrière mon bureau, il faut aussi, c’est notre rôle aussi de pouvoir aller les chercher, il faut être cohérent. On va essayer de faire preuve de cohérence et d’efficacité…

La vente de l’OM qu’en pensez vous ?
Toujours la même chose. Le bon vieux serpent de mer qu’on agite périodiquement. A partir de là, je n’ai pas de commentaire particulier sinon celui de dire qu’entre RLD et moi il y a une relation de transparence de confiance et je persiste et continue à penser que le jour où l’OM va être vendu ce n’est pas par la presse que je l’apprendrais mais différemment.

On peut penser que vous envisagez aussi de changer d’entraîneur ?
Un entraîneur comme un Président peuvent être sur la sellette. Des joueurs aussi. Je pense qu’il ne faut pas voir les choses comme ça. Moi j’aviserais toujours en fonction des intérêts du club. Sans forcer les termes. Aujourd’hui ce n’est pas du tout le problème qui m’est posé ou que j’essaye de résoudre, ce n’est pas le problème de l’entraîneur, mais j’ai eu aussi de ce point de vue là à dire que les entraîneurs savaient eux-mêmes que malheureusement la place qui est la leur le milieu du football est souvent celle du bouc émissaire, ou celle de la commodité pour la transformation, de l’évolution, d’un bouleversement. Ils le savent tous, c’est la règle du jeu aujourd’hui, au moment où on parle, les circonstances ne sont absolument pas constituées pour qu’on puisse envisager l’affaire comme vous le dites.

La responsabilité du parcours ?
C’est une responsabilité collective. Elle concerne tout le monde dans le club. Du Président au joueur le moins utilisé en passant évidemment par le directeur sportif et l’entraîneur. C’est une responsabilité collective. Je peux constater comme vous, ce qui va et ce qui va moins bien. Je peux avoir mes observations, souffrez que comme vous, je sois un observateur, le football est une passion que je pense connaître autant au moins que vous, donc j’ai des idées, mais le football a aussi cette particularité qu’on ne peut pas y développer de vérité absolue ou catégorique. Sinon ça serait très simple. On le saurait. Chacun peut avoir ses idées. J’ai les miennes. Certaines que je peux exposer parfois en aparté parce que j’ai des amis avec lesquels je peux parler parfois, certains sont journalistes. J’ai d’autres idées que je peux exposer publiquement, d’autres desquelles je parlerais avec mon entraîneur et des techniciens. C’est ça. Évidemment on ne peut pas s’épancher à tout bout de champ, partout, devant tout le monde de ses idées. Mais j’ai mes idées, évidemment. Comme vous.

Barthez ?
C’est une question qui ne m’agite pas. Même si j’ai beaucoup de sympathie, d’amitié pour Fabien, le fait qu’il soit revenu à Nantes prouve en tout cas que s’il avait décidé d’arrêter sa carrière c’était parce qu’il n’avait pas de solution. Aujourd’hui un club lui tend les bras, lui dit qu’il a la capacité de jouer au moins pendant deux saisons, je m’en réjouis pour lui. S’il y est allé cela répond à un véritable besoin d’expression chez Fabien. Je m’en réjouis pour lui et peut-être pour le football français parce que ça fait toujours plaisir de voir ce type de dinosaure revenir.

Tu as parlé aux joueurs ce matin ?
Tout le temps je parle. Ce sont des réunions informelles. On parle entre nous. Ça peut être en tête en tête, en groupe. Admettez qu’il puisse y avoir des détails intimes dans la vie d’un club.
Diouf....euh non rien...


