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Quand je pense à Fernande...


A trop forcer sur la boisson,
Bob a pris l'habitude,
De placer sous sa servitude
L'OM tel un vil échanson

On languit qu'il revende,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Ribéry,
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense aux météores,
Sur l'ambition, le store !
De Baka à Lulu,
Sans gain était l'afflux,
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.


A l'époque où il est venu
Pour ranimer la flamme
J'attendais ému jusqu'au larmes
Les dollars du suisse inconnu.

De Gili à Fernande,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Flamini...
Qu'on l'pende aussi !
Quand je repense au Condor,
Robert veut nous voir morts.
Mais quand je pense à Lulu,
Là je n'en doute plus.
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.


C'est l'Bob Denard du ballon rond,
Cette espèce de débile,
A cru débarquer sur une île,
Il s'est gouré de ponton

Dans sa Suisse romande
Il glande, il glande
Et quand il vient ici,
Il glande aussi.
Quand il recrute aux Comores
Ca prouve qu'il phosphore,
Mais de Drogba à Lulu,
Là ça nous troue le cul !
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.



Et même que durant son procès,
Comme il est un peu triste,
Il se repent le content suisse
A genoux devant le prétoire.

Quand je pense à Rollande...
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Bernardi...
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense à Moses,
Fiorese ou Gimenez...
Ou quand je pense à Lulu
En terme de plus-value...
La pendaison, papa
Ça n'se commande pas !




Et je vais mettre un point final
A ce chant funéraire,
En suggérant au milliardaire
D'en faire un hymne national.

On languit qu'il revende,
Qu'on l'pende, qu'on l'pende !
Quand j'pense à Ribéry,
Qu'on l'pende aussi !
Quand je pense qu'il déshonore,
Le maillot bleu, ça passe encore,
C'est comme le Port-Salut,
C'était écrit dessus,
La pendaison papa
Ça n'se commande pas.

Pour les amateurs (dont tu es, apparemment) : http://profile.myspace.com/thebrassens

Moi aussi j'aime beaucoup Reggiani

Depuis l'annonce du départ de Ribery, Espi fait bande à part !

:lol: Certainement un de mes textes préférés d'opiOM...

Espi t'es un phénomène :incline::incline::incline:

mouais bof

tous derrière et lui devant.

Heureux qui comme francky, a fait un beau voyage

Liberté, puberté, fraternité disait le pouët

ma foi

Ma foi... Un "quand je pense à Perrin" aurait été pas mal non plus...

Old Trafford a écrit :Ma foi... Un "quand je pense à Perrin" aurait été pas mal non plus...

José pas la faire celle-là...

EDITH :Quoiqu'un "Je vais et je viens"... entre Perrin ... à méditer.

Source ?

Espigoulien a écrit :José pas la faire celle-là...

Espigoulien a écrit :EDITH :Quoiqu'un "Je vais et je viens"... entre Perrin ... à méditer.

:lol:

et un "Pape ayou, Pape ayou, Pape ayou Pape ayoulélé" ?

hommage

Le grand Georges est parmi nous. Sans déc... je vais la chanter toute la journée moi, maintenant.

:lol:

Rien de tel qu'une petite piqûre de rappel pour conserver ses bras sains
La pendaison Espi, ça s'recommande occis…

Espi, et tant pis si tu prend la grosse tête, mais une fois de plus quel talent

Excelent Espi, mort de rire au boulot alors que je suis censé travailler (et que le boulot est chiant à mourir), je passe pour quoi moi ?

Merci Espi pour ce retour aux sources, me reste plus qu' à trouver des kangourous.