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Version complète : L'incroyable affaire Drogba
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Voila tout est là :
[url=]http://www.leparisien.com/home/sports/actu/article.htm?articleid=215888736[/url]
:allvert:
Trés intelligent juste avant OM-Psg un peu d'huile sur le feu pour exiter tout le monde :bienjoué:
Simonet, cette bouse... :beurk:

petit rappel à divulguer des aventures de Simone tome 2

Pourvu qu'elles soient douces… 06/07/02
Les fesses de Simone même si vaselinées en permanence et en catimini par le financier Darmon et le staff complet de la maison Bouygues ne pourront pas cette fois-ci échapper aux hémorroïdes purulentes voire aux furoncles baveux .

L'arrière-train du gravos n'a pas sifflé trois fois mais son allocution pour l'enterrement de l'autiste Roger ne fut qu'un long pet foireux. Le genre de gaz nauséabond qui incommode l'assistance, en l'occurrence Notre-Dame de la bafouille à scandales, un aréopage averti de scribouillards en mal de scoop.

Pour sauver sa peau ripoux, il nous a servi un pot-pourri. Symétrique diront les matheux. Ses recours aux allusions, aux sous-entendus et aux métaphores à la petite semaine n'abusent plus pourtant personne depuis longtemps… Sauf peut-être quelques gogos en mal de sémaphore pour retrouver leur chemin.

"On peut considérer au sein d'une entreprise qu'il convient de changer de stratégie et d'homme sans pour autant que ceux-ci aient fauté." a-t-il émis dans un ultime borborygme… C'est clair comme de la fiente de gabians et nul doute que le choix du futur élu relèvera de la même approximation voisine d'une pathétique sodomie…
et aussi le tome 3 31/07/02
Le vilain petit connard
Vous avez lu l'histoire du vilain petit palmipède qu'avait pas le même look que ses congénères canetons. Tout le monde se foutait de sa tirelire jusqu'au moment où il grandit et devient le prince des étangs, le roi des lacs, l'empereur des zones humides : son altesse sérénissime, sa majesté le cygne.

Le destin du gros Simone, retraité du bâtiment, n'a pas grand chose à voir avec ce conte pour mignards. Lui, il ressemble plutôt aux autres rond-de-cuir de sa confrérie. Un peu plus gras peut-être voire un peu plus con, mais bien dans la lignée de l'autocratie craspec que représente les instances fédérales du ballon rondouillard. Tellement bien dans le moule qu'il arrive, après la chute de Fournet-Fayard à la tête de la dite fédération. Après on peut dire qu'il a du fion, le Simone. A l'instar de Mémé, il tombe sur une génération d'exception qui enfile victorieusement un Mondial et un Euro.

Le gros profite alors de l'aubaine pour se goinfrer, la tortore c'est son dada, et surfe pendant ce temps sur les vagues bedonnantes des repas de gala. Personne ne moufte alors car personne n'ose cracher dans la soupe de celui qui, par le plus grand des hasards, est désormais le président de la fédération la plus performante du moment. Seulement voilà, l'os a moelle se brise en Corée. Le gravos n'en a cure. Telle l'oie destinée au fois gras, il perpétue son gavage.

Mais défaites aidant, les langues se délient. La loi du silence sur les turpitudes alimentaires de l'énorme est rompue. La note de frais de ses agapes asiatiques est publié dans la presse revancharde. On y apprend que la baderne carbure au Bourgogne mais pas à n'importe quel cru… Le top des tops, la Rolls du jaja, le Saint-Laurent du picrate : la Romanée-Conti ni plus ni moins, à mille euros la gorgée de jus de raisin fermenté! Et, c'est bien entendu la fédé qui lui paye son rôt du bonheur de fin de repas…

Le pachyderme n'est pas unique en son genre. Il fait partie d'un grand troupeau dont le pâturage dépasse largement le territoire du foot. Un pré carré où les incapables bouffent à tous les râteliers et où le grand public fait figure de dindon de la farce. Mais avaler sans cesse des couleuvres donne envie à la longue de cracher son venin…
Tiens ça me donne une idée si on créait une sorte de liste noire des personnalités du football français (dirigeants journalistes) qui adorent par dessus tout l'OM et ses supporters:
Je commence avec
Simonet bien sur
Le graet
Dominique Rousseau
Olivier Rey
d'accord avec ta liste, archidiacre sauf avec Rousseau que j'apprecie et qui aime l'OM !
j'ajouterai par contre praud ...
Les bras m'en tombent ::crazy.gi

les doigts aussi je peux plus $crir' , s; *ù n b k
je cite rousseau ! pas le fil au zoff mais bel et bien dominique