:(
Pape Diouf a écrit :Tout le temps je parle.
:mf_bluesb
C'est quand même la première fois que Diouf critique les joueurs et l'équipe, en espérant qu'il n'en reste pas là et en tire les conclusions qui s'impose.
Pas forcement en virant Emon mais au moins en bottant le cul à certain joueurs pour qu'ili se le bouge enfin.
Eh beh on est pas sorti...en même temps qu est ce tu veux qu il dise?
En gros y a pas de raison de s'alarmer...alors ne nous alarmons pas.
Une petite pensée pour le pauvre Georges qui a tapé tous ces sacs de mots!
Merci GP ! Bowdown
LedZepelin a écrit :Une petite pensée pour le pauvre Georges qui a tapé tous ces sacs de mots!
Une plus grande pour les correcteurs et ceux qui mettent en ligne! Quelle classe
Merci messeiurs
Diouf, rtu as fait le dignostic, maintenant faut sortir la curation (mais pas de seringue hein? OK):mf_bluesb
C'est toujours un peu trop langue de bois à mon goût mais bon... Rolleyes

Merci Giorgio !!! Clap
Citation :Pas forcement en virant Emon mais au moins en bottant le cul à certain joueurs pour qu'ili se le bouge enfin.
La motivation ne sert à rien quand on demande à Cana de distribuer le jeu, à Pagis de défendre sur une aile et qu'on change de disposition tactique toutes les 5 minutes pendant un match.
Georges, tu lui as dis que ce qu'il dit en 5 feuillets pourrait tenir en 3 phrases?
Commentaire du discours du Pape
« ce que j’envie le plus à l’Olympique Lyonnais, … c’est cette haine de la défaite »
è La haine des défaites de son équipe, ce serait mieux.

« Comment expliquer ces mauvaises prestations ? Si on arrivait à les identifie … le problème serait réglé de lui-même. Lens le début de nos difficultés.. on nous a privé d’une victoire … la plupart de nos principaux rivaux ont calé eux aussi… On peu revenir… dans nos objectifs »
è Avec des « ON » on mettrait Lyon en bouteille.

« … sans déflorer le secret des délibérations internes… Pourquoi parce que… »
è C’est bien de faire des questions réponses.

On perd à l’extérieur pace que les autres ils sont méchants contre l’OM. Quand l’OM arrive leurs stades toujours vides se remplissent, ils mouillent leurs maillots et ils se défoncent.
« Donc il y a des interrogations pour les joueurs alignés hier ? … je ne pense pas… le problème n’est pas là…on…on…on…le portrait robot parfait du joueur je pense qu’il est illusoire de penser qu’on peut y arriver.
è Si en plus il faut penser ?????

Comment vous jugez la situation ? pas préoccupante… il faut savoir remettre les choses en place, d’essayer de remettre les pendules à l’heure.
è Il faut savoir enfoncer les portes ouvertes.

Saint-Etienne est imprégné d’une charge importante ?. Que nous soyons en tête du classement ou dans le ventre mou, les matchs sont toujours chargés d’une manière ou d’une autre.
è Ils ont raison les joueurs à quoi bon jouer les premières places si c’est pareil !

Vous avez poussé un coup de gueule ? si on ne me pose pas de question, on ne saurait pas ce que je pense… J’ai donné des explications.
è C’est aussi clair que dans la boule de cristal de madame Irma, n’est-ce pas ?

Le mercato vous y travaillez ? On, on, on, on
è Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Vous avez les moyens financiers ? Les moyens parfois il faut se les créer.
è Génial le recrutement, pour ceux qui aiment délirer !

La vente de l’OM qu’en pensez vous ? Le bon vieux serpent de mer…Je… je…je…je…je
è Il sait bien noyer le poisson quand même !
La responsabilité du parcours ? … collective.
è Quel courage !!!!
[quote=Georges Profond]
Il tousse


"Dis Tonton Pape, pourquoi tu tousses?"
Draikin a écrit :La motivation ne sert à rien quand on demande à Cana de distribuer le jeu, à Pagis de défendre sur une aile et qu'on change de disposition tactique toutes les 5 minutes pendant un match.

