(27-11-2020, 01:47)EFC a écrit : [ -> ] (26-11-2020, 22:11)Kornog a écrit : [ -> ]Puis en vrac: le Nigeria d’Amunike, Amokachi et Yekini. La dégaine d’Alexis Lalas, le coup de coude de Leonardo, le Colombien Escobar (
), les 5 buts d’un Russe dont j’ai oublié le nom (Salenkov?), Roger Milla qui marque à plus de 40 ans. Hagi et Stoickhov, les loupés de Baggio et Baresi, la tête piquée de Romario, le tarin du Néerlandais Jonk, celui en sang de Luis Enrique (?)...
Oleg Salenko 
Qui de mémoire avait dû aller à Valence.
L'époque où y avait pas trop d'observateurs à l'étranger, donc quand un inconnu cartonnait dans un grand tournoi il était recruté par un bon club même si 'était une étoile filante.
On est bien placé avec Igor Dobrovolsky qui s'était montré à l'Euro 92. Ou Letchkov qui était impressionnant avec la Bulgarie mais quelconque en club.
En fait pour les anciens, 1982,est écrit en marbre dans les esprits
Mené 3/ 1 contre la Rfa, et perdre,ensuite.
Avec l attentat de Schumacher, lepeno rate de Bossis, je crois que c est lui
Le magnifique but de Trésor, celui de Giresse, et perdre, avec Ettori dans les cages, je me suis toujours dit qu il était fautif sur le but de Hrubesh, de la tête.
Trop petit, mal placé, pas décisif surtout
Ça engage que moi.
Ensuite 1986,rebelote
En fait, j ai peur de confondre les 2 matches, donc, je vais vous lire
(27-11-2020, 10:24)albert gilardi a écrit : [ -> ] (27-11-2020, 01:47)EFC a écrit : [ -> ]Oleg Salenko 
Qui de mémoire avait dû aller à Valence.
L'époque où y avait pas trop d'observateurs à l'étranger, donc quand un inconnu cartonnait dans un grand tournoi il était recruté par un bon club même si 'était une étoile filante.
On est bien placé avec Igor Dobrovolsky qui s'était montré à l'Euro 92. Ou Letchkov qui était impressionnant avec la Bulgarie mais quelconque en club.
Je l ai vu jouer, chez nous
No comment.
Mon meilleur souvenir de mounedial.
Sinon, tout comme Keyser, 1982, j'avais 8 ans, et ce France RFA transforme la naissance de cette passion en "trauma", qui ne s'effacera que bien plus tard.
Se regarder un best-of de Zidane-Bresil 2006 de temps en temps, ça reste aussi un grand moment de poésie.
Pour ma part, c'est la coupe du monde 1998 et la coupe d'Europe de 2000. Surtout pour cette dernière car pour la coupe du monde de 1998, pour moi, j'étais un poil trop jeune et surtout, je ne m'intéressais pas tant que ça au foot, c'est venu avec l'adolescence et quand je suis arrivé en France. J'ai surtout des souvenirs de la finale, le reste, à part les pénalty contre l'Italie, c'est assez flou. Non surtout, ce dont je me souviens le plus nettement, c'est de mon père.
Jusque là, nous habitions en Pologne et j'ai suivi la phase de groupe lors d'une classe verte, dans les anciens camps de vacances des ouvriers Polonais, près de la Baltique. Mon père, qui était mon professeur de l'époque, nous avais autorisé à regarder les matchs, mais je n'y comprenais pas grand chose, pour tout avouer. Contrairement à mes camarades.