Bouchet : Quasiment un sans faute jusqu’ici en tant qu’éléphant dans le magasin de porcelaine de la Ligue (droits télé, cas Monaco ouvert), prudent (habile ?) avec les groupes de supporters. Moins convaincant sur Barthez où l’opération apparaît comme le feu vert donné à Perrin de se débarrasser à moyen terme de Runje et l’envie d’apparaître comme celui qui va fournir en état de marche le gardien des Bleus. Pour moi, Barthez est à priori (parce que ce n’est pas lui seul qui va régler les problèmes défensifs) un très bon coup sur le plan sportif. Il a dit pourquoi il s’est planté à MU et un Barthez motivé et concentré est toujours un très grand gardien. Maintenant, cela met Runje en permanence dans la position de celui dont on examine les prestations à la loupe et la répartition (Barthez en L1 et Runje en LDC) est tout sauf facilement gérable.

Perrin : Il a cette saison effacé son étiquette de la saison dernière d’entraîneur frileux et la balance des résultats valide pour l’instant la nouvelle méthode. Reste que le match de Strasbourg maintient mon interrogation sur sa capacité à réagir en cours de match lorsque les évènements sont contraires. Perrin n’est pas un homme d’improvisations, on l’avait vu la saison dernière avec une histoire de remplacement interminable à Lyon et lors de la blessure de Dos Santos, lorsqu’il avait essayé à tout prix de le faire revenir sur le terrain. Et sa capacité à préparer les matches importants (à Lyon et à Nantes la saison dernière) à fort taux émotionnel (PSG) ou de prestige (Real) n’est pas évidente.
Sur son recrutement, il y a déficit en latéraux à droite (Pérez ou Beye ou Laurenti, bof) et à gauche (pas de spécialiste), le renoncement à N’Diaye est une énigme. Sur ses choix, la confiance en Célestini est excessive (pour moi Hemdani serait plus utile). Meité ? Il a été nul de chez nul à Strasbourg mais bon ou très bon lors de matches précédents.
Sur le jeu, la bascule vers l’avant cette saison en tout cas dans le profil des joueurs (quatre et demi offensifs avec Meriem) s’accompagne d’une fragilité défensive que Sochaux, Nice et le Partizan avaient relevé sans l’exploiter mais que Strasbourg a confirmé. Ces trois équipes n’avaient pu tirer parti de leurs occasions sur les pertes de ballon marseillaises. Strasbourg a prouvé qu’en pressant l’OM haut on coupait son alimentation offensive et en occupant la largeur devant il y avait des espaces sur les côtés et travailler l’arrière garde marseillaise en un contre un était bénéfique.
Il convient aussi de laisser du temps à Perrin vu les arrivées tardives de certains joueurs ce qui provoque un manque d’automatismes, mais il y a deux chantiers à traiter en priorité. Le jeu sur les côtés et le rideau défensif dans l’axe au milieu.


ça craint ?
Dominique Rousseau est un fin nana liste des arcanes olympiennes
Qui plus est, ses contributions au forum des CDF sont généralement pertinentes voire drôles pour certaines...

Parmi les gros nazes, citons plutôt Dominique Grimault voire le clownesque Gilles Verdez... :xdiabo1:
ah oui, alors eux deux sans problème !
rousseau est un type très fin et drôle!!
voilà encore certaines de ses contributions :

TRANSFERTS
Tapie travaille en réseaux

Hyperactif lors du mercato, Bernard Tapie s’est appuyé sur des méthodes et des relations très particulières.

Marseille fut le point de passage incontournable du mercato qui s’est achevé hier, à minuit. Bernard Tapie y a quasiment rebâti une équipe en travaillant avec un réseau d’agents troubles, mais efficaces. Rien de tel que des négociations entre « amis », même si cela commence à inquiéter le directeur général, Etienne Ceccaldi, et à agacer Robert Louis-Dreyfus.