100% d'accord!!
Cisse Pagis je n'y croyais pas et ben j'y crois encore moins!
Ils n'ont pas les mêmes caracteristiques mais ce sont 2 numeros 9, va donc bien falloir faire un choix!
Bah coome ça ça ne me parait po déconant

--------------Cisse
------Niang---------- Ribery
--------------Pagis
-----------Cana Mbami
-----Taiwo Civelli Zubar Beye
CaveMan a écrit :Bah coome ça ça ne me parait po déconant

--------------Cisse
------Niang---------- Ribery
--------------Pagis
-----------Cana Mbami
-----Taiwo Civelli Zubar Beye

ben si Pagis était un numéro 10 je dis ok mais il ne me semble pas que ce soit le cas? Certes Pagis a une bonne technique, oui il sait jouer en remise, mais il ne mène pas le jeu, il ne sait pas dribbler, c'est un joueur qui peut jouer proche d'un attaquant mais en aucun cas milieu offensif. Il a besoin d'un mec qui lui fait parvenir les ballons. Et Ribery ne peut pas etre partout, si il est à droite il n'y a plus personne dans l'axe...si il vient dans l'axe ben...y'a plus personne à droite...Et quand Rib est à droite Niang ne peut pas combler le vide dans l'axe, il joue soit comme un ailier soit comme un véritable 2eme attaquant mais jamais comme un milieu gauche, et encore moins comme un milieu axial.
Cisse Pagis j'y crois pas! ou alors sans Niang, et avec Ribery accompagné d'un 2eme milieu offensif.
Bon voilà c'est juste ma vision personnelle qui m'appartient de la tactqiue offensive à l'OM.
Georges Profond a écrit :Il tousse
Tu as le rhume ?
Oui, un rhume qui n’arrive pas à s’envoler.
1 ou 3 points se sont envolés, on peu pas tout avoir.
Il s'est fait enrhumer pas les Nancéens.
Diouf c'est qu'un beau parleur. Il endort tout le monde avec ses discours à la con. Point de responsable, c'est à cause de l'air du temps si l'OM se traîne. Qu'il aille se faire des pates au pistou et surtout qu'il se casse avec le chauve et le suisse.
foutcheubol a écrit :ben si Pagis était un numéro 10 je dis ok mais il ne me semble pas que ce soit le cas? Certes Pagis a une bonne technique, oui il sait jouer en remise, mais il ne mène pas le jeu, il ne sait pas dribbler, c'est un joueur qui peut jouer proche d'un attaquant mais en aucun cas milieu offensif. Il a besoin d'un mec qui lui fait parvenir les ballons. Et Ribery ne peut pas etre partout, si il est à droite il n'y a plus personne dans l'axe...si il vient dans l'axe ben...y'a plus personne à droite...Et quand Rib est à droite Niang ne peut pas combler le vide dans l'axe, il joue soit comme un ailier soit comme un véritable 2eme attaquant mais jamais comme un milieu gauche, et encore moins comme un milieu axial.
Cisse Pagis j'y crois pas! ou alors sans Niang, et avec Ribery accompagné d'un 2eme milieu offensif.
Bon voilà c'est juste ma vision personnelle qui m'appartient de la tactqiue offensive à l'OM.

tu vas voir qu'ils vont écarter le meilleur joueur depuis le début de saison (Pagis) alors que l'attaque était le secteur avec le moins de problèmes... fort quand même!
RAZIBUS a écrit :Diouf c'est qu'un beau parleur. Il endort tout le monde avec ses discours à la con. Point de responsable, c'est à cause de l'air du temps si l'OM se traîne. Qu'il aille se faire des pates au pistou et surtout qu'il se casse avec le chauve et le suisse.

Je plussoie.
Il est bien embêté le Pape, à dire qu'il y aura du changement mais à devoir faire avec les décisions de RLD car pas de changement sans fric.
Résultat il reste fort tributaire de celui-ci et ne peut que se montrer déçu et espérer des joueurs qu'il se relève.

"Les moyens, il faut se les créer". A part blanchir de l'argent ou braquer une grosse banque, là, à vrai dire, je ne vois pas comment tu pourrais faire cher Pape, si tu n'as pas les thunes de ton actionnaire majoritaire.

Mais bon, tout çà ce n'est pas grave, "la situation est préoccupante mais ca ne va pas au-delà" (si en on arrive à jouer dans la lutte pour le maintien, il faudra se souvenir de cette phrase) ou bien encore "si on accuse un déficit de 7 millions, c'est rien."

59 Si seulement la communauté de ses "fidèles" (je parle ici d'une partie des supporters qui le voient un peu comme le grand manitou indiscutable qui travaille toujours pour le bien de l'OM) pouvait parfois avoir un éclair de conscience...
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