Par la suite, nous avons passé nos vacances estivales en Crète, et j'ai pu suivre le reste de la coupe du monde 98 sur une vieille télé de ma tante crétoise, dont l'image était secoué en permanence. Ce qui m'a marqué pendant toute cette coupe du monde à la télé, c'est le visage de mon père. Il n'était pas un grand fan de football, pas acharné en tout cas. Il ne m'a jamais amené au stade et il n'en parlait pas tellement, c'est venu plus tard. Mais ce dont je me souviens, de façon très nette, c'est le visage d'enfant qu'il avait, l'inquiétude et la joie qu'il avait, mêlé d'une excitation à chaque match, quand il a compris qu'on irait peut-être au bout. Lui qui était plutôt d'un naturel réservé, je ne l'avais jamais vu comme ça. Quand Zidane a marqué, mon père a littéralement sauté de sa chaise. On était dans un restaurant crétois, tous les grecs de la salle était pour le Brésil, il résidait quelques touristes anglais et allemand, qui ont applaudis chaque but des français. Au deuxième but, je me rappelle que le bar s'est vidé de tous les grecs, qui dégoutés, sont partis. Je me rappelle de ce visage, son visage, éclairé, heureux, tout simplement, à la victoire de la France. Je pense qu'il était heureux car il avait vécu comme une longue litanie les défaites passées et aussi amères qu'elles étaient injustes à ses yeux. Il sentait que justice avait été rendu et que cette équipe de France, sans le vouloir ou le savoir, avait réparé une longue blessure qui saignait encore au fond de chaque supporter de l'équipe de France des années Platini. C'était un moment heureux, et je me rappelle que sous l'excitation, mon père n'avait pas pu dormir avant une heure ou deux du matin. Ma mère n'a jamais compris.
Quant à la coupe d'Europe des années 2000. Là, j'ai de vrai bon souvenirs des matchs de football. Zidane avait été extraordinaire. Je pense qu'à part en 2006, il n'a jamais autant mis tout le monde d'accord. Je me souviens du match contre le Portugal, il les avait tous baladé. Quand il part dans son sprint et qu'il passe : un joueur, deux joueurs, trois joueurs et qu'il se fait prendre à la fin, j'étais comme un fou.
Mais sinon, le souvenir qui me restera marqué c'est la finale. Je ne sais pas si tout était préparé pour un tel scénario mais je pense qu'à part un esprit tordu, personne n'aurait pu imaginer que nous gagnerions comme cela. Je me souviens très bien que mon père, à la 92e minute, dépité, est partie à la cuisine en comprenant que c'était la fin et que dixit "on allait encore se faire niquer par les italiens". Puis vous comprenez la suite, 93e minute, Wiltord égalise. Je lui hurle qu'on a marqué, il revient en trombe. Et puis le reste est entré dans l'histoire, Centre de Pires, but de Trezeguet, on était dingue, je hurlais comme un fou et mon père sautait partout. Je me rappelle très bien qu'il a ouvert les fenêtres et s'est mis à hurler "dans votre cul les italiens ! Va te faire niquer le catenaccio" et les gens lui ont répondu à fenêtre interposé. Pour éclairer mon sentiment à ce moment là, je citerais un enfant du pays, dont mon père était également :
J'avais surpris mon cher surhomme en flagrant délit d'humanité : je sentis que je l'en aimais davantage. Alors, je chantai la farandole, et je me mis à danser au soleil.
Ce sont de beaux souvenirs….
edit : merci les amis de m'avoir fait rappelé ça, ça compte beaucoup pour moi.
Merci EFC et Girard pour la correction.
Et grand merci au Marseillais refoulé

pour l’idée du topic.
Mes premiers souvenirs de foot remontent à la finale de 94. J'étais à l'étranger, un pays neutre et pas très fort en foot (donc qui vit à travers d'autres nations), et je voyais des supporters des 2 équipes stressés comme pas possible.
Ensuite, des cassettes videos de démo étaient envoyées dans le magasin de TV ou mon papa bossait, et parmi elles, les grands matchs de légendes de coupe du monde. Parmi ceux ci, il y avait la finale de 70, celle de 74, la demi de 82, le 1/4 de 86 Angleterre - Argentine.