Bernard Tapie n’a pas le droit de gérer ou de diriger l’OM. Il est toujours sous le coup de condamnations judiciaires lui interdisant l’exercice de ce type de responsabilités au sein d’une société, et il le sait parfaitement, le procureur de la République de Marseille s’étant chargé, dans un courrier adressé au club, de le rappeler fermement.
Pourtant, ici, le boss, plus que jamais, c’est lui. Officiellement en charge du secteur sportif, et seulement de cela, il régente tout et le revendique. Omniprésent sur le marché hivernal des transferts qui s’est achevé hier à minuit, il a complètement rebâti l’Olympique de Marseille. Dix départs, huit arrivées. Tout cela sans tenir compte de l’avis d’Albert Emon, entraîneur dont les qualités essentielles sont :
1. être titulaire du DEFP (diplôme obligatoire pour entraîner une équipe professionnelle)
2. accepter ce que d’autres avant lui avaient refusé : l’ingérence totale de la personne « en charge du secteur sportif ».
Pour autant, l’ancien homme d’affaires devenu comédien ne travaille pas en solo. De son premier passage à l’OM, il a gardé des réflexes et des relations. Comme à son arrivée en 1986, il s’est renseigné sur les « familles » régnantes du milieu marseillais. Dans les années 80, les figures majeures en étaient Gaëtan Zampa et Francis le Belge qui, à la fin du siècle dernier, partageait la table de poker de Robert Louis-Dreyfus certains soirs de match. Aujourd’hui, en coulisses, on évoque l’influence du clan Baresi. Jean-Luc Baresi, dont le frère possède un dossier au grand banditisme, a réussi l’examen FIFA d’agent de joueurs et possède l’agrément de la Fédération française (FFF).
Personnage brillant et passionné de football, il a toujours voulu travailler avec l’OM sans jamais vraiment y avoir ses entrées, même à l’époque de Rolland Courbis, historiquement lié à des « relations » varoises et corses. Aujourd’hui, Jean-Luc Baresi participe à la vie du club par l’entremise de son ami Gilbert Sau. Comme Baresi, il possède les licences requises pour exercer le métier d’agent et aussi un bureau au siège de l’OM, dont il est l’unique représentant. Il tenait d’ailleurs précisément ce rôle en mai dernier, au Palais des Congrès de Paris, lors du Mercato organisé par l’Union des footballeurs professionnels (UNFP).

Sau, homme de coups et d’argent

Dans le petit monde du ballon rond, il se murmure que Sau n’est pas un grand spécialiste de football, mais dispose d’un exceptionnel talent de « vendeur ». Il a régulièrement travaillé avec Monaco, Strasbourg (lorsque Claude Le Roy en était manager), Cannes (où il est très proche d’Eric Goirand, un des piliers de la galaxie Courbis) et Bastia, où il n’est plus le bienvenu. Hasard ou coïncidence, nombreux sont les joueurs de l’écurie Sau à avoir porté, même de manière fugace, le maillot marseillais ces deux dernières années : Rool, Swiercewzski, Jurietti, Perez, Dumas… Et en décembre dernier, lorsque Zoumana Camara alimentait les négociations avec le Paris-SG, l’OM avait proposé un échange avec Laurent Leroy. Que Gilbert Sau avait transféré, en 1998, de Cannes à Paris.
Avec Baresi, il a conclu lors de ce mercato l’arrivée de Cyril Chapuis (Rennes). Sau était alors mandaté par l’OM. Baresi l’était par Rennes afin de vendre Chapuis autour de 35 MF (5,3 millions d’euros), moyennant une commission de 10%. Chacun des deux amis aurait ainsi été rétribué pour son travail sur ce dossier, finalement bouclé pour 5,64 millions d’euros.
Ancien pilote de rallye, Sau est un homme de coups et d’argent qui possède également la nationalité helvétique, son épouse étant originaire de Genève. A Genève, justement, se trouve une autre relation importante de Bernard Tapie : Michel Coencas, co-producteur de Vol au-dessus d’un nid de coucous, la pièce jouée dans toute la France par le comédien Tapie. Coencas a repris le Servette Genève en août 2001, lorsque Canal Plus a dû se désengager, l’UEFA interdisant à un actionnaire de contrôler deux clubs disputant une même compétition européenne (en l’occurrence le Servette et le PSG). Président de Valenciennes à l’époque de l’affaire VA-OM, en 1993, soixante-quinzième fortune de France (il dirige la Compagnie financière du Valois), Coencas vient de reprendre Nîmes (D2) où, après le départ de Claude Le Roy pour la Chine, il a engagé Gérard Soler comme directeur sportif.

