Godfather a écrit :Tu aurais pu aller faire un tour dans une casse, tu peux y trouver des pneus encore pas mal pour pas cher.
Ou les prendre sur une voiture esseulée...
Boban ne s'approche pas trop des casses de peur que les employés confondent son carrosse avec une de leurs pensionnaires

J'aime pas du tout me rendre compte que j'ai fait le Régis en posant quelques jours de congés.
Au lieu de prendre le jeudi 9, le 10 et le 11 septembre j'aurais du prendre le vendredi, samedi et lundi, ça m'aurait permis de voir le OM/Monaco qui a été décalé au dimanche (chose pourtant prévisible

)
Autant changer mes jours de congés aurait été facile à obtenir, autant changer mes billets de train où c'est marqué "ni échangeable, ni remboursable"....

Se faire remonter à la 88 eme

Crever le matin en partant au boulot

le_filtre a écrit :Crever le matin en partant au boulot 
Je voudrais pas crever
Avant d'avoir connu
Les chiens noirs du Mexique
Qui dorment sans rêver
Les singes à cul nu
Dévoreurs de tropiques
Les araignées d'argent
Au nid truffé de bulles
Je voudrais pas crever
Sans savoir si la lune
Sous son faux air de thune
A un coté pointu
Si le soleil est froid
Si les quatre saisons
Ne sont vraiment que quatre
Sans avoir essayé
De porter une robe
Sur les grands boulevards
Sans avoir regardé
Dans un regard d'égout
Sans avoir mis mon zobe
Dans des coinstots bizarres
Je voudrais pas finir
Sans connaître la lèpre
Ou les sept maladies
Qu'on attrape là-bas
Le bon ni le mauvais
Ne me feraient de peine
Si si si je savais
Que j'en aurai l'étrenne
Et il y a z aussi
Tout ce que je connais
Tout ce que j'apprécie
Que je sais qui me plaît
Le fond vert de la mer
Où valsent les brins d'algues
Sur le sable ondulé
L'herbe grillée de juin
La terre qui craquelle
L'odeur des conifères
Et les baisers de celle
Que ceci que cela
La belle que voilà
Mon Ourson, l'Ursula
Je voudrais pas crever
Avant d'avoir usé
Sa bouche avec ma bouche
Son corps avec mes mains
Le reste avec mes yeux
J'en dis pas plus faut bien
Rester révérencieux
Je voudrais pas mourir
Sans qu'on ait inventé
Les roses éternelles
La journée de deux heures
La mer à la montagne
La montagne à la mer
La fin de la douleur
Les journaux en couleur
Tous les enfants contents
Et tant de trucs encore
Qui dorment dans les crânes
Des géniaux ingénieurs
Des jardiniers joviaux
Des soucieux socialistes
Des urbains urbanistes
Et des pensifs penseurs
Tant de choses à voir
A voir et à z-entendre
Tant de temps à attendre
A chercher dans le noir
Et moi je vois la fin
Qui grouille et qui s'amène
Avec sa gueule moche
Et qui m'ouvre ses bras
De grenouille bancroche
Je voudrais pas crever
Non monsieur non madame
Avant d'avoir tâté
Le goût qui me tourmente
Le goût qu'est le plus fort
Je voudrais pas crever
Avant d'avoir goûté
La saveur de la mort...
Boris Vian.
Ton Vian là, il est garagiste ?
Je suis sûr que t'es pas allé au boulot de ce fait là. Branleur.

Si je suis au boulot , descendu en bagnole tranquille mais légèrement en retard
Les garagistes c'est des escrocs 50 le remorquage .
Genre tu pouvais pas changer ta roue, ça prend 15mn quand on sait y faire (voire encore plus rapidement quand on sait vraiment y faire).
Ou alors t'as une SMART

Nilou faut suivre je parle de ma vespa .
EDIT : bon ok je n'avais pas precisé .

Et nous on se disait, zut, il a déjà pété la kangoo

Généralement c'est au boulot que le filtre cherche un pot .... d' échappement
Ça n'a rien a voir mais on fait ce qu'on pneu
El chi a écrit :Ça n'a rien a voir mais on fait ce qu'on pneu
Ton humour déjanté tombe un peu à plat là...
le_filtre a écrit :Les garagistes c'est des escrocs 50 le remorquage .
Aussi quelle idée de rester dessus, le prix n'est pas si prohibitif si tu fais appel à Revel !

... que la courroie de mon scoot (me) lâche au milieu de l'autoroute alors que j'ai rendez-vous demain pour la changer.