Et puis est arrivée la coupe du monde et notamment le france espagne en janvier 98 pour inaugurer le stade de France. Je ne sais pas pourquoi, je suis tombé au hasard sur ce match à la télé et j'ai commencé à regarder. La fin de saison, je commençais à vibrer pour l'OM et à apprendre l'histoire de ce club qui me suis depuis 22 ans.
La CDM 98, je pense que le souvenir le plus fort restera le but en or de Laurent Blanc, un marseillais de l'époque, et la demi avec le renversement de situation de Thuram.
La finale est hors norme, et mes tontons m'emmèneront sur les champs fêter la victoire, mais bizarrement j'en garderai moins de souvenirs.
l'Euro 2000 a été très fort en termes d'émotions et cette finale au scénario épique et ce bougre de Toldo si difficile à vaincre.
En CDM, mon coeur n'a vraiment battu que pour la France, et je ne garde quasiment aucun souvenir de 2002 ou 2010 qui sont pour moi des années catastrophiques (enfin si 2002, j'ai mémoire d'un brésil angleterre). 2006 par contre, j'ai encore des frissons en repensant aux commentaires de Thierry Gilardi lors de ce France Espagne entre Ribéry qui éclate aux yeux de tous et Zizou qui fait les brésiliens passer pour des pupilles en 1/4 de finale. Et cette fin...
En 2018, j'ai eu la chance de participer à la Coupe du Monde, et pour tout fan de foot, assister à un premier tour de Coupe du monde, notamment avec les Sud Am, c'est quelque chose et c'est la qu'on se rend compte de la pauvreté de la culture Foot en France. Quand je repense à cette battle de chants entre Argentins et brésiliens en plein coeur de Moscou

Alors, certes, on l'a gagnée d'une manière dégueulasse, mais une victoire en coupe du monde, c'est une victoire en coupe du monde, et encore + quand tu la vois depuis le stade. Ce coup de fil reçu le samedi après midi d'une amie, me disant que j'avais une place pour le match restera dans ma mémoire. Elle m'avait prévenu à l'avance, "si les bleus y vont, ça t'intéresse pour la finale ?". C'était après le match contre l'Australie ou tout le monde était dépité et que personne ne voyait venir vraiment la victoire. Bien m'en a pris d'y croire, et de prendre un billet d'avion dès ce jour la.
"Après avoir vu ça, on peut mourir tranquille. Enfin le plus tard possible, mais on peut". Je pense que je pourrais, le jour ou je reverrai l'OM sur le toit de l'Europe, et sincèrement, certains crachent dessus, mais moi je l'aime bien cette Europa League.
![[Image: G3MCGln.jpg]](https://i.imgur.com/G3MCGln.jpg)
Mon premier souvenir, le but de Michael Owen contre l'Argentine
@Ralph : pourquoi ils s'appellent tous Photo dans l'équipe des verts ?
Mon premier souvenir de foot, France - Hongrie de 78, par contre aucun souvenir du match contre l'Argentine et le second contre je sais plus qui, mais je me souviens parfaitement que mon père souhaitait ardemment la mort de l'arbitre du match contre l'Argentine, je sais pas s'il avait raison, j'ai rarement connu quelqu'un d'aussi mauvaise foi.
Edith:
Ah ben non en fait, premier souvenir de foot, Brésil - France en amical au maracana avec un but de Trésor, je me rappelle avoir eu l'impression que la France avait gagnée une Coupe du monde tellement mon père était en transe
.
Y'a des photos de moi avec Papounet devant des matchs de foot, et d'après Maman c'était à l'été 90. Donc logiquement je devrais avoir des souvenirs de la CM 90.
Ben non en fait, j'ai rien imprimé. En même temps j'ai 6 ans, et pour ceux qui suivent 4 ans avant je suçais des coquilles d'escargot, donc le cerveau était peut-être déjà atteint.
Mes premiers vrais souvenirs viennent avec 94. Pas d'EDF, il fallait donc que je me rabatte sur une autre équipe, car les émotions sont plus grandes. Bien que d'origine allemano-hollandaise par ma mère je me rabats ce qu'il y a de plus proche de l'EDF, nos voisins qui jouent en bleus, l'Italie.
Et c'est ainsi que j'ai découvert Roberto Baggio

La Suède en 1994. Je sais pas pourquoi, c'est la première équipe nationale que j'ai vraiment "supporté". Je reste encore convaincu aujourd'hui qu'ils auraient dû gagner le Mondial, probablement mes souvenirs de gamin qui s'emballent. Kennet Anderson était tellement fort p'tain. Trois Ibra dans chaque jambe, au moins.
J'ai aussi un flash des Allemands fêtant leur victoire avec une danse à la con en 1990, mais j'ai du mal à vraiment considérer ça comme un souvenir du Mondial.
Pour aller dans ton sens c’est tout simplement mon joueur préféré et en 1994, j’étais le seul à arborer une casquette blanche Italy94 à la Martinique (99% de supporters brésiliens) durant tout l’été à cause de ce joueur d’une classe et d’une précision phénoménales ! Il a porté les nerazzurri jusqu’à la finale quasiment sur son dos. Son penalty loupé en finale est le symbole de son état physique je pense : totalement rincé !!!
A noter que cette équipe italienne était encore dans la tradition ancienne du jeu très fermé et qu’elle a eu un mal fou à sortir du groupe avant de passer le Nigeria, l’Espagne et la Bulgarie.
Qui aura vu que les demi-finales se composaient des deux équipes du groupe de qualification de la France ? Suède et Bulgarie se feront battre par un Brésil excellent et l’Italie de Baggio !!!

L'Italie, aussi fou que cela puisse paraitre, au vu de l'histoire que j'ai raconté précédemment, était également la seconde équipe que je supportais. (origines italiennes toussa)
Du coup l'Euro 2000 et encore pire, le mondial 2006, ont été des déchirures, des luttes fratricides dans mon cœur. J'avais le maillot de Totti et de Del piero en azzura, et après de Pirlo.
Par contre, à l'euro 2008, j'ai définitivement arrêté de les supporter car des voisins ritals un peu trop bruyant, quand je travaillais en Grèce, avaient fêté notre élimination contre eux par des "ciao francia" et ça m'avait terriblement cassé les coroñes. Je l'ai encore mauvaise aujourd'hui.
Depuis ce temps, la deuxième équipe que j'aime voir jouer, c'est l'Allemagne...punaise, c'est un bordel dans ma tête.
Les voir jouer, c'est bien, les battre, c'est mieux.
Bon, pas eu le temps de participer, trop de boulot cette semaine.
Aujourd'hui petite fenêtre, vite fait, mal fait deux ou trois trucs.
1974
J'ai 7 ans. Parait que je regardais déjà religieusement les matchs à l'époque et que je faisais caguer tout le monde apres pour jouer au ballon (petit frère et père). Aucun souvenir.
Et c'est bien dommage parce que les rétrospectives sur la CM des pays- bas.
1978
Les chose sérieuses commencent.
Je vois les 3 matchs.
Le but le plus rapide de l'histoire de la CM avec Lacombe au bout de 30 secondes malheureusement suivi par deux buts italiens.
On joue (et perd) notre qualif contre l'Argentine. j'escroque le match en pleine nuit à ma maman (pas dupe) en lui disant que j'ai que des cours de bouse le lendemain (gym et musique)
Ambiance de feu, penalty litigieux (pour l'époque, maintenant ils en sifflent des comme ca), la blessure de Demanes, Six qui manque le KO et Luque qui nous crucifie.
Hors ma première désillusions pour l'EDF, mon souvenir marquant de l'époque c'est les tribunes quand l'Argentine joue. J'ai déjà vu des grosses ambiances européennes (Saint-Etienne, Liverpool à Anfield) mais je suis comme ca

devant les chants, les drapeaux, les papelitos et rouleaux de papiers chiottes qui dégringolent des tribunes.
Plus anecdotiques les frappes de Arie Haan. obscur milieu hollandais à la frappe de mule (c'est pas les ballons de volley de Juninho, fallait mettre le paquet à l'époque)
Je saucissone parce que je suis limité en nombre de videos par post
1982
Plus de problèmes de fuseaux horaires , je dévore tout ce qui passe à la téloche.
L'EDF commence mal par une défaite contre l'Angleterre mais se refait petit à petit la cerise (avec le bordel contre le Koweit avec l'Emir sur la pelouse

et Hidalgo furax sur le bord de touche)
Mon premier choc c'est évidement le Brésil de Télé Santana. Possiblement la plus belle équipe du Bresil qui n'a pas gagné de CM (l'histoire ne retient que les gagnants). Une sarabande offensive qui viendra s'écraser contre le réalisme italien, victime aussi de sa soif offensive (c'était à l'époque un système de poule au second tour et les Brésiliens pouvaient se contenter d'un nul et ils ont continué à balancer des vagues offensives pour finir par se faire coincher en contre). C'est la première fois que je suis hyper déçu pour une équipe nationale autre que l'EDF et je découvre le sens du mot Saudade.
Ceci dit la défaite du Brésil, c'était de l'entrainement et de la petite bière par rapport à ce qui me tombe sur la courge lors de notre défaite en demi à Seville. Je découvre l'injustice dans le sport et je suis inconsolable. Tout le monde connait l'histoire (la fabuleuse reprise de Tresor, le but de Giresse, l'attentat sur Battiston) donc pas de vidéos.
Je préfère finir avec la joie de Tardelli en finale après son but.
1986
Probablement ma CM préféré, si on ne parle que football.(les autres c'est quand l'EDF gagne) Bonne période dans ma vie aussi aussi. Etudiant, je suis jeune et beau

, je bosse l'été à la FNAC (payé pour écouter de la musique toute la journée

) cerise sur le gâteau, il y a une CM.
Rendez vous compte.
Le Bresil de Telê Santana. La France de Platini. L'URSS, le Danemark de Laudrup.... et bien sûr Maradona.
Evidement le premier souvenir c'est Guadalajara, le Brésil de Santana contre l'EDF couplé à une bringue énorme à la fête de la musique.
l'élimination des Russes au terme d'un match haletant avec arbitrage plus que douteux et relent de complotisme (URSS monstrueuse sur la lancée de la victoire de Kiev en coupe d'europe vs guerre froide et victoire interdite pour les cocos sur le continent americain)
Et puis évidement Diego.
Alors je l'ai deja dit lors d'une discussion sur le topic argentin, je ne suis qu'en partie d'accord avec la légende Diego emmène des deguns à la victoire. L'Argentine de Bilardo si elle ne possèdent pas les noms est une mécanique de précision tactiquement. Est ce qu'elle avait des chances de gagner sans Diego ? surement pas. Une bonne gueule de huitième de finaliste par contre. Mais clairement pas les clochards qu'on veut nous vendre (d'ailleurs l'équipe de 90 est horrible, des vrais baltringues par contre et il s'en est fallu que des penalties en demis pour les empecher de remettre le couvert avec Diego en tète de proue)
Puisqu'on est dans le contradictoire, restera dans la légende le quart de finale contre l'Angleterre because main de dieu et but du siècle mais pour moi ce qui restera le plus beau c'est la demie finale contre la Belgique. Jamais vu ca (peut etre Messi une ou deux fois en LDC), Diego est irréel. les Belges se chient dessus à chaque fois qu'il touche le ballon et Diego les punit deux fois
Sinon c'est un bon résumé
L'URSS et les minasses d'Aleinikov et Belanov. Le Brésil de Tele Santana avec les chevauchées fantastiques de Josimar, Careca et le Bresil qui font l'amour àla France. Le Danemark de Laudrup. Le ciseau de Negrete. Et bien sûr Maradona. Du Bonheur.
Mouais, Madinho en a mis des plus beau