Proposé à 700 000 dollars,
acheté 3,7 millions de dollars

Ex-président-délégué de Saint-Etienne, l’ancien international avait dû quitter les Verts suite à l’affaire des faux passeports (Alex, Aloisio, Levytsky) en cours de saison dernière. Il avait toutefois rapidement trouvé de quoi s’occuper. A Marseille, précisément, où il a organisé, avec Gilbert Sau, les venues de Ba et Fernandao. Le Brésilien, alors à Goias (où Soler avait déniché Alex et Aloisio), était proposé sur son « marché » national à 700 000 dollars (791 000 euros). Le transfert à Marseille s’est conclu pour 3,7 millions de dollars (4,2 millions d’euros), mais l’agent brésilien du joueur est ensuite venu réclamer une commission, la sienne selon lui, s’élevant à… 791 000 euros, dont la moitié à Mediamag, une société hongroise.
L’OM a payé cette fois-là, mais pas la suivante. Mediamag apparaissait en effet dans la négociation autour de Dill, un autre Brésilien. La société de marketing et de droit d’images Sport Plus (émanation de Canal Plus) avait initié une négociation avec Saint-Etienne en avril 2001 sur une base de 17 MF (2,6 millions d’euros). Trois mois plus tard, le prix proposé à Marseille est de 27 MF (4,11 millions d’euros). Le club ne pouvant verser directement l’argent à une société comme Sport Plus, celle-ci propose un échange de créances via… Mediamag. Refusant de passer par une société écran, Pierre Dubiton fait alors capoter le deal.
Dill trouvera toutefois un employeur en Europe puisque, comme Reina et Skoro (dont l’arrivée à l’OM, négociée lors du précédent mercato, à l’hiver 2000, par Jean-Christophe Cano, avait généré 9 MF de commissions répartis entre trois intermédiaires localisés en Autriche, Slovénie et Suisse), le Brésilien a ensuite pris la route… du Servette (avant de rentrer au pays).
Le club suisse n’est pas seul en Europe à entretenir des liens étroits avec l’Olympique de Marseille. La relation avec le Standard de Liège est plus évidente encore. Contrôlé par Robert Louis-Dreyfus, le club belge est dirigé par Luciano D’Onofrio, par ailleurs agent disposant d’une licence officielle. Le réseau de D’Onofrio est prestigieux et efficace. On y compte notamment Luciano Moggi (Juventus), incontournable ou presque en Italie et proche, notamment, de Courbis et de Jean-Louis Campora, le président de l’AS Monaco.
Dans son rôle de directeur général du Standard, D’Onofrio a « cédé » à Marseille Yobo, Runje, Van Buyten et Cavens, ce dernier étant finalement retourné à Liège.
Les aller-retour de l’hiver, dont le dernier concerne Ibrahim Ba, reparti vers le Milan AC, auraient permis au final à Bernard Tapie de réduire la masse salariale mensuelle de 250 000 euros (1,7 MF). Une bonne nouvelle qui ne semble pas rassurer plus que ça Etienne Ceccaldi, directeur général dont le nom et la signature figurent désormais au bas de tous les nouveaux contrats. Le magistrat marseillais s’inquiète en effet et, malgré ses bonnes relations avec Bernard Tapie, n’est pas toujours dupe de sa fonction de « caution morale ». Son image intègre est un peu égratignée par l’allégeance qu’il semble faire à celui qui est « en charge du secteur sportif ».
Il attend sans doute, comme beaucoup avant lui, quelques éclaircissements de la part de Robert Louis-Dreyfus. Dans les coulisses de l’OM, circule une phrase prononcée par l’ancien patron d’Adidas : « Je n’aurais jamais dû prendre Tapie. » En écho, lui répond une autre, glaciale, qu’il aurait ajoutée : « Je veux tuer le mythe. »
Bah il est fin et drole certainement il n'ecrit pas avec ses pieds ça c'est sur il n'empeche que dans toute la redaction de son infame canard ils sont peu nombreux à detester autant le club que lui...
Bien que ses interventions sur le forum of puissent parfois laisser croire le contraire.
M'enfin ce que j'en pense...
Ce type est une vermine.... :D
Et la Fox honnête, hmmm ?? :enlair:
arf la renarde est plus fourbe... :malelovie
Tout ça, c'est de la roupie de sansonnet à côté du grand, de l'unique, de l'inimitable André de Rocca... :boldblue:
Sans opinion :D
« Les Marseillais sont paranos………….. » est un phrase que l’on entend souvent et, c’est parfois un peu vrai...

Aujourd’hui, la FFF dévoile au grand jour ce complot national contre l’OM, avec les faits à l’appui – c’est une première.

Certains médias se posent des questions, la LFP se dit surprise, et, Bouchet devrait bientôt l’ouvrir…

Tout bénèf !!
Après ça, ils vont peut-être un peu nous laisser tranquille…

:lemecha: :angail1:
Bordel, faut l'enc cet enfoiré de gros Simonet!!! :rappeur:
punaise avant OM/PSG, il nous prenne pour des cons, cette fois,c'et clair, je suis pas parano...
Voilà c'est fini
http://www.lequipe.fr/Football/20031120_184123Dev.html

Tout ça pour ça quelle bande d'abrutis :(
